Dissertation Poésie Brouille Le Message

Politesse LVIII La science des signes LlX Puissance des signes LX Signes ambigus LXI Les yeux fermés LXII Savoir écouter LXIII L'ivresse LXIV Le spectateur LXV Le spectateur du spectateur LXVI Le théâtre LXVII Le comédien LXVIII Danses LXIX Poésie, musique et danse LXX Costumes LXXI Chapeau breton LXXII La mode LXXIII Rites LXXIV La ronde LXXV Des lunettes LXXVI Frivolité LXXVII Conversations LXXVIII Dogmes LXXIX Croyance LXXX La preuve LXXXI Le doute LXXXII Spinoza Alain (Émile

Politesse LVIII La science des signes LlX Puissance des signes LX Signes ambigus LXI Les yeux fermés LXII Savoir écouter LXIII L'ivresse LXIV Le spectateur LXV Le spectateur du spectateur LXVI Le théâtre LXVII Le comédien LXVIII Danses LXIX Poésie, musique et danse LXX Costumes LXXI Chapeau breton LXXII La mode LXXIII Rites LXXIV La ronde LXXV Des lunettes LXXVI Frivolité LXXVII Conversations LXXVIII Dogmes LXXIX Croyance LXXX La preuve LXXXI Le doute LXXXII Spinoza Alain (Émile

conducteur de l’œuvre : pour le sang et pour l’automne. C) Sacralité du symbole de l’arbre : l’Apollon citharède. Rappel de l’importance de l’arbre dans certaines religions. Dieu aux symboles ambivalent : associé à la violence et à la beauté (poésie et musique) Apollon (Phébus) : fils de Jupiter et de Latone; carquois et flèches terribles du jeune adolescent : marqué par des actes violents puisqu’il poursuit de ses flèches meurtrières le serpent Python qui sera tué et écorché. (ce serpent

Ionesco, Les Chaises, p. 138 – Reza, Art, p. 139 L’un ou l’autre de ces groupements de textes peut servir de support à des exercices d’entraînement aux épreuves écrites et orales du bac. On se reportera notamment aux sujets d’écriture (commentaire, dissertation ou invention) proposés dans la rubrique « Expression » à la suite de certaines lectures analytiques, dans la partie « Expression écrite » p. 174-178 ou aux sujets complets des pages 181 et suivantes du manuel. En cours de séquence, l’évaluation

Éluard, Antonin Artaud, Benjamin Péret, Robert Desnos, Raymond Queneau, ou encore Michel Leiris. Les procédés pratiqués par les auteurs surréalistes allèrent des jeux sur le langage (comme le fameux cadavre exquis)aux comptes-rendus de rêves et au message automatique9, lequel donna lieu à des méthodes comme celle de l’écriture automatique 10, souvent pratiquée à plusieurs mains. 7. André Breton, Manifestes du surréalisme, Gallimard, Folio, 1985, p. 36. 8. Auteur des Chants de Maldoror (1868-1870)

........................................................... p 99 par Gilbert Guislain, Professeur au lycée Jules Ferry à Versailles, Interrogateur à Grandchamp, Saint-Louis de Gonzague et Intégrale L a par Gilbert Guislain V i e SUJETS DE DISSERTATIONS .............................................................................................. p 115 SUJETS DE COLLES ........................................................................................................... p 119 EXPRESSIONS

est-ce que toutes les autobiographies sont des récits ? Est-ce que tous les récits sont rétrospectifs ? Ne peut-on pas concevoir des écritures de soi par des formes scripturaires autres que le récit en prose ? Ne peut-on pas raconter sa vie par la poésie, le roman photographique, la bande dessinée, le montage photographique comme l’ont fait beaucoup d’écrivains ? (Jean-Paul Sartre, Marguerite Duras, Roland 1 Delon, Michel « Entretien avec Philippe Lejeune : Une pratique d’avant-garde », in Les

fait, il y inaugura un nouveau type de tragédie, dont l’originalité tenait à un double refus : celui de la tragédie de Corneille, et celui de la tragédie romanesque et galante ; qui était marqué à la fois de plus de rigueur dramatique et de plus de poésie ; où la violence passionnelle de I'amour se greffe sur I'enjeu politique, et entraîne tout, comme une fatalité. Il repoussa la conception de la tragédie que se faisait Corneille. Il est vrai que, dans ‘’Andromaque’’, il lui reprit le «grand intérêt

fait, il y inaugura un nouveau type de tragédie, dont l’originalité tenait à un double refus : celui de la tragédie de Corneille, et celui de la tragédie romanesque et galante ; qui était marqué à la fois de plus de rigueur dramatique et de plus de poésie ; où la violence passionnelle de I'amour se greffe sur I'enjeu politique, et entraîne tout, comme une fatalité. Il repoussa la conception de la tragédie que se faisait Corneille. Il est vrai que, dans ‘’Andromaque’’, il lui reprit le «grand intérêt

tisser les poétiques opposées » (Édouard Glissant) : de l’arabe parlé (féminin) et du français.........................................................................................................................222 2. L’hybridation générique (roman-poésie-musique) : « Sistre » d’Assia Djebar....................................223 3. L’hybridation générique : l’écriture entre images et mirages...............................................................227 3.1 L’image comme mémoire d’emprunt et comme