Dithyrambe

réquisitoire  Le plaidoyer 2° LES GENRES DELIBERATIFS : Discours politiques, conseils privés, décisions personnelles… 3° LES GENRES EPIDICTIQUES A.      L'éloge : discours de départ, discours de réception ,l'oraison funèbre le panégyrique  le dithyrambe B. Le blâme : satire, pamphlet… (cf. ci-dessus, les formes du poétique et celles de l'essai).   IV. LES GENRES DE LA RE-ECRITURE ET DE L'IMITATION 1°  LE PASTICHE : « respecte le registre du texte pastiché » 2° LA PARODIE « opère un changement

aussi à le rendre présent ? Le chœur, dont l'existence remonte aux origines mêmes des représentations dramatiques, est un élément essentiel de la tragédie grecque, que celle-ci soit issue de rituels funéraires, de cultes dionysiaques ou du dithyrambe, elle s'est constituée à partir du moment où a été introduit un personnage distinct, le chef de chœur ou coryphée, donnant la réplique au chœur par des vers non chantés.  Tout d'abord, le chœur est présent du début à la fin dans la pièce de

Platon : Platon fait correspondre des genres littéraires à des modes d’énonciation : le récit caractérise le dithyrambe, l’imitation est spécifique à la tragédie, la comédie et l’épopée : mode mixte. Il fonde la poésie sur le récit tandis qu’Aristote la fonde sur le théâtre. Pour Platon les genres littéraire sont en relation avec les modes d’énonciation, le dithyrambe qui est un poème lyrique est caractérisé par le récit, l’imitation est propre à la tragédie, tandis que la comédie et

beaucoup d'étrangers qui avaient le droit d'assister aux cérémonies et en particulier aux plus importantes d'entre elles, réputées dans tout le monde grec : les représentations théâtrales La fête durait cinq jours : Le 9 étaient présentés les dithyrambes, Le 10 était réservé aux comédies Du 11 au 13, les trilogies tragiques suivies d'un drame satyrique. 3-3 Dionysos Dans la mythologie grecque, Dionysos est le dieu de la vigne, du vin et de ses excès ainsi que du théâtre et de la

théâtre participe à la cérémonie religieuse. Sur une aire séparée du public, un ou plusieurs officiants miment avec leur corps et leur voix une histoire.Le théâtre serait né, vers 550 av. J-C, lorsque Pisistrate, tyran régnant à Athènes, associa au Dithyrambe un groupe de comédiens dirigés par Thespis qui passait d’un village attique à l’autre pour représenter les héros grecs. Thespis aurait eu l'idée, de faire dialoguer un acteur avec le chœur, introduisant ainsi un élément dramatique dans le poème

Poétique 1449a9-13, Aristote met à l’origine de la tragédie le dithyrambe. Nous avons peu d’informations sur cette forme de poésie pour l’époque archaïque, jusqu’au début du 5ème s. A l’époque classique, il s’agit d’un chant choral en l’honneur de Dionysos, qui fait l’objet de concours, et il faut penser que ces caractéristiques existaient déjà auparavant, et que la danse devait avoir une grande importance à côté du chant. Le dithyrambe est mentionné pour la première fois au milieu du 7 ème s., mais

indique que le poême parle d' « Odette Royer », et les verbes « faisions »v.3 et « rabattait »v.13 à l'imparfait nous montrent qu'il parle de ses souvenirs, et donc de ses souvenirs avec Odette Royer. Ce texte est un poême post-mortem et non un dithyrambe car il raconte les souvenirs qui lui viennent en tête sans faire un « tri » pour ne retenir que les choses qui font l'éloge d'Odette Royer, il ne cherche pas à embellir pas son image, il raconte la simple véritée Le rythme croissant du premier

Le cadre historique. Le choeur, dont l'existence remonte aux origines mêmes des représentations dramatiques, est un élément essentiel de la tragédie grecque, que celle-ci soit issue de rituels funéraires (1), de cultes dionysiaques (2) ou du dithyrambe (3), elle s'est constituée à partir du moment où a été introduit un personnage distinct (le chef de choeur ou coryphée, sans doute l'auteur lui-même), donnant la réplique au choeur par des vers non chantés. C'est à Thespis, dramaturge grec contemporain

fictif ou réel. * Théâtre, * Poésie, * Littérature d’idée (argumentation directe) * l'essai : ouvrage, de forme assez libre, dans lequel l'auteur expose ses opinions (cf. Montaigne, Les Essais) ; * l'éloge, le panégyrique, le dithyrambe sont des textes marquant l'enthousiasme et l'admiration que leur auteur voue à quelque chose ou quelqu'un. GRANDS MOUVEMENTS : Les lumières : * Période : XVIIIème siècle. * Valeurs : Esprit critique, réflexion, culture, combat contre

La tragédie grecque Etymologie : Le mot tragédie vient des dithyrambe qui étaient des chants (en grec, ode) et de « tragos », en grec, qui signifie bouc (les chanteurs étaient déguisés en bouc). Origines : La tragédie grec trouve ses origines au Ve siècle avant JC. C'est le siècle de l'invention de la démocratie à Athènes. La tragédie est à l'origine un art total, parce qu'il regroupe peinture, musique et danse. Certaines thèses affirment que la tragédie vient d'un hymne en l'honneur de Dionysos