Divinité

mésopotamienne, grecque puis romaine. Le griffon se voit souvent associé aux divinités et héros locaux (Gilgamesh, Ningishzida, Seth, rois égyptiens, Apollon, Dionysos, Éros ou encore Némésis), en train de tirer des chars (l’attelage du dieu des Tempêtes mésopotamien, d'Éros, d’Artémis, de Dionysos, ou de Malakbel de Palmyre), Statère en argent représentant un griffon bondissant de porter des personnages sur son dos (la divinité féminine mésopotamienne exhibant des serpents dans ses mains, Dionysos

Vendredi, 27 mai 18h 30 – 18h 45 : Prière 18h 45 – 20h : Enseignement L'appel • Dieu a un projet sur ta vie • Je ne suis pas digne • Je sais faire • Après la peur, le oui La réponse • Renoncer à des divinités • Quitter nos relations humaines • Renoncer au monde Samedi, 28 mai 07h 30 – 08h 00 : Prière 08h 00 – 09h 00 : Enseignement • Le choix des responsables • Pourquoi de nouveaux responsables ? • Le discernement

v.35 « nous » de majesté est un « nous » englobant. Il manifeste sa douleur de manière ostentatoire. Il ne sait pas se tenir avec cris. Chiasme « sur tes membres profanes, nos sacrés ongles » « sacré » et « profane »=antonymes v.35. Voc. De la divinité : « chez les dieux », « champs élyséen » B) La satire de la cour. La masse anonyme : impersonnel « on »v.50, v.2 »chacun » indéfini singulier collectif, v.11 « chacun » pour souligner l’identité de conduite des courtisans. v.6 tout ce qui n’est

épique dans les chants au programme? L’Odyssée est une des plus anciennes épopées connues aujourd’hui. L’épopée est un genre poétique, contant une histoire le plus souvent merveilleuse ou fantastique, ou un héros épique, un surhomme plus proche des divinités que du commun des mortels va d’aventure en aventure. Ulysse est donc un héros épique en ce qu’il est le personnage principal d’une épopée. Il doit donc être un surhomme proche des dieux, mais aussi un modèle de moralité de courage et de piété, un

conditions d'une relation possible avec les ou la divinité(s). Qu'est-ce qui fait l'identité d'une religion face à une secte ? La religion intègre la conscience que la réalité porte une explication autre qu'elle-même. Les rites ont alors une fonction de rassembler mais aussi de créer un rapport avec ce surcroît de réalités. On pourrait comprendre la relation à la divinité selon trois aspects. Le première aspect consiste à dire que la divinité est prisonnière de la nature car la nature n'est pas

brûle, extermine, renverse, Il se vante de plaire aux femmes : « je ne suis plus qu’amour, que grâce, que beauté » ;« quand je veux, je charme » ; « selon qu’il ma plait, je remplis tour à tour …. et les femmes d’amour » Il se mesure à des divinités : « trois parques », « Dieu » cupidon, « Mars » ; A des chefs suprêmes, empereurs ou souverains : « grand Sophi de Perse», grand Mogor Il s’octroie des capacité physiques improbables  et invraisemblables: « le seul bruit de mon nom..renverse…défait…gagne… ;

formé par sept autres zones infernales La Terre est divisée en sept continents entourés de sept mers27. La mythologie indienne est l’une des plus complexes avec des milliers de déités. Mais les dieux ont un lien entre eux, ils viennent d’une divinité appelé Brahmâ. Le temps est vu de manière cyclique ; il existe donc un cycle de créations et destructions. Lorsque Brahma se réveille et qu'il ouvre les yeux, l'univers et tout ce qu'il contient se crée, lorsqu'il s'endort, tout se détruit. Vishnou

« la sainte colère de Dieu »(p.23), « un regard très fâché pour l'humanité qui l'entourait »(p.23), « sa divinité »(p.26), « un enfant sage et content »(p.32), « Je devins le genre d'enfant dont rêvent les parents : à la fois sage et éveillée, silencieuse et présente, drôle et réfléchie, enthousiaste et métaphysique, obéissante et autonome. »(p.36). « ma conviction informulée d'être une divinité » (p.71). - La gouvernante (Nishio-san) : « jeune, douce et gentille ; elle n'était pas jolie et venait

pouvant l’être sans douleur de la femme aimée, il devient alors l’adorateur de l’inconstance. 2) Il emprunte le langage de l’adoration religieuse  La tournure « O » est réservée pour invoquer un destinataire sacrée. « Divine » : pléonasme. La divinité est personnifiée.  Usage des impératifs : fréquents dans les prières « Aie pitié », « guéris » : demande, « change » : Désir de conversion, change : fin vers 8. V.6-8 : Strucuture en parallèle : « J’ai tourné le médire en langage » Oxymore/paradoxe

car, dans quelque religion qu'on vive, l'observation des lois, l'amour pour les hommes, la pitié envers les parents, sont toujours les premiers actes de religion. En effet, le premier objet d'un homme religieux ne doit-il pas être de plaire à la divinité, qui a établi la religion qu'il professe? Mais le moyen le plus sûr pour y parvenir est sans doute d'observer les règles de la société et les devoirs de l'humanité; car, en quelque religion qu'on vive, dès qu'on en suppose une, il faut bien que l'on