Djebel

interne Programme de développement pastoral Etude d'aménagement d'une zone forestière dans la commune de Grarem, Wilaya de Constantine Restucturation des unités de production agricole Etude d'un projet de mise en valeur intégré de 200.000 ha environ à Djebel Ouahch, Etude de maraîchage Etude d'inventaire des terres et forêts de l'Algérie du Nord: Wilaya de Constantine 2001 2003 2004 2004 2006 2006 2008 1980 1980 1981 1986 1988 1995 1997 2003 2004 2006 2006 2006 2008 1977 1978 1978 1980 1981 1981

1940 à Sidi Kacem avec une capacité initiale de 1300 T/an. Dés sa création, la SCP s’est lancée dans la prospection pétrolière dans la région du Gharb et du Pré Rif. Son effort a été couronné dés 1934 par la découverte d’un premier gisement de Djebel Selfat et de Boudraa en 1935. A partir de la date de sa création et jusqu'au 1940, le Maroc était le premier producteur du pétrole dans le monde arabe, avec une production qui dépasse les 13000 t/an, exportée en France afin d’être raffiné. La capacité

et la tarîqa zianya.                                                 J’ai toujours aimé ce passage d’Isabelle, qui m’a offert et m’offre toujours des envies de la relire comme si elle était encore là.  On parcourant ce regard réflexif entre le Djebel Mekter (montagne qui surplombe Ain-safia) et le cimetière musulman de Sidi BOUDJEMAA  où repose en paix Isabelle. Elle disait, je m’introduis à Ain sefra par cet été 1904 qu’Isabelle nous fait découvrir d’une façon très spontanée et très curieuse

relief essentiellement calcaire parsemé de cônes volcaniques, tantôt à travers une zone plissée d'où se détache le djebel Bou-Naceur (3 340 m). C'est le château d'eau du Maroc, car il stoppe les perturbations atlantiques et les restitue grâce à son système hydrographique. C'est le pays des sources. Le Haut Atlas étire sur 700 km une succession de sommets. Il culmine à 4 167 m, au djebel Toubkal, le sommet le plus élevé d'Afrique du Nord. Dans sa partie centrale, son versant méridional est entaillé

Beaucoup d'étrangères, Françaises du Maghreb, ont écrit sur le Maghreb, surtout en Algérie entre 1919 et 1939, ainsi que jusqu'à nos jours. Certaines ont même pris des pseudonymes arabes (comme Seddik Ben El Outa ou encore Benta Djebel) qui ont dérouté les lecteurs. Plu­sieurs romancières juives ont également écrit des romans depuis les an­nées 20 jusqu'à nos jours, alors que la plupart résident actuellement en France. Mais mon propos est de m'arrêter uniquement aux Algériennes, Tunisiennes et

de cruelles extrémités furent, comme toutes les expériences désastreuses, sans doute refoulées, sauf par quelques « originaux » qui persistèrent à s’y intéresser, dans l’indifférence quasi générale. David Galula, ancien lieutenant-colonel dans le Djebel Mimoun de Grande Kabylie de 1956 à 1958, mais aussi fin observateur de la prise du pouvoir par les communistes chinois (période 1945 – 1949), fut de ceux là qui choisit de partir s’exiler aux Etats-Unis. C’est là-bas, alors que la superpuissance était

et se multiplier des récits à forte coloration exotique. Le voyageur, pour divers motifs, s’intéresse davantage aux paysages, aux costumes, aux coutumes, aux architectures qu’à l’autochtone lui-même. Dans son étude «L’aventure détournée à propos de Djebel Amour de Frison Roche » 11, Simone Rezzoug écrit : « La définition neutre du texte exotique comme œuvre qui «évoque les mœurs ou les paysages étrangers » (d’après le Grand Larousse), semble donc insuffisante, mais a l’avantage de souligner l’extériorité

Larbi, l’un des bergers des tribus Chaamba semi-nomades qui campent le long de l’Erg-raoui, […] (Tournier, p. 10) 9 En revanche, dans l’exemple suivant, l’emprunt s’accompagne d’un travail de littérarisation : 10 Le bassin de réception des eaux du djebel est une vaste sebkra, située immédiatement à l’extrémité nord-ouest de la palmeraie. Elle est habituellement asséchée, les cristallisations salines y miroitent au soleil. Mais certaines années, à la suite de pluies exceptionnelles, les eaux de ruissellement

d’Egypte sous les coups des Assyriens, leur histoire est plus difficile à établir. Pendant un millénaire, c’est le destin d’un état de plus en plus africain : le royaume de Koush. La capitale reste d’abord à Napata, au pied de la montagne sacrée du Djebel Barkal. Puis, sans doute au VIème de l’ére chrétienne, elle est transférée bien plus au sud, à Méroé. L’extension du royaume koushite n’est guère précisée, la diversité de ses régions encore mal dégagée. A l’extrême nord, la Basse-Nubie, sorte de

désert. La façade méditerranéenne est longue de 1770 km de long. Il n’existe pas de réelle chaine de montagnes à l’exception du massif TIBESTI près de la frontière tchadienne au Sud (2200m). Il y a de hauts plateaux comme le Djebel Nafousah, le Djebel Akhdar et le Djebel Assawda en arrière du golfe de syrte. Les terres fertiles sont concentrées sur une bande étroite près de la côte et des hautes steppes. Au Sud, le désert de Fezzan précède le Sahara. L’agriculture n’est possible que dans les