Dm Ses 2nde

4 octobre 2015 82 exercices de mathématiques pour 2nde Stéphane PASQUET iSommaire Disponible sur http: // www. mathweb. fr 4 octobre 2015 I Calculs & ordres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 I.1 Calculs divers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 I.2 Simplification d’une racine carrée particulière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 I.3 Simplification de radicaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

communication (ex : la pub) destinée à « recruter » les visiteurs du site C ) L’utilisation des fichiers - L’utilisation des fichiers de clientèle, rendue possible par la présence d’entrepôts de données et de systèmes d’exploitation de ces données (DW/DM), est essentielle pour un bon ciblage.  Elément essentiel dans les entreprises de VPC, les banques, les assurances… - Un bon fichier regroupe généralement des éléments comme : La fiche signalétique (nom, adresse, âge, CSP, revenus…) Les relations

d’autres méthodes permettant d’estimer les probabilités conditionnelles. Apprentissage statistique EM : Il s’agit de l’apprentissage statistique combiné à l’algorithme « expectation maximisation » (EM). Soit Do l’ensemble des données observées et Dm l’ensemble des données manquantes. N i*, j ,k = Eθ N i , j ,k = N × P X i = x k , pa ( X i ) = x j θ * 1 θ i(,tj+,k) = [ ] ( ) N i*, j ,k ∑N k * i , j ,k Modélisation du risque opérationnel dans l’assurance 80 / 180

C’est le montage push-pull : 4. 8 Electronique Analogique 4. Transistor bipolaire. TEC Montage Push-pull à 2 alimentations Montage Push-pull à 1 alimentation (la 2nde alim. est remplacée par un Condensateur C de forte capacité) (C se charge pendant une alternance et sert de géné. durant la 2nde) E E Charge RL C E - + v s (t) v e (t) v s (t) RL v e (t) Avantage par rapport à la classe A : meilleur rendement de puissance. Inconvénient du push-pull

= ∑ ∫ D n ψ n (ω n x ) ψ m (ω m x )dx 0 L On montre que si n ≠ m alors ∫ ψ n (ω n x ) ψ m (ω m x ) dx = 0 (orthogonalité des fonctions propres) 0 donc : L L 0 0 2 ∫ T (x,0) dx = ∫ D n ψ m (ω m x ) dx (h) On détermine la valeur des constantes Dm en égalant les expressions (g) et (h). Appliquons cette méthode à l’exemple traité : L L T − T0 On a : ∫ T ( x,0) ψ m (ω n x )dx = ∫ (Ti − T0 ) sin (ω n x ) dx = i ωn 0 0 L L L 0 0 et : ∫ T ( x,0) ψ m (ω m x )dx = ∫ D m sin 2 (ω m x ) dx = D m

= ∑ ∫ D n ψ n (ω n x ) ψ m (ω m x )dx 0 L On montre que si n ≠ m alors ∫ ψ n (ω n x ) ψ m (ω m x ) dx = 0 (orthogonalité des fonctions propres) 0 donc : L L 0 0 2 ∫ T (x,0) dx = ∫ D n ψ m (ω m x ) dx (h) On détermine la valeur des constantes Dm en égalant les expressions (g) et (h). Appliquons cette méthode à l’exemple traité : L L T − T0 On a : ∫ T ( x,0) ψ m (ω n x )dx = ∫ (Ti − T0 ) sin (ω n x ) dx = i ωn 0 0 L L L 0 0 et : ∫ T ( x,0) ψ m (ω m x )dx = ∫ D m sin 2 (ω m x ) dx = D m

travailleur qui bosse à la sueur de son front est imposé plus lourdement que le financier qui ne fout que dal. Ne peut on pas s’émouvoir? Explication rationnel. L’épargne provient d’un surplus de travaille donc il a déjà été imposé donc il ne subit pas une 2nde imposition aussi voire plus lourde que la 1ère. Explication éco. Le K est très mobile alors que le travail ne l’est pas. Donc on a besoin d’attiré le K on donne des carottes au investisseur et les travailleurs eux ne vont pas bouger c plus compliqué

à une transaction ................................ 83 • Les 12 facteurs de jugement du consommateur ........................ 85 • Analyse de la satisfaction ............................................................ 116 • Étapes du modèle CRISP-DM ..................................................... 189 • Pyramide de la fidélité ................................................................ 194 • Logique du développement de la fidélisation .......................... 292 Liste des cas

la part des découverts dans les emprunts auprès des établissements de crédit. On sait alors que c'est une dette qu'il faudra rembourser à très court terme. D. Le poste : « Emprunts et Dettes financières divers ». Oubli : étude des lignes DM « Produit des émissions de titres participatifs » et DN « => Explication du renvoi « Dont emprunts participatifs » : Il s'agit de quasi fonds propres. Ces 2 postes soulèvent un problème juridique. Un tire participatif est une obligation. Dès

E(f1 (X1 ) × . . . × fn (Xn )) = i=1 E(fi (Xi )), alors les vecteurs al´atoires X1 , . . . , Xn e sont ind´pendants. e Remarque 3.3.12. Lorsque les vecteurs al´atoires X1 , . . . , Xn sont ind´pendants, alors e e ∀m ∈ [1, n], ∀1 ≤ d1 < d2 < . . . < dm ≤ n, les vecteurs (X1 , X2 , . . . , Xd1 ), (Xd1 +1 , . . . , Xd2 ),...,(Xdm−1 +1 , . . . , Xdm ) et (Xdm +1 , . . . , Xn ) sont ind´pendants, propri´t´ e ee d´montr´e dans la remarque 2.2.7 dans le cas discret. e e 3.3.5 Covariance On rappelle