Doctrine de la guerre juste

première finalité du droit, c’est la justice. Les romains disaient que le droit était l’art du bon et du juste, c’est un savoir-faire pratique. « Ars boni et aequi ». Aequi = équité. Les grecs avaient distingués dans l’Antiquité la loi positive (règle édictée par l’autorité) et la justice. Soit l’autorité qui fait la loi positive est juste et applique une loi juste, une loi positive n’est pas forcément juste. Loi positive et loi subjectif. Le droit est une réalité complexe. Origine du droit : La sociologie

PLAN INTRODUCTION……………………………………………………………………………………….2 PARTIE 1 : LE MONDE AUX LENDEMAINS DE LA GUERRE FROIDE…………..3 SECTION 1 : LA RUPTURE AVEC L’ANCIEN MONDE……………………….3 SECTION 2 : LA MONTEE DES NOUVELLES PUISSANCES……………….4 SECTION 3 : LE NOUVEL ETAT DU MONDE……………………………………9 PARTIE 2 : LA SITUATION DU MONDE DURANT LE NOUVEL ORDRE MONDIAL …11 SECTION 1 : LES GUERRES ET LES CONFLITS LOCAUX…………………11 SECTION 2: LES IDEOLOGIES DOMINANTES………………………………..17 SECTION

Marshall fût un général et un homme politique Américain. Il est né à Uniontown en Pennsylvanie en 1880 et est décédé à Washington en 1959. Il participa à la première guerre mondiale et devint en 1939, chef d'état-major avec le rang de général. A ce titre, il assura la présidence de l'état-major anglo-américain durant la seconde guerre mondiale. Secrétaire d'état-major de 1947 à 1949, il conçut une diplomatie destinée à contenir l'expansionnisme soviétique et fût le promoteur du plan (dit plan Marshall)

sophiste. Il le retourne en affirmant que l’utilité est du côté de la loi. Il explique que les hommes se sont réunit sous la pression de la nécessité, il leur est impossible de vivre sans la loi. Ces nécessité expliquent la souveraineté de la loi et du juste et il ne saurait y avoir de changement car ces nécessités sont naturelles. La loi est donc une convention utile. Il évoque également l’intérêt de la cité. Selon lui il ne faut pas se montrer trop ambitieux, ni dvp sa propre force au dépend du bien

situation de 1933 :un gouvernement paralysé, sans initiative, confronté à la crise économique. Aussi, l’avenir du régime paraît d’autant plus menacé qu’à la crise des institutions s’ajoute une crise intellectuelle et morale, une crise des valeurs et des doctrines politiques, qui prive le pays de perspectives autres que la fuite vers l’extrémisme. C)La crise intellectuelle et morale Les contemporains ont éprouvé le sentiment d’une véritable rupture, et la crise économique et ses implications sociales

Léon Bourgeois. C’est dans ce contexte de rivalité avec le socialisme révolutionnaire que se situe le grand effort pour doter le radicalisme d’un corps de doctrine qui lui manque pour passer du simple « état d’esprit » à une véritable idéologie pouvant s’opposer à la doctrine marxiste bien en place. Ce sera l’œuvre de Léon Bourgeois et de sa doctrine de la solidarité. Avocat et homme politique français (1851-1925), avec le solidarisme, il propose aux radicaux le programme économique et social dont le

Introduction : 1945-1991, un affrontement entre les deux grands. Guerre froide : Walter Lippmann (journaliste américain) popularise le terme employé pour la 1ère fois par Bernard Baruch (conseiller de Roosevelt) en 1947. La virulence de l’affrontement idéologique Est/Ouest a conduit certains historiens à en faire remonter les origines à l’entre-deux guerres (André Fontaine, Le roman de la guerre froide, La tâche rouge) : en 1917-1918 avec l’installation du régime bolchevique par Lénine les 14

Composition d’histoire : Sujet : Les totalitarismes dans l’après Première Guerre Mondiale : points communs et différences : La première Guerre Mondiale s’achève avec la victoire de la triple Entente de majorité libérale. L’après-guerre se présente comme l’instauration d’un nouvel ordre mondial libéral. Mais en réalité, elle engendre un nouveau modèle politique hostile à toute fourme de démocratie : le Totalitarisme. C’est une forme de dictature où un homme est mis au pouvoir et est soutenu

Le nationalisme est une doctrine qui vise à privilégier très fortement l'intérêt national par rapport aux autres intérêts, qu'ils soient ceux des autres nations ou ceux des individus. Sous l'impulsion de certains gouvernants et dirigeants extrémistes de tous bords, qu'ils fussent fascistes, nationaux-socialistes, marxistes-léninistes ou anarcho-libertaires, le nationalisme a parfois dévié dans l'Histoire vers des manipulations conduisant hélas au totalitarisme et à la guerre. • Le patriotisme au contraire

anglicane, au dessus des pasteurs, il y a les Evêques. Or, tous les réformés d’Angleterre n’acceptent pas ce type d’organisation (on parle souvent d’organisation épiscopalienne), nombreux sont ceux qui sont aussi en désaccord sur certains points de doctrine, et l’ensemble de ceux qui critiquent cette proximité entre l’Eglise anglicane et l’Eglise catholique sont regroupés, quelques soient leur différence, sous une même appellation : on parle de puritains (du latin purus : pur), ils souhaitent ce qu’ils