Dogmatisme Relativisme

un innocent est mal, tuer un tueur est bien. Il n’y a pas de Vérité avec un grand V. Cette prise de position fonde la pratique sophistique de réduire la vérité à ce qui persuade car l’apparence ne cache rien. C’est la formulation la plus pure du relativisme PARAGRAPHE 3 SOCRATE : Socrate Il est très dur de compléter une biographie effective et sans erreur de Socrate, car celui-ci n’a laissé aucun écrit. C’est grâce à Platon, son disciple, que nous pouvons apprécier ses pensées. Malgré ce détail

Regina Duran Lezama Groupe 6100 TAP Que veut-t-on dire par « connaissance »? D’où vient la connaissance? Est-elle inné ou l’acquiert-on avec le temps? C’est des questions de sens qu’on se pose depuis longtemps et dont trois écoles de pensée différentes leur ont trouvé des réponses de sens. Le problème ici est que ces écoles de pensée s’opposent. Tout d’abord, nous avons l’empirisme qui dit que toute connaissance provient des informations qui nous livrent les sens. Rien ne peut exister dans la

connu sous le nom de relativisme. Le relativisme est une doctrine philosophique qui affirme que tout est relatif, ce qui veut dire que rien n’est absolu. « L’homme est la mesure de toutes choses. » Cette phrase nous dit que la vérité est seulement humaine puisqu’elle est limitée et ne peut dépasser le système sensoriel. Or, si on ne peut dépasser le système sensoriel, notre perception est donc très limitée. Cela nous dit que la vérité n’est qu’humaine. De plus, le relativisme affirme que nos jugements

« Chacun sa vérité ».Existent-ils une vérité commune à tous ? La vérité peut être relatif avec des perceptions différentes mais au niveau du réel elle peut se montrer absolue, universelle à tous, ainsi nous pouvons lesmettre en relation avec le relativisme absolu. I- Vérité Relatif: A- Perception = Opinion Nous exprimons de nombreuses opinions qui varie selon Hommes. La perception n'est seulement qu'uneconnaissance qui ne peut être démontrable à la condition d'appartenir au réel. Un daltonien

Le relativisme "L'homme est la mesure de toute chose". (Protagoras, 485-410 avant JC, premier philosophe relativiste de l’histoire) Définition L'expression « chacun sa vérité » illustre bien le relativisme, doctrine selon laquelle aucune opinion n'est vraie absolument (la morale, l’esthétique…), chacune n'ayant de sens que par rapport à un point de repère lui-même mouvant. («Plaisante justice qu'une rivière borne. Vérité en-deçà des Pyrénées, erreur au-delà!» dira Pascal) Ce point de repère

universelle. Ne peut-on mettre en cause cette expérience en affirmant que la beauté n'est que relative ? Ce relativisme se conjugue en trois éléments: - relativisme historique, ce qui est beau à une époque ne l'est plus à une autre - relativisme culturel, ce qui est beau pour une culture ne l'est pas pour une autre - relativisme individuel, la beauté dépend de chacun Ces trois relativismes se renforcent et rendent impossible de définir la beauté donc cette notion est totalement détruite d'où une

tradition et à la modernité qui peuvent être contradictoires4. Tradition et modernité désignent ici des mouvements historiques ; ce qui impose également de faire preuve d'un relativisme historique quand on souhaite traiter des problématiques liées à la drogue. Ce relativisme historique est aussi important que le relativisme culturel évoqué plus haut4.

importance. Il est une faille: un moment où tout semble s’accélérer et se suspendre en même temps. Selon P.Veyne, le «non événementiel» n’est que «l’historicité dont nous n’avons pas conscience comme telle». Cependant, il convient de mesurer ce relativisme historique, qui mène parfois à des déboires. Les assassins de la mémoire, écrit par Pierre Vidal-Nacquet atteste de ce révisionnisme historique d’un Faurisson ouvertement négationiste qui nie l’existence des chambres à gaz pendant la deuxième guerre

pratique tout en promouvant également une colonisation plus harmonieuse, sensible à l'ensemble des éléments constituant une société dite traditionnelle. Il ne va donc pas s'opposer à la colonisation mais veut que celle-ci soit mieux organisée. Le relativisme culturel n'était pas alors considéré comme incompatible avec la colonisation. Idée que l'anthropologie est une science impérialiste. Cette idée est notamment défendue par E. Said, dont l'inspiration vient du pouvoir/savoir de Foucault: toute

tradition et à la modernité qui peuvent être contradictoires4. Tradition et modernité désignent ici des mouvements historiques ; ce qui impose également de faire preuve d'un relativisme historique quand on souhaite traiter des problématiques liées à la drogue. Ce relativisme historique est aussi important que le relativisme culturel évoqué plus haut4. Représentations collectives Dans les années 1960 et notamment dans les sociétés occidentales, le terme drogue prend progressivement un sens péjoratif