Dogme

(Djaoute), ils portaient un regard critique sur les religieux et leurs pratique ; à l’image des philosophe des lumières. Ainsi et comme le rappelle Zlitni-Fitouri l’écriture profane est : « ce roman qui aurait la témérité de s’attaquer ouvertement au dogme religieux […] où le sacré serait explicitement transgressé d’une manière blasphématoire. ». 2 Ce genre de roman on ne le verra qu’avec la deuxième génération où il s’agit de bouleverser, de choquer une société théocratique « Dans la mesure où le rapport

l'habitude de céder à l'instinct qui nous porte aux plaisirs des sens ". Le terme " libertin " comporte deux acceptions principales :       - à l'origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes (sorte de doctrine obligatoire, comme le dogme chrétien) établis à l'époque, on appelle ces libertins les libres penseurs (ou libertin d’esprit).       - de nos jours le sens de libertin se réfère au libertin de mœurs, qui va se laisser porter aux plaisirs avec une certaine liberté qui dépasse

racines dans un Ancien Testament dévalorisé, paraît constitué de dogmes inacceptables. Si l’Incarnation (« Conciles ») et la Rédemption (« Messie », « Péché originel ») ne sont pas épargnés, Voltaire se déchaîne contre la Trinité et surtout contre le dogme de la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie, cette croyance « monstrueuse » que pas « un seul homme de bon sens » ne peut embrasser sérieusement (« Transsubstantiation »). Voltaire veut désabuser les hommes de l’esprit de secte et des « mystères

conscientes. Le doute apparaît alors d'emblée pour beaucoup, comme une notion devant être utilisée avec précaution et clairvoyance. Il peut vite devenir dangereux pour l'ordre établi, inquiétant pour la société, déstabilisant pour l'individu. Or, opposé au dogme et à la croyance, le doute est est au contraire, pour les philosophes, un élément constitutif de la pensée humaine; par ses questionnements, ses interrogations, ses critiques, il permet le développement de nouveaux savoirs, de nouvelles théories, de

d’occident avec l’Eglise orthodoxe d’Orient par ce que l’histoire retiendra sous le nom de Schisme. La seconde voit la naissance du protestantisme suite aux thèses réformatrices de Luther, qui sera excommunié en 1521. B) Dogmes. Un dogme est une vérité que l’Eglise pose comme devant être crue. Ce terme est dérivé du grec doiken, «croire », « décider ». La plupart des dogmes proclamés par l’Eglise l’ont été pour clarifier la doctrine et lutter contre les hérésies (ceux qui pensent

ne semble acceptable. « aucune de ses certitudes ne valait un cheveux de femme ». Cette référence à « la femme », peut être Marie ?, le rend plus humain. « Il n'était plus sûr d'être en vie puisqu'il vivait comme un mort ». Évidente critique du dogme religieux et perte de la certitude : quand vit-on ? Puis citation de chaque personnage du roman où tout devient l'équivalent du reste. Les personnages sont interchangeables. Ils font partie du « les autres aussi ». L'être humain se retrouve seul

et après Jean Calvin, Institution de la doctrine chrétienne, Genève, 1536-1538, puis Strasbourg, puis Genève, 1541 La riposte de l’Église catholique prend le nom de Contre-Réforme ou Réforme catholique Concile de Trente (1545-1563) stabilise le dogme et décide la création de séminaires L'Ordre des Jésuites (Ignace de Loyola, 1540), missionnaire et enseignant L’anglicanisme (pas une réforme mais un schisme) Souvenir de Wycliff (mort 1384) Excommunication de Henry VIII, 1533 1534, Parlement

expérimental. Critique envers le dogmatisme, le libertinage refuse la notion de système philosophique ; il se constitue davantage sur une pluralité d'essais philosophiques portant sur divers thèmes, convergeant dans une même critique de la religion et du dogme Matérialistes, les libertins considèrent que tout dans l’univers relève de la matière, laquelle impose, seule, ses lois. Ils estiment donc que la compréhension du monde relève de la seule raison, reniant, pour beaucoup, la notion de Créateur. Sur

manquement grave au christianisme. Sacrements: Fixés à sept au 12ème siècle, ce sont les cérémonies religieuses qui rythme la vie d'un individu. Les plus importants sont le baptême, la communion et la confession. Catharisme : hérésie contredisant le dogme chrétien de la création. Les cathares croient en l’existence d’un principe bon ayant créé les âmes, et d’un principe mauvais ayant créé les corps et la matière. Hérésies : mouvements de contestation qui rejettent certains points de doctrine ou le

clergé protestant l'est des siens, et tous deux les défendent avec la même | |ardeur. Cependant, cette conviction se règle sur le pays natal de chacun : en effet, la vérité du dogme catholique apparaît | |parfaitement évidente au clergé de l'Allemagne du Sud, mais au clergé de l'Allemagne du Nord, c'est celle du dogme protestant. | |Si maintenant semblables convictions reposent ainsi sur des raisons objectives, alors celles-ci doivent être climatiques et, | |comme les plantes, les unes