Doigt d'honneur

patients. La secrétaire fait rentrer deux personnes, un enfant de six ans, le bras plâtré, avec son père. Ils nous saluent et s’asseyent. Je trouve cela, à la fois génial et étrange de ne pas être le patient. L’enfant montre son bras plâtré et bouge les doigts avec facilité. F.T. dit à l’enfant qui n’a pas l’air inquiet, qu’on lui retirera enfin son plâtre ! Puis il donne plusieurs formulaires à signer et quelques explications, sur l’opération au père de l’enfant pour le rassurer. Pour finir le chirurgien

écrire non plus. Elle tremblait, les larmes lui montaient. Elle prit une longue inspiration. Elle posa le doigt sur une corde, puis un autre et encore un autre. Ses deux mains étaient en place pour jouer un accord sublime. Ses doigts ne tenaient plus. Puis après une bref pause, elle ouvrit les yeux, respira lentement, sécha une dernière larme et joua. Elle joua durant près de six heures, ses doigts étaient en sang mais elle continuait encore et encore. En l’écoutant nous ressentions de la joie, de la

étendue, inerte, elle la fit ensuite ramper peu à peu le long d’un des pieds de la table, qui se trouvait devant elle, et parvint à la poser sur la toile cirée. Là, elle agita faiblement les doigts, comme pour attirer l’attention. », « Madame Raquin fit un signe violent de dénégation. Elle allongea un doigt, replia les autres, avec des peines infinies, et se mit à tracer péniblement des lettres sur la table. ». Au début de cette scène, Mme Raquin avait peur de ne pas pourvoir assister ce repas :

j’allume. * Je pique le côté de la dernière phalange et j’évite la pulpe du doigt (c’est douloureux). Je ne pique pas le pouce ni l'index pour des raisons de perte de sensibilité. * J’élimine la lancette dans la boite à OPTC. * Je recueillie une goutte de sang sur la zone réactive de la bandelette sans l'étaler (le sang ne doit pas toucher le lecteur). * Je mets une compresse ou un coton sur le doigt piqué. * Je lis et relève la glycémie, que je noterai plus tard sur le dossier

Le champ lexical du « corps » (l.36/75/77) est très présent. Il fait appel aux cinq sens, tout d'abord le toucher : « les doigts » (l.2), « la main » (l.48 /54), « froide » (l.24) et « froid » (l.25) ; ensuite le goût : « sa bouche »(l 32/38/78), la vue: « le regard »(l.9), « les yeux » (l.13) et « les paupières » (l.41/75). L'odorat est aussi évoqué pas « l'odeur » de magnolia répétée trois fois lignes 43, 56 et 59 et l'ouïe par l' « homme » qui « siffle » « sur la grève » (l. 20/21 », les « doux

Physiques : Tuméfaction, empâtée à la périphérie, mais ramollies au centre ; sur tout apparait un signe caractéristique traduisant la collection purulente. La fluctuation : « un doigt ou une main posé à l’un des pôles de l’abcès, est latéralement refoulé chaque fois que l’on provoque une dépression au pôle opposé avec l’autre doigt ou l’autre main ». Cette perception permet d’affirmer la présence du pus et constitue l’indication majeure de l’incision. 5/ Evolution : Après l’incision la guérison est

vêtement rouge très vif et d'une toge blanche qui le recouvre sur son épaule gauche. Le dernier pélerin, à droite, vraisemblablement le plus vieux, est également tourné vers le Christ et le regarde. Il tend les deux bras à sa gauche et à sa droite. Ses doigts dépassent le cadre. Il est habillé en ocre et en brun. Il porte une barbe. Au milieu d'entre les personnages, il y a de la nourriture comme du poulet, des fruits et du pain ainsi que du vin. Le panier avec des fruits dedans semble tenir en équilibre

connais pas se présentent. Toi par exemple ! Juan (avec un accent espagnol) bonjour ! Je m’appelle Juan, et je suis en Belgique depuis à peu près un an et…commo se dice ? Un an et…demi ! J’ai deux petites sœurs qui ont (montrant le 6 et le 8 avec ses doigts) seis y ocho anos ! A la maison, on parle tout le temps espagnol, donc je ne connais pas très bien el frances… Et je ne sais pas quoi dire d’otre donc… merci de m’avoir écouté ! Mlle Asklara Merci Juan, et ton pays natal ne te manque pas ? Juan

poignets avec le savon doux en insistant plus particulièrement sur les pouces, le dos des doigts, le dos des mains, le pourtour des ongles, les espaces interdigitaux. J’ai rincé en allant des mains vers les coudes, les mains se situant toujours au-dessus des coudes : en commençant par les doigts et en finissant par les poignets afin de ne pas ramener les germes au bout des mains. J’ai séché par tamponnement, des doigts vers les poignets, avec les essuie-mains à usage unique. J’ai fermé le robinet avec

est un grand seigneur. Grand seigneur, son dédain nous cingle, Porteur d’épée, il est railleur, Or, cette épée est une épingle, Si le peigne est un grand seigneur. Cette épingle, adroite et gentille, Le rend propre comme une fleur, Aux doigts de la petite fille Dont le peigne est un grand seigneur. Donc que je dise ou que tu dises Qu’il est sale, mon beau parleur, Il laisse tomber les bêtises, Car le peigne est un grand seigneur. Pour moi, je ne veux pas le dire : Cela manquerait…