Doisneau

Sa vie en quelque mots Willy Ronis est né le 14 août 1910 à Paris et mort le 11 septembre 2009 à Paris, est un photographe français. Il est, avec Robert Doisneau, Édouard Boubat et Cartier breton , l’un des représentants les plus importants de ce que l’on a appelé par la suite la photographie humaniste1. Son travail Il est considéré comme un humaniste car il avait cette singularité de photographier le paysage vivant de la capitale. A travers ses œuvres, se dévoile une sorte de tendresse

théâtre au conservatoire. A 23 ans Boubat découvre la photographie, et son style amènera Picasso à l'encourager à poursuivre dans cette voie. A peine un an après avoir débuté son activité, il reçoit le prix Kodak, puis celui de la BNF aux côtés de Doisneau, photographe humaniste de 11 ans son aîné; et sera récompensé de nombreuses fois dans les 20 dernières années de sa vie pour ses livres et son oeuvre. Inscrit dans son époque, Edouard Boubat est proche des artistes contemporains de la deuxième moitié

France, la photographie humaniste, qui marque un intérêt pour l’être humain dans sa vie, se développe autour de l’icône d’Henry Cartier-Bresson, le maitre de la capture de l’instant décisif. Les maitres de ce courant que sont André Kertesz, Robert Doisneau ou Brassaï, se refusent de considérer l’outil non pas comme un outil objectif mais veulent montrer le regard subjectif du photographe face à la réalité, c’est un réalisme poétique qui s’affirme avec ces photographes auteurs. Henry Cartier Bresson

la sépare aujourd’hui, -du fait de sa nouvelle appartenance sociale-, du milieu social dont elle vient. 4/ Image d’un tableau/photo/ dessin/poème contemporain ou passé qui nous ait venu spontanément à l’esprit en lisant une scène : Robert DOISNEAU, Bistrot cloisonné, Paris, 1950. 5/ Paragraphe d’écriture à travers une situation vécue récemment qui nous a ramené à une époque ancienne : La semaine dernière mon frère et moi sommes allés dans la maison dans laquelle nous avons passé notre

personnes observant les clichés, des réactions positifs ou négatifs, les faires réfléchir sur un sujet précis, l’image est dans ce cas bénéfique pour l’homme, elle l’aide à se cultiver, à s’interroger et le rend d’avantage intelligent. Robert DOISNEAU par exemple, un photographe humaniste du 20ème siècle, ses photos avaient pour but de faire naitre une émotion, une certaine spontanéité ce dégager de ses clichés, il avait l’art de provoquer de l’émotion, peu d’homme pouvait rester sans réactions

entretiennent un lien étroit avec la temporalité. Il ne s'agit ici pas d'un simple sentiment lié à son usage populaire en tant que photo souvenir. Cependant, la notion de temps sous-entend de prendre en compte le concept de mémoire et donc d'oubli. Robert Doisneau sans beaucoup de poésie, contrairement à ses célèbres clichés, rappelle que ces images font office de « constats d'huissiers ». Au-delà du décors, de la mise en scène ou bien des coutumes vestimentaires, il faut partir du moment de la prise de

En 1945 il publie L’homme foudroyé puis en 1946 La main coupée, roman dans lequel il dénonce « l’ignominie » de la guerre. Dans Bourlinguer (1948), il décrit onze ports européens. La Banlieue de Paris (1949) est née de sa collaboration avec Robert Doisneau. Il publie en 1959 trois pièces radiophoniques, sous le titre Films sans images, puis en 1956 son dernier récit, Emmène-moi au bout du monde. Il s'éteindra pauvre et malade à Paris, le 21 janvier 1961. À l’occasion du cinquantième anniversaire de

En 1945 il publie L’homme foudroyé puis en 1946 La main coupée, roman dans lequel il dénonce « l’ignominie » de la guerre. Dans Bourlinguer (1948), il décrit onze ports européens. La Banlieue de Paris (1949) est née de sa collaboration avec Robert Doisneau. Il publie en 1959 trois pièces radiophoniques, sous le titre Films sans images, puis en 1956 son dernier récit, Emmène-moi au bout du monde. Il s'éteindra pauvre et malade à Paris, le 21 janvier 1961. À l’occasion du cinquantième anniversaire de

« Vallée de la Mort » et dans laquelle il publia aussi bien la "Loire" de Robert Doisneau que "l'Égypte" de Duane Michals. Grand lecteur cultivé, Jeanloup Sieff aimait les mots et les jeux de mots …il aimait faire se choquer les sonorités et se rencontrer les sens…et écrivit différents ouvrages. Il a en outre publié de nombreux albums, dont La Sicile de Maupassant, et Demain sera plus vieux. Il restera avec Doisneau un des rares photographes qui ait su, avec une dose d'humour d'autant plus précieux

pleine campagne, l’artiste construit un studio temporaire, l’image reste donc centrée sur l’humain. Les premiers paraîtront dans Vogue Paris en juin 1951. C'est l'écrivain et spécialiste des bas-fonds Robert Giraud3, également camarade de Robert Doisneau, qui recrute pour Irving Penn les différents modèles parisiens de cette série (216 photos au total) (dont la suite sera réalisée à Londres et à New York. ) Penn fait aussi à Paris une rencontre capitale. Il est amené à photographier, vêtue par