Doit On Craindre Une Mondialisation Culturelle

capitaux. C’est précisément pour cette raison qu’il est indispensable de pouvoir comparer les états et résultats financiers des différentes entreprises du monde entier d’où l’idée de l’uniformisation des normes IAS/IFRS. Dans le contexte actuel de mondialisation, l'harmonisation internationale, ou encore la réduction des différences entre réglementations comptables nationales, est donc devenue un enjeu pour les entreprises, cette harmonisation leur permettra notamment d'accéder à tous les marchés financiers

cohérence des informations et communication à l’ensemble de l’entreprise … Il est possible de prendre en compte chacun de ces besoins, mais il faut prêter attention à ne pas les traiter partiellement. En effet, un dysfonctionnement SI ne doit pas représenter le seul objectif du projet : il faut prendre en compte les besoins organisationnels qu’il implique, sous peine d’échec du projet, auquel on pourra reprocher le manque de retour sur investissement. C’est justement cette optimisation

organisations. Premièrement une présence désormais massive et permanente de femmes sur le marché du travail dans la plupart des pays industrialisés (Cornet, 2002), deuxièmement, une mixité démographique entraînée par les mouvements migratoires et la mondialisation des échanges (Héran, 2007), troisièmement la cohabitation de plusieurs générations liée à l’augmentation de l’espérance de vie (Marbot, 2005) et finalement une culture plus tolérante et libérale à l’égard des différences (Inglehart, 2003). A

Bouddhisme o 7.5 Chan o 7.6 Religion populaire chinoise o 7.7 Christianisme o 7.8 Islam o 7.9 Autres religions 8 Culture o 8.1 Langues et écriture o 8.2 Littérature o 8.3 Éducation en Chine o 8.4 Fêtes traditionnelles o 8.5 Autres aspects culturels importants 9 Sciences et inventions o 9.1 Les « Quatre grandes inventions »  9.1.1 Boussole  9.1.2 Imprimerie  9.1.3 Papier  9.1.4 Poudre à canon o 9.2 Médecine et acupuncture o 9.3 Administration de l'État o 9.4 Porcelaine o 9.5 Soie

dans la société est d‟autant plus fort que la notion de RSE est critiquée comme étant trop large et trop ambiguë. Récemment, le débat portant sur la RSE a changé de perspective : l‟intérêt s‟est ainsi déplacé de la question du „pourquoi‟ l‟entreprise doit-elle agir de manière responsable, à la question du „comment‟ l‟entreprise peut-elle combiner ses principes et ses activités de responsabilité sociale avec son activité traditionnelle de création de richesses (Epstein et Roy, 2001; Smith, 2003). Mais

linguistique et cuistrerie. 21 macht Frei, de sinistre mémoire), mais il arrive que certains hypocrites osent l'affirmer. Le vrai problème, c'est que la langue qu'elle parle nie l'individu en escamotant le style : aucun mémo, aucune note, ne doit trahir son auteur. Chaque texte est poli, afin que le rituel de la langue de bois, propre à chaque firme, soit respecté. Une manière d'écrire collective s'instaure. Quel que soit le sujet traité, la matière est broyée par un rouleau compresseur. Elle

d’échange de contenus ont amené de nouvelles habitudes Par souci de simplification, le Web 2.0 est souvent associé à l’ensemble des applications collaboratives, et aux sites « communautaires ». Pourtant, avant de pouvoir partager du contenu, celui-ci doit être produit. Le Web 2.0 se définit d’abord par la possibilité offerte à l’internaute de créer lui-même du contenu. a. Des outils de création de contenus Les outils du Web 2.0 permettent de créer, commenter, co-créer ou assembler du contenu, sur

continue des pays développés, qui reposent de plus en plus sur des économies de services, dans lesquelles les idées, les marques et les concepts jouent un rôle essentiel. En toile de fond, deux autres tendances lourdes des économies développées – la mondialisation et la financiarisation – facilitent le recentrage des entreprises sur les activités les plus créatrices de valeur, c’est-à-dire les activités immatérielles. Ces trois évolutions concernent l’ensemble des économies développées. Dans chacune d’entre

1990, les choses étaient apparemment simples. La croissance mondiale était relativement limitée et les déséquilibres budgétaires et de balance des paiements relativement faibles. Au tournant du millénaire, la situation a radicalement changé, la mondialisation de l’économie commençant à faire sentir ses effets. Le « double déficit » américain (déficit budgétaire et commercial) n’a fait que se creuser, pendant que les pays émergents (et les BRIC - Brésil, Russie, Inde et Chine - en particulier) ont accumulé

devoir garantir cette fixité et donc intervenir sur le marché des changes ex 1 : si une économie est en difficulté économique il y a un risque de dépréciation de la monnaie de cette éco nationale par rapport au dollar ⇒ Banque centrale nationale doit intervenir en vendant du dollar ⇒ le dollar devient donc moins rare sur le marché des changes par rapport à sa monnaie nationale ⇒ le dollar devient moins cher donc le risque de dépréciation de la monnaie nationale est contrecarré ex2 : Banque centrale