Doit On Se Soucier Des Générations Futures

pense pas être un architecte révolutionnaire , j’utilise simplement des technologies et des matières existantes d’une façon différente » Ban Shigeru. « un bâtiment doit suivre une idée forte de nature architecturale, et non sculpturale ou picturale – une idée qui soit liée à l’activité qu’abritera le bâtiment. Et cette idée doit pouvoir être dessinée sur une serviette ou sur une enveloppe » Barnes Edward. « dans les jardins et les maisons que j’ai dessinés, j’ai toujours cherché à laisser entrer

Commentaire : Sujet : l’article 89 de la constitution. "Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa Constitution. Une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures" La constitution de 1958 fut rédigée dans un souci de rompre avec l'instabilité politique que connaissait la France dans cette période d'après guerre. La quinzième constitution de la France se fonde sur la démocratie: «gouvernent du peuple, par le peuple, pour le peuple». De Gaulle

que chaque pays du monde recherche, c'est à dire, une création de richesse constante qui profite à toute la population. Néanmoins, cette création de richesse ne doit pas nuire à l'environnement, à la société et ni à l'économie. Autrement dit, les décisions prise aujourd'hui ne doivent pas compromettre les besoins des générations futures.
La croissance durable est donc synonyme de développement durable.
La croissance potentielle, l'utilisation du terme "potentielle" indique qu'il s'agit d'une prévision

Dans un monde ou l’énergie est devenue l’essence même de vie de l’humanité, au même titre que l’eau et l’air. Le nucléaire, qui fournit près d’un sixième de l’énergie de la planète, se place en tête des énergies du futur. Depuis la seconde guerre mondiale, l’interdépendance énergétique est devenue un sujet prioritaire dans la plupart des pays du globe. Cela étant évidemment renforcé, de nos jours, par l’explosion des tarifs du marché pétrolier. En matière d’énergie nucléaire, la France fait figure

vrai nous apprend le moins sur le monde. Ce cours est un cours en deux parties : premièrement, un cours d’éthique, plutôt d’ordre épistémologique (« Dans quelles conditions peut-on juger qu’un jugement pratique est bon ou mauvais ? », « Pourquoi doit-on avoir un comportement cohérent ? »). En effet, les juristes n’aiment pas les discontinuités. ( 2ème ?) Il y a deux grands problèmes juridiques qu’on aura toujours à résoudre : le problème relatif à la question de la validité de la norme et celui

Partie 1 : Identification et description de dix tendances provenant du macro-environnement Une tendance est un courant, un ensemble d’évènements, de pratiques, de façon de vivre ou de faire. Ce sont des orientations générales du présent vers le future qui sont notamment relié à l’analyse du macro-environnement. Cette partie du travail traitera sur dix tendances qui seront identifiés et décrites. Celles-ci devront être reliées aux six composantes l’environnement du macro-environnement d’un marché

planète et des ressources, il réclame une réelle prise en compte des besoins des populations défavorisées et les droits des générations futures. *définition du terme développement durable Le développement durable, selon le rapport de Brundtland, se définit comme : « un développement qui répond aux besoins des présentes générations sans compromettre la capacité des générations futures de satisfaire les leurs ». Le développement durable est une démarche recherchant la conciliation entre le progrès économique

lui-même.Celui qui acquiert la liberté politique n’est plus soumis à ces sentiments , ces contradictions , ces envies , ces pulsions etc. parce que la raison (qui forme la liberté politique) lui apporte une vision d’ensemble sur les décisions qu’il doit prendre.Elle permet aussi à l’homme de prendre une distance par rapport aux choses et de réfléchir avant de décider.Il est libre de choisir ou non.Tout cela est exprimé dans « le Contrat Social » de Jean-Jacques Rousseau. 2 3 Autrement dit , la liberté

l'analyse du travail (Clot, 2002), on est parvenu à cette conclusion : la fonction psychologique du travail réside précisément dans la séparation qu'il introduit entre les “préoccupations” personnelles du sujet et les “occupations” sociales dont il doit s'acquitter. Bien sûr, l'aliénation n'en est jamais totalement absente puisqu’on ne travaille pour soi qu'en travaillant pour d'autres. Travailler consiste à vivre dans l'univers des activités d'autrui, à se diriger dans cet univers, à agir sur ses

aussi savoir être libre avec d’autres et élaborer ensemble les conditions d’une liberté en commun. Ce n’est donc pas songer uniquement à sa propre satisfaction immédiate ; c’est se soucier du monde dans lequel nous nous construisons avec d’autres et se soucier de ce que nous voulons transmettre aux générations futures. Aujourd’hui le bonheur semble être la valeur morale qui l’a emporté sur la liberté, comme si nous avions oublié que la liberté est la condition du bonheur et que sans liberté