Dom Juan Libre Penseur

libertin et blasphémateur. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile, accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la conquête l'intéresse et les jeunes femmes sont abandonnées dès qu'elles sont séduites, même après un mariage. Mais l'une d'entre elles, Done Elvire, va lui donner bien du fil à retordre avec entre autre la venue de ses deux frères en Sicile pour trouver Dom Juan et le punir de l'affront

Le libertinage chez Dom Juan Don Juan représente, au fil des temps et des réécritures successives de son histoire, le personnage littéraire qui incarne le mieux le libertinage, dans son sens le plus large, qu'il s'agisse du libertinage d'idées ou de mœurs.
Le qualificatif de “ libertin ” ne fait son apparition en France qu'au XVIe siècle. Il est alors utilisé pour désigner une secte qui développe des croyances liées à la nature et au matérialisme. Par association d'idées et glissement d'interprétation

mythe de Dom Juan », il faudra aussi réaliser un plan détaillé de chaque acte. Aujourd’hui, le personnage de Molière, malgré des débuts très difficiles, est arrivé à devenir un symbole du théâtre français en matière de comédie dramatique. Il a été capable d’alterner des tonalités variées, en ménageant des moments drôle après un passage tendu et pathétique, ceci de manière à éprouver le spectateur et tout en restant de son but qui est le drame. Ces deux dernière scène de Dom Juan nous montre

/ ACTE I :Gusmon, écuyer de Done Elvire, converse avec Sganarelle, valet de Dom Juan. Il ne comprend pas que Dom Juan ait abandonné Done Elvire, qu'il avait épousée après l'avoir enlevée du couvent. Sganarelle, désinvolte, répond aux interrogations de Gusman. Il lui enlève ses illusions et esquisse un portrait de son maître, libre penseur, "grand seigneur méchant homme" et " épouseur à toutes mains" . Arrive Dom Juan : il confie à Sganarelle que seule la conquête l’intéresse. Il évoque l’inconstance

Dom juan de Molière Introduction: Après la Tartuffe (1664), pièce censuré par la compagnie du Saint Sacrement, Molière cherche une nouvelle idée pour ramener la foule dans son théâtres. C’est ainsi quand s’ inspirant des mythes espagnol, de la pièce de Tirso de Molina ou encore de la commedia dell’arte et des tragi-comédies de Darimond et de Villiers, que le 15 février 1665, au théâtre du palais Royal, Dom Juan connait sa première présentation. Le plus grand séducteur, manipulateur et provocateur

ACTE PREMIER. Dom Juan et Done Elvire. Gusmon, écuyer de Done Elvire, s'entretient avec Sganarelle, valet (serviteur) de Dom Juan; il s'étonne que Dom Juan ait abandonné Done Elvire, qu'il avait épousée après l'avoir enlevée de son couvent. Sganarelle, désinvolte enlève à Gusmon ses illusions; il lui fait le portrait de son maître, libre penseur, " grand seigneur méchant homme " et " épouseur à toutes mains ". Survient Dom Juan : il dévoile à Elvire le secret de son propre caractère ; il ne saurait

religieuses, valeurs sociales, valeurs morales Scène 1 : Dans cette scène Dom Juan refuse d’admettre les croyances de son époque et transgresse la morale religieuse. Il refuse toute croyance divine et se sert de la raison, et non de la foi, pour accéder à la connaissance. Tout d’abord il exprime son raisonnement logique et mathématique «Je crois que deux et deux sont quatre […] et que quatre et quatre sont huit». Dom Juan méprise et se moque de la religion, il montre peu d’intérêt et ne répond pas

Acte I Après l’éloge burlesque du tabac par Sganarelle, valet de Dom Juan, la pièce s’ouvre sur une conversation entre celui-ci et Gusmon, écuyer de Done Elvire. Ce dernier ne comprend pas pourquoi le maître de Sganarelle a abandonné Elvire après l’avoir enlevée de son couvent et épousée. Sganarelle lui explique alors que Dom Juan est un libre penseur, un « épouseur à toutes mains ». C’est alors qu’entre en scène Dom Juan, qui confie à son valet qu’intéressé par la seule conquête, il ne peut

Expression du libertinage dans Dom Juan ? Le libertinage religieux Don Juan représente, au fil des temps et des réécritures successives de son histoire, le personnage littéraire qui incarne le mieux le libertinage, dans son sens le plus large, qu'il s'agisse du libertinage d'idées ou de mœurs. Le qualificatif de “ libertin ” ne fait son apparition en France qu'au XVIe siècle. Il est alors utilisé pour désigner une secte qui développe des croyances liées à la nature et au matérialisme. Par association

1. Dom Juan de Molière Dom Juan, sans aucun doute l’un des personnages parmi les plus connus du théâtre universel. Inspiré d’un personnage d’un drame écrit par un moine espagnol au 14ème siècle, il est une figure de l’hypocrisie, ennemi de l’honnêteté et ne s’en cache pas : « l’hypocrisie