Dom Juan Stichomythies

harmonieuse ou conflictuelle ? l’un des interlocuteurs domine-t-il l’autre ? la longueur de leurs répliques est-elle à peu près égale ? - Le rythme de l’échange. Est-il lent ou rapide ? Y a-t-il des silences ? Le rythme s’accélère-t-il jusqu’à la stichomythie ? II. Travaux d’écriture (sur 16 points) – au choix : Sujet 1. Commentaire. Vous commenterez l’extrait des Justes. Proposition de plan pour le commentaire de l’extrait des Justes Introduction : - Présentation des thèmes chers à Camus : Qu’il

interdit, la pièce connaîtra un succès immense, certainement le plus grand de Molière. Dom Juan est une des autres grandes pièces de Molière. Toutefois, la pièce ne fut jouée de son vivant en 1665 que peu de fois. Un succès notable dès le début mais une fois arrivé à la relâche pour les fêtes de Pâques, la pièce ne fut jamais rejouée après. Molière dut la sacrifier pour permettre le retour de Tartuffe. Dom Juan est la troisième pièce à scandale de Molière qui put porter alors malgré tout le titre

et déclare tous les hommes haïssables à travers sa tirade.       De plus ici une action nous est révélée. Pour cela, Molière s'exprime à l’aide de vers, des alexandrins, parmi lesquels on distinguera 2 types de discours versifiés. D'abord, la stichomythie : l'action passe par le vers, le discours se trouve donc être rapide. Ensuite, la tirade. Ce sont deux formes accordées à l'évolution des sentiments, de l'emportement au calme relatif. Par suite, le mot « action » (v.16) est prononcé par Alceste

Conseils méthodologiques pour commenter un texte de théâtre : – Repérer les protagonistes et cerner leur caractère – Quelle est la situation lors de la scène ? – Quel est le registre de la scène ? – Quelle est la forme des dialogues (tirade, stichomythies, soliloque) ? – Comment s’ouvre et se referme l’extrait ? Proposition de plan : Introduction I. Deux figures comiques 1. Un maître et un valet dans une situation traditionnelle 2. Les caprices du maître 3. La sagesse du valet II

confisquée des Trois glorieuses de 1830. 2. Cependant l’auteur fournit la base du théâtre, à savoir le texte : A) Il écrit les dialogues avec les répliques . Il donne ainsi le rythme des échanges selon la longueur des répliques, les enchaînements (stichomythie, reprises de termes … ) . Il imagine l’histoire, ses développements, la division en actes. Il construit ses personnages et les fait évoluer B) Il donne des indications de mise en scène . Les didascalies présentes surtout depuis le XIXème siècle

répliques courtes proférées par les différents membres de la famille un assaut verbal en règle contre le faux dévot. Dorine reprend en la développant l’idée contenue dans l’exclamation d’Elmire « L’imposteur ! », cri du cœur d’Elmire sous forme de stichomythie. La proposition exclamative de Dorine s’appuye sur le même lexique de la trahison « Comme il sait de traîtresse manière » et le groupe nominal ironique « beau manteau » désigne métaphoriquement son art de la dissimulation. Enfin, la tirade de Cléante

Argument Résumé de l'histoire que la pièce met en scène. Pavis 1987. On parle également d'un argument de ballet. Arlequinade Pièce, avec ou sans paroles, ayant Arlequin pour personnage central. Il peut s'agir de la réécriture d'une pièce connue, comme Dom Juan, dont une version, Le Festin de pierre, attribue à Arlequin le rôle du valet. Cette version a été présentée à Québec en 1765. Robert 1991; Corvin 1991 Assonance Répétition du même son, spécialement de la voyelle accentuée à la fin de chaque vers

dit ? Que notre heur fût si proche et sitôt se perdît ? Et que si près du port, contre toute espérance, Un orage si prompt brisât notre espérance ? Ah ! mortelles douleurs ! Ah ! regrets superflus ! (Corneille, Le Cid, III, 4). Cette célèbre stichomythie correspond à la co-énonciation d'un PDV commun : certains tours de paroles réunis des deux amants forment une intervention (qu'il faut distinguer des répétitions syntaxiques caractéristiques du chant amoebée), comme lorsque Chimène et Rodrigue

Études littéraires », 1989) sont également très éclairantes. Pour éviter de proposer aux élèves un exposé purement magistral, voici quelques propositions de mise en activité pour cette introduction contextuelle. Étude d’un corpus de textes – Molière, Dom Juan (livre de l'élève, p. 176). – La Rochefoucauld, Maximes, maxime 215 (livre de l'élève, p. 177). – Paul Bénichou, Morales du grand siècle (livre de l'élève, p. 177-178). – Marie-Odile Sweetser, La Dramaturgie de Corneille (livre de l'élève, p. 179)

énonciateurs. Argument : Résumé de l'histoire que la pièce met en scène. On parle également d'un argument de ballet.Arlequinade : Pièce, avec ou sans paroles, ayant Arlequin pour personnage central. Il peut s'agir de la réécriture d'une pièce connue, comme Dom Juan, dont une version, Le Festin de pierre, attribue à Arlequin le rôle du valet. Assonance : Répétition du même son, spécialement de la voyelle accentuée à la fin de chaque vers (ex. : belle et rêve). Attente : Attitude d'expectative du public, reposant