Dominatrice

engendre le désir de la détruire) exprime son inéluctabilité dans le lien cause-conséquence : « une envie telle qu’il serait retourné là-bas, en galopant, pour l’égorger » (l.10-11) ==> La voix de le « bête » se mêle à celle de l’homme, dominatrice, corrompant toute tentative de raisonner : « Car il ne pouvait se mentir, il avait bien pris les ciseaux pour les lui planter dans la chair, dès qu’il l’avait vue, cette chair, cette gorge, chaude et blanche » (l.7-8). L’obsession meurtrière animale

en admiration devant son aînée, continue de regarder sans être intimidée par les menaces de sa sœur, à laquelle elle répond : « je regarde ». Malgré son admiration pour l’aînée, elle réussit à s’identifier à elle et passe au-dessus de l’attitude dominatrice de sa sœur. De la même façon, Odile Bourguignon (1999, p.26), cite l’expérience de Helen Koch (1955), qui s’est intéressée à la capacité de l’aîné à prendre en compte les sentiments du plus jeune : 128 enfants de 5 ou 6 ans avec des frères et

Conclusion: -Scène primordiale du roman, scène de rencontre où il y a un rapport entre les 2 perso qui ne change pas jusqu'à la fin du roman. Focalisation interne centrée sur le regard de C qui apprécie les charmes d'E. Elle est sensuelle, et déjà dominatrice possédant déjà en elle des aspirations romantiques qui ne correspondent pas à la réalité de ce qu'elle vit. -Scène de rencontre amoureuse est originale car il y a une absence totale de dimension romanesque et romantique. Banale blessure qui réunit

14. « Oh l’esprit lourd » l.15. De plus elle pose les questions et formule elle-même les réponses L.12-14. Elle feint de s’être laisser entraîner dans une conversation l.11 : « mais laissons cela, et revenons à ce qui m’occupe. » 2) Une femme dominatrice Le ton employé par la marquise impose l’obéissance. Elle emploi des phrases injonctives au présent de l’impératif : « revenez » l.1, « partez sur-le-champ » l.2, « jurez-moi » l.7. Cependant elle réussit à inverser les rapports de force de manière

l’utilisation de la fable, avec une stratégie pensée et une fable très riche et enfin nous aborderons le goût du merveilleux, avec des vertus pédagogiques et un danger paradoxal. La fable se déroule donc dans l’Antiquité, à Athènes, menacée par l’avancée dominatrice de Philippe II de Macédoine. Dans ce contexte, un « Orateur » tente de prévenir ces concitoyens de cette menace, « voyant sa patrie en danger » (v. 2). Pour parvenir à son but, notre orateur, identifié comme Démade (que l’on retrouve dans une fable

1 – Première partie : « ultime discussion entre la mère, malade, et sa fille », de : « Il faut nous quitter, ma fille », jusqu’à la fin du paragraphe (pages 91 – 92)Présentation (deux minutes maximum) : fin de la première partie du roman, qui en comporte quatre ; le triangle amoureux (prince / princesse / Nemours) est déjà en place, mais la jeune madame de Clèves est encore sous l’influence déterminante de sa mère, madame de Chartres ; c’est elle qui s’occupe du mariage de sa fille et qui perçoit

propagation des religions, on se gardera d’oublier, surtout en ces temps de mondialisation, les acteurs exogènes. On a déjà évoqué le rôle missionnaire, aujourd’hui partagé par une multitude d’ONG, des églises chrétiennes. Elles n’ont plus l’attitude dominatrice qui fut souvent la leur à l’époque coloniale ; elles se sont faites discrètes, ne proclament plus d’objectifs de conversions massives et se consacrent au développement « par le bas ». Elles n’en sont pas moins des agents d’influence des pays du

platonique. En prenant 2 nouvelles : 12 et 47, nous allons essayer de montrer que comme une relation hétérosexuelle, cette relation entre hommes est aussi basée sur le pouvoir de subjuguer le faible. C’est une façon de renforcer l’idée de la mentalité dominatrice des hommes dans une société misogyne. Nous pouvons aussi voir que dans les deux nouvelles choisies, la relation entre les hommes tourne autour de ces trois augmentations : plaisir, profit et honneur, prouvant l’instabilité des relations peu naturelles

turpitudes sociales de l’argent. Elle était déjà une victime du système boursier avant le viol. Comme Victor est le fils de Saccard, on voit où est l’origine du mal : c’est l’argent lui-même, incarné par le père dans son appétit conjugué de puissance dominatrice sexuelle et financière. La violence se répète aveuglément à travers le fils, qui est lui aussi le fruit d’un viol, et qui n’a pu, faute d’argent et d’éducation, les deux vont ensemble, surtout à la fin du XIXème, renoncer à la violence primitive

l'apparition à la fenêtre, variante de la scène au balcon (cf. Roméo et Juliette ; Agnès et Horace dans L'Ecole des Femmes ; Rosine et Lindor dans Le Barbier de Séville ; Christian / Cyrano et Roxane dans Cyrano de Bergerac...) ; position haute, dominatrice : femme inaccessible (différence sociale ? femme mariée ?). -Par la description de l'héroïne : - son physique : sa jeunesse ("jeune" 2 occurrences, "jeunesse" de son expression, "24 ou 25 ans" selon l'estimation du héros ; plus femme que jeune