Dominique de Villepin

Président de la république veillera personnellement à ce que soient tirées toutes les conséquences de ces enquêtes et que soient prononcées les sanctions qui s'avéreront justifiées ! ». Les acquittés seront reçus à Matignon : le premier ministre, Dominique de Villepin, et Pascal Clément, Garde des Sceaux l’hôtel Matignon, veulent marquer aux yeux de tous leur entière réhabilitation. Le premier ministre déclare aux français qu’il faut devant « le drame d’Outreau »…« cet horrible procès », « …en tirer toutes

ces valeurs, ce serait faire le jeu des terroristes. Céder à la tentation de l’exception, ce serait commencer à perdre la bataille. Alors soyons fidèles à nos valeurs : elles sont notre meilleur atout dans notre combat contre le terrorisme. Dominique de Villepin Premier ministre 6 La France face au terrorisme Introduction Pour lutter efficacement contre le terrorisme, nous devons d’abord être capables de le nommer, de le définir. « Tout acte qui vise à tuer ou à blesser grièvement des civils

premiers résultats de l’action élyséenne, ce qui facilitera la réélection du président (s’il est de nouveau candidat) à la magistrature suprême. Réciproquement, le Premier Ministre se trouve relégué dans un rôle de chef de cabinet (même si Dominique de Villepin a joui d’une assez grande autonomie de juin 2005 à mars 2006), ce qui conduit le président à un exercice encore plus solitaire du pouvoir qu’à l’époque du septennat (en période de présidentialisme). Le quinquennat ne peut donc que renforcer

éventuelle OPA sur le groupe Suez par l’italien Enel précipite donc les événements. En effet, dès l’émergence d’une rumeur d’OPA hostile d’Enel sur Suez, le gouvernement français, à travers un discours sur « le patriotisme économique » de Dominique de Villepin, premier Ministre de l’époque, annonce le 25 février 2006, la fusion de GDF et Suez. L’Etat français proclame de fait la privatisation de GDF cependant l’Etat conservera une minorité de blocage à hauteur de 35%. La France s’attire alors les

Rapport au Premier Ministre Dominique DE VILLEPIN ATTRACTIVITE DES STATIONS DE SPORTS D’HIVER : RECONQUETE DES CLIENTELES ET COMPETITIVITE INTERNATIONALE Vincent ROLLAND Député de Savoie Décembre 2006 Rapport au Premier Ministre sur l’attractivité des stations de sports d’hiver SOMMAIRE PRINCIPALES MESURES EN FAVEUR DE L’ATTRACTIVITE DES STATIONS DE SPORTS D’HIVER 6 INTRODUCTION CHAPITRE I - L’ATTRACTVITE DES STATIONS DE SPORTS D’HIVER FRANCAISES : FORCES ET FAIBLESSES DU SECTEUR

de connaître enfin un cadre réglementaire propice au développement rapide de l’énergie solaire photovoltaïque ? C’est en tout cas ce qu’a laissé entendre le Premier Ministre le 15 mai 2006 dans son allocution sur la politique énergétique. Dominique de Villepin y a en effet indiqué que les tarifs de rachat de l’électricité produite par les installations photovoltaïques serait portés à 30c€/kwh et même à 55 c€/kwh pour les systèmes intégrés architecturalement au bâtiment alors que le tarif de rachat

sécurité présidés par les maires). Dans son discours devant l'Association des Maires de France, mardi 16 novembre, Jean Pierre Raffarin a précisé que le "pouvoir des maires en matière de sécurité" avait été renforcé par Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, pour répondre aux souhaits des communes. A noter que le maire, comme le préfet, peut agir dans le sens d'une aggravation de l'ordre public : l'autorité inférieure a le droit d'aggraver les prescriptions arrêtées au niveau supérieur si

Libreville (M. de Villepin, 4 fois entre 2002 et 2003, M. Barnier, 29 avril 2004), du Ministre délégué à la coopération (M. Wiltzer, 29-31 mai 2003, M. Darcos, 5 novembre 2004 et Mme Girardin en octobre 2005, M. Bockel, 4-6 juillet 2007, M. Joyandet 10 avril 2008) ; de Mme Alliot-Marie, Ministre de la Défense (avril 2003) ; de M. Dutreil, secrétaire d’Etat aux PME (4-6 mars 2004, 8 et 9 novembre 2005, 1 et 2 mars 2007) ; de M. Poncelet, président du Sénat, 16-18 juin 2004, de M. de Villepin, ministre de

Dissolution de 1981 : le président Mitterrand vient de gagner les élections et cherche à avoir une majorité parlementaire. - Dissolution en 1988 : Mitterrand veut une majorité parlementaire. - Dernière dissolution créée par Chirac sur les conseils de Villepin en 1997. Cette dissolution aboutit à une catastrophe car le parti qui dissout est battu et il y a cohabitation. L’assemblée dissoute est une assemblée de droit, c’est même la plus forte majorité. Cette assemblée devait fonctionner jusqu’en 98.

présidentiel 1.2.1.1 1995 - 1997 : Alain Juppé Premier ministre 1.2.1.2 1997 - 2002 : la troisième cohabitation 1.2.2 2002 - 2007 : second mandat présidentiel 1.2.2.1 2002 - 2005 : Jean-Pierre Raffarin Premier ministre 1.2.2.2 2005 - 2007 : Dominique de Villepin Premier ministre 1.2.2.3 2007 : position pour l'élection présidentielle 1.2.3 Bilan 1.3 Après l'Élysée : en retrait de la vie politique 1.3.1 La vie après l'Elysée 1.3.2 Fondation Jacques Chirac 1.3.3 État de santé 2 Les « affaires »