Don Omar

difficultés financières, après que Tartuffe a été interdit en 1665. En effet, les dévots on déjà manifesté leur opposition à Tartuffe (1664) car Molière dénonçait l’hypocrisie religieuse. Les dévots se déchaînent à nouveau contre Molière qui avec Don Juan persévère dans la critique de l’hypocrisie. Il y a beaucoup de scènes comiques. Ce qui nous marque beaucoup c’est l’opposition des personnages principaux. En effet, Sganarelle crée un contraste comique avec Dom Juan. On est totalement étonné

- Ruy Blas : laquais de Don Salluste puis Premier Ministre. Jeune homme idéaliste, il est amoureux de la reine. - Don Salluste de Bazan, marquis de Finlas, grand d’Espagne, âme noire qui prépare un plan diabolique pour se venger de la reine et qui cause la perte de Ruy Blas. Il est froid, calculateur et sans pitié. - Don César de Bazan, comte de Garofa, cousin de Don Salluste, noble ruiné et marginal qui s’est fait bandit (sous le nom de Zafari) mais qui reste fidèle à son code d’honneur

incroyance, Don Juan la prouve. On peut se demander quel est le rôle de Sganarelle dans cette scène avec Don Juan et un pauvre. Pour répondre à cette question, il faut d’abord analyser le rôle de Sganarelle en tant que spectateur puis ses interventions. I- Sganarelle spectateur 1- L’effacement de Sganarelle Sganarelle obéit à Don Juan et demande leur chemin. Le pauvre s’adresse à tous deux ne sachant pas qui est le maitre et qui est le valet « messieurs ». Mais c’est Don Juan qui

Question sur corpus Problématique : Quelle vision offrent les trois femmes de Don Juan ? Ce corpus est composé de trois extraits de texte : le premier est issu de L’Abuseur de Séville et l’Invité de pierre de Tirso de Molina, écrit en 1630 ; le second est un extrait de Dom Juan ou la Festin de Pierre de Molière écrit en 1665 et le dernier extrait est tiré de Lélia de George Sand écrit en 1833-1839. Ce corpus est assez homogène. Les trois femmes nous donnent une vision pessimiste de Dom Juan

à 81, depuis « tu vois en Don Juan, mon maître, le plus grand scélérat… » jusqu’à « …à ce que mon âme déteste ». Plan indicatif : C’est une scène d’exposition qui présente les deux principaux personnages : 1) Don Juan 2) Sganarelle -Acte II, scène 4, de la ligne 338 à 400, depuis « Monsieur, que faites-vous donc là avec Charlotte ? » jusqu’à « Il est question de juger ça. » Plan indicatif : 1) Une scène de comédie 2) Don Juan, un manipulateur habile

fait l’apologie du libertinage dans les scènes 1 et 2 de l’acte 3. IP : Molière représente le personnage Don Juan comme le non croyant de la pièce. IS : Don Juan estime que la médecine est la plus grande farce de l’homme. P : Dans le dialogue entre Don Juan et Sganarelle dans l’acte III scène 1, Don Juan s’exprime devant Sganarelle à propos de sa perception sur la médecine : « DON JUAN – Et pourquoi non ? Par quelle raison n’aurais-tu pas les mêmes privilèges qu’ont tous les autres médecins 

depuis quelques temps, il y a des voleurs ici autour. DON JUAN : Je te suis obligé, mon ami, et je te rends grâce de tout mon coeur. LE PAUVRE : Si vous vouliez me secourir, monsieur, de quelque aumône? DON JUAN : Ah! ah! ton avis est intéressé à ce que je vois. LE PAUVRE : Je suis un pauvre homme, monsieur, retiré tout seul dans ce bois depuis dix ans, et je ne manquerai pas de prier le ciel qu'il vous donne toute sorte de biens. DON JUAN : Eh! prie le ciel qu'il te donne un habit, sans te

oncle Don Ruy Gomez de Silva, et qui fut un temps courtisée par Don Carlos . * Hernani personnage éponyme de la pièce (Se dit d'un personnage dont le nom constitue le titre d'une œuvre), c'est un noble banni, amant de Doña Sol. Il appartient à la génération des héros romantiques, enfiévrés et maudits. Il a vingt ans et sa vie est marquée par la mort de son père sur l'échafaud, c'est un montagnard. Il aspire à venger son père qui est mort sur l'échafaud sous la demande du père de Don Carlos

J’aime la liberté en amour, tu le sais, et je ne saurais me résoudre à renfermer mon cœur entre quatre murailles. (…) Mon cœur est à toutes les belles, et c’est à elles à le prendre tour à tour, et à le garder tant qu’elles le pourront. » (p.54). Donc, Don Juan explique bien à Sganarelle que ce qu’il veut c’est la liberté. En amour, il veut charmer, se faire charmer et être libre. Pour lui, il est impossible de rester cloitré pour reprendre son expression : entre ces quatre murailles. Il se sent enfermer

de celui-ci, ce qui donne à se personnages des facettes différentes. Afin de l’illustrer, on peut donner l’exemple de pièces de théâtre traitant de l’histoire de Dom Juan. La première est celle de Molière, écrite en 1665, ici le personnage est hédoniste (pour lui la recherche du plaisir et l’évitement du déplaisir constituent le sens de la vie humaine) il reprend le personnage de Molina, mais Don Juan ne recherche plus la simple jouissance physique. Le personnage est présenté comme égoïste, cynique