Dors, mon amour

cherche quelque chose à manger. Dans le congélateur, je trouve des petits pois. Ils sont froids. Je les mange. Ça fait mal au ventre. Je dors à côté de maman. Il n’y a plus de petits pois. Il y a un truc dans le congélateur. Ça pue. Je le lèche et ma langue colle dessus. Je le mange. Ce n’est pas bon. Je bois de l’eau. Je joue avec mes voitures, puis je dors à côté de maman. Maman est froide, et elle ne veut pas se réveiller. La porte s’ouvre tout d’un coup. Je couvre maman avec mon doudou. Il

vais au bureau. 1. Ce matin, je suis malade, je reste à la maison. 3. ____ soir, en général, je regarde un film à la télé. - 4. _____ soir, c’est mon anniversaire, j’invite tous mes amis ! 5. _____ nuit, il y a une éclipse de lune. - 6. _____ nuit, je dors huit heures, en général. 5 a. Mettez au pluriel. Ce pull est chaud. Ces pulls sont chauds. Cette robe est chère. __________________________________________________ Ce manteau est très beau. __________________________________________________ Cette cravate

yeux de l’homme, pareils à ceux du sanglier pour la petitesse, et à ceux des oiseaux de nuit pour la perfection circulaire du contour. Cependant, l’homme s’est cru beau dans les siècles. Moi, je suppose plutôt que l’homme ne croit à sa beauté que par amour-propre ; mais, qu’il n’est pas beau réellement et qu’il s’en doute ; car, pourquoi regarde-t-il la figure de son semblable avec tant de mépris ? Je te salue, vieil océan ! Vieil océan, tu es le symbole de l’identité : toujours égal à toi-même. Tu ne

l’homme, pareils à ceux du sanglier pour la petitesse, et à ceux des oiseaux de nuit pour la perfection circulaire du contour. Cependant, l’homme s’est cru beau dans tous les siècles. Moi, je suppose plutôt que l’homme ne croit à sa beauté que par amour-propre ; mais, qu’il n’est pas beau réellement et qu’il s’en doute ; car, pourquoi regarde-t-il la figure de son semblable avec tant de mépris ? Je te salue, vieil océan ! Vieil océan, tu es le symbole de l’identité : toujours égal à toimême. Tu ne

la tournure: «l'affaire est dans le sac.» VAR. VALÈRE, à Lucas. (1734). Le texte de 1667 porte: c'est assez travaillé pour un coup. Nous corrigeons d'après l'édition de 1682. 34 Salé: qui porte à boire. Cf. le mot de Gargantua: «De ma nature, je dors salé.» (Rabelais, Gargantua, XXII). 35 VAR. Il chante. (1734). 36 Mon petit bouchon: expression tendre que Sganarelle adresse à Isabelle dans L'École des maris (II, 9, v. 769). 33 32 8 SGANARELLE, à part. Ici il pose la bouteille à terre, et

soutenance de la cour. Les jeunes (qui le sont trop pour partir aux croisades) viennent s’entrainer à la cour et tombent amoureux de cette dame inaccessible : plus âgée et mariée. Révolution en langue occitane : naissance de la littérature amoureuse, un amour platonique, idéalisé, impossible car adultère. On ne conçoit pas l’amour dans le mariage. L’amour courtois en langue occitane : « fin’amor ». 2. La poésie « lyrique » : « courtoise » et « fin’amor » L’amour courtois est surtout un code de comportement

basbleu, un des premiers prototypes de femmes intellectuelles du début du siècle, avec tout ce que cela comporte de légèrement ridicule; mais elle échappe à sa caricature par ses regards d’enfant et, peint sur son visage, son profond, son très grand amour pour son père. FREUD. Va te coucher, Anna. Anna secoue faiblement la tête pour dire non. FREUD. Je suis sûr que tu as sommeil. Anna nie en réprimant un bâillement. On entend alors, un peu plus fort qu’avant, montant de la fenêtre ouverte, les chants

regrette l’Europe aux anciens parapets. J’ai vu des archipels sidéraux, et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur Est-ce en ces nuits sans fond que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ? Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les aubes sont navrantes, Toute lune est atroce et tout soleil amer. L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. O que ma quille éclate ! O que j’aille à la mer ! 27 Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où,

L’enfance est le point d’origine, le commencement de cet amour maternel (il n’y a pas d’amour paternel) dont la fillette s’éloigne progressivement. Cette dérive vers la quête d’un amour « autre » nourrit le regret amer de cette perte, chez l’enfant devenue adulte. Minne ou L’Ingénue Libertine (comme l’indique le titre du roman), rêve déjà, à l’âge de quatorze ans, de bandits et de guerres entre rivaux, dans les rues. Elevée pourtant avec amour et patience par sa mère, son esprit appartient à un autre

ridicule, me rabaisser encore une fois à ce genre de choses ne faisait que salir un peu plus mon âme. Le sommeil commençait à me gagner peu à peu… Dors pas, tu sais ce qui arrive quand tu dors. Je respirai profondément. Je devais y faire abstraction, je me calmai donc et essayai de me laisser emporter par la fatigue une fois encore… C'est pendant qu'tu dors qu'ils viennent te pogner. J'avais peur, désormais. Ma gorge se serra et je sentis que je recommençais à perdre le contrôle de moi-même. Je ne voulais