Doute Liberateur

Existence de Dieu par une triple démonstration : La première preuve : comme nous avons en nous l’idée d’une perfection souveraine, elle ne peut avoir pour cause qu’une réelle perfection souveraine. => Une idée ne peut pas être en moi s’il elle n’est pas réelle comme je la conçois. DONC : On admet cette propriété, on dit qu’on a en nous une certaine idée de Dieu => => => on peut conclure à l’existence d’une souveraine perfection. La deuxième preuve : Elle démontre l’existence de Dieu de ce que

trois pieds sur la rue, autant pour garantir des eaux pluviales le seuil de la porte, que pour abriter le mur d’un grenier et sa lucarne sans appui. Ce dernier étage était construit en planches clouées l’une sur l’autre comme des ardoises, afin sans doute de ne pas charger cette frêle maison. Par une matinée pluvieuse, au mois de mars, un jeune homme, soigneusement enveloppé dans son manteau, se tenait sous l’auvent de la boutique qui se trouvait en face de ce vieux logis, et paraissait l’examiner

indubitable. De ce fait, pour arriver une vérité indubitable, Descartes met tout en doute : ses sens disant qu’ils sont trompeurs, les raisonnements mathématiques ainsi que ceux déjà prouvés, car on a pu se tromper en les établissant et il va même jusqu’à douter qu’il existe. La deuxième règle est celle de l’analyse : elle sert à distinguer tout les facteurs possibles nous permettant d’arriver à une vérité hors de tout doute. La troisième règle est celle de la synthèse qui correspond à une déduction en

au déclenchement de la Révolution de 1789). Historiens contre mythomanes L’historien n’atteint certes jamais la connaissance parfaite, ni totalement achevée, ni absolument certaine du passé. Cependant, il peut dégager des arguments hors de tout doute raisonnable (c’est-à-dire dont on ne peut en l’état douter, sauf à douter de tout). Ces arguments permettent un accord de la communauté des historiens autour de certaines représentations du passé. Ils permettent dès lors de réfuter les thèses fautives

pour l’instruction de quelques autres » => Laclos fait croire au lecteur que les lettres sont vraies, cela donne de la crédibilité à son roman, il encourage même le lecteur à en tirer une instruction. Les lettres lui permettent ainsi de => semer le doute =>rendre le lecteur curieux en lui donnant l’impression de s’immiscer dans la vie privée des gens. Les lettres intéressent donc le lecteur plus qu’un texte narratif de base, elles le rendent curieux etc. 2) Dans les Liaisons Dangereuses la lettre

injustes. LECTURE PROBLEMATIQUE : Quelle stratégie argumentative Montaigne met-il en place pour inviter le lecteur à s’interroger sur la notion de préjugé ? Comment tente-t-il de le faire adhérer à son mode de pensée qui est la philosophie du doute ? PLAN : Dans cet extrait, on peut dégager 3 mouvements : 1) Le constat critique à propos de la conception publique de l’ignorance 2) Le positionnement personnel de l’auteur : ou le penchant affirmé en faveur de l’incertitude 3) La preuve du

être, et que cela est la première connaissance certaine qu’on peut acquérir. « je pense donc je suis -> cogito ergo sum » Je doute de tout : du sensible, des math et même de mon raisonnement. A chaque fois je prends du recul ( cf métaphore A). Cependant, une chose est certaine : je doute ! Je peux douter du sujet de mon raisonnement mais je ne peux pas douter que … je doute ! « cogito ergo sum » J’ai conscience de douter de tout et je ne peut pas le remettre en question . 1) La vérité performative

fondamentale d’avoir un corps pour penser, ou bien s’il est possible de dissocier le corps et l’esprit. Tout d’abor partons d’une réflexion de Descartes qui dit qu’il se rend compte que la seule chose dont on ne peut douter est que l’on doute or le doute étant une activité de l’esprit, on ne peut donc douter de son esprit. Mais si nous n’étions qu’un esprit sans être aussi un corps, pourrait-on vraiment penser ? Pourrait-on vraiment nommer « pensée » ce qui n’est pas exprimé par l’intermédiaire

immédiate spontanée différente. L’évidence désigne l’acte par lequel l’esprit saisit de manière indubitable une vérité. A la fin d’un raisonnement on a alors une évidence terminale c'est-à-dire une évidence qui apparaît à la fin d’un processus: le doute, par conséquent elle devient indubitable. Cela montre qu’il faut raisonner pour rechercher la vérité. Ainsi, si l’exercice de la raison nous fait prendre conscience de notre bonheur alors on fabrique des certitudes. Dans une certaine mesure

vérité de tout ce qu'il connaît règle du doute → douteux = faux logique bivalente (vrai-faux) acheminement vers une vérité inébranlable qui résiste au doute • 1ère étape du doute : 1ère raison de douter : croyance spontanée dans les sens doute qu'à chaque sensation corresponde une chose qui existe et de la connaissance que l'on peut avoir des choses par les sensations "Les sens nous ont trompé une fois, ils peuvent nous tromper toujours." → doute de l'existence du monde de toutes les connaissances