Doute Rationnel

demande au préalable si il finira par rejoindre ce mouvement de conformisme. C'est précisement ce changement de position de la part de Bérenger que nous allons commenter. Pour cela, nous allons dans un premier temps étudier les élèments exprimant le doute qui s'empare de Bérenger face à ce désir de transformation, pour enfin analyser sa décision de se revolter contre ce mouvement. Tout d'abord, on assiste à une mise à l'écart de Bérenger de par, premièrement une multitude d'emplois de la première

réalité, d’être sur et certain d’une chose sans même laisser une place au doute. Pourtant le doute, la méfiance sont aussi des sentiments humains que l’on a tous ressentis une fois au court de notre vie. La certitude et le doute sont donc deux mots complètement opposés, car le doute n’est pas présent si l’on est certain. Et lorsque l’on doute, qu’on se méfie, c’est que l’on n’est pas certain. Mais est-ce que ces deux mots, doute et certitude, ensembles on un sens ? C'est-à-dire que l’on douterait de

Le but et l’effet produit n’est ainsi pas le même ; la réalité des maux d’un auteur, la fantaisie d’un rêveur ou le point de vue d'un poète s’opposent largement et peuvent nous faire douter sur le but même de l’écriture poétique. Pour effacer ce doute, on peut se demander ce que l'on attend de la poésie : qu'elle nous éloigne du réel ou qu'elle nous rapproche subtilement de la réalité ? Ainsi dans un premier temps, nous verrons dans quelle mesure la poésie nous éloigne du monde réel, puis dans un

midi ? Cette question nous laisse croire qu’on assiste a un fait divers et non pas a des propos serieux dont la nation devrait etre informer . on assiste alor a l’attitude de mauvaise fois manifeste par certain journalistes qui sans aucun doute leur fait perdre leur credibilite puisqu’ils nous poussent a travers leur questions pose sans interet a douter des medias et leur volonte de servir linteret public. Cela nous pousse alors a en deduire ceci : est ce que l’ethique du journalisme est

véritablement parler d'une quête de l'identité. Clov est néanmoins un peu résigné à s'occuper de Hamm puisqu'il se demande tout le temps s'il arrivera à le quitter. Peut être est-ce le fait de vivre avec sa propre identité qui l'inquiète et sème le doute dans sa tête. Toute la pièce tourne autour de cette question : va-t-il quitter Hamm? Hamm est le personnage qui, malgré son handicap physique contrôle tous les autres personnages. Il est celui qui montre le plus de personnalité. Il a un caractère

adhérents lui paraissent aussi bien « faits pour la politique » que pour l’engagement associatif, leur socialisation leur permettant d’aller vers l’un comme vers l’autre : dans ce cas, le choix des individus de s’investir dans l’humanitaire est sans doute à rapporter aux transformations historiques des relations entre champ politique et associatif, au discrédit touchant celui-ci et à l’image plus flatteuse de celui-là 1. À l’inverse, et comme on le verra, la plupart des adhérents des associations étudiées

vérité’ , ‘est-ce qu’elle peut être remise en question’ ... C’est dans l’exercice du doute que se trouve l’accès à l’opinion ou au jugement, ou à la certitude. Donc on doute. Et l’action se met en suspens. L’ignorance pourrait être une condition nécessaire du doute, si toutefois cette ignorance est connue ! car celui qui sait : ne doute pas. Mais celui qui ne sait pas, et qui ignore ne pas savoir : ne doute pas davantage ! Platon disait de son élève Socrate, qu’il était considéré comme le

à fait autre que ce que nous avons conscience d'être -du moins, cela est ici présenté comme douteux 4) Enjeu : a) si oui alors la conscience est un savoir, elle est toute-puissante b) si non, alors, il existe autre chose qu'elle, il y a sans doute un inconscient 5)Problématique : la conscience (réfléchie), qui depuis Descartes est censée avoir un privilège (cf. le cogito) concernant l'accès à nous-mêmes, ne serait-elle que la superficie de l'esprit? N'est-elle pas, plutôt que la connaissance

Peut on douter de tout? Le doute semble être le point de départ d'une réflexion philosophique pour les rationalistes comme Descartes par exemple, un doute qu'il veut dans un premier temps, méthodique, hyperbolique mais qui n'est qu'un point de départ. Peut on appliquer le doute à tout instant, dans tous les cas de figures? Pouvons nous dépasser ce point de départ de la réflexion philosophique ou sommes nous condamnés à douter de tout et à faire du doute lui même un point d'arrivée, une conclusion

pas car elles ont peur d'être juger ou abandonner , n'ont -elles pas un peu raison? Dans la classe , savoir que la vérité ne sera sans doute jamais établit amène une tension petite ou grande qui restera jusqu'à la fin. Est-ce vraiment ce que voulait l'elève qui a fait ça ? Peut etre , peut etre pas mais ce qui est sure c'est qu'en se taisant il laisse le doute . Il n'est jamais trop tard pour avouer , pour être pardonner et pour oublier cette bêtise ;c'est ça qu'il doit retenir . Faire des fautes