Doute

proposition subordonnnée des lignes 1-2 : « qui venait d'obtenir son permis de conduire ». Il s'agit d'une proposition subordonnée relative. L'information qu'elle donne annonce la suite du texte : c'est parce que Françoise est une jeune conductrice sans doute inexpérimentée qu'elle va s'entendre donnner par sa grand-mère de nombreux conseils. 2. Le paragraphe des lignes 8-10 est construit de façon à exprimer tous les conseils de « bonne-maman » : on le voit au mode verbal dominant, l'impératif (« prends »

elle aussi en continuelle changement. La deuxième étape de la méthode cartésienne est de séparer chaque élément complexe en éléments plus simples afin de mieux comprendre chaque composante et pour mieux appliquer l’étape une. De ce côté, on peut sans doute simplifier le concept de perfection. « Relativement à un ordre déterminé et limité de propriétés : est parfait (c’est-à-dire étymologiquement fini, achevé), ce qui répond exactement à un concept, à un type ou une norme, ce qui est tel qu’on ne saurait

notamment à cause de la trahison d'Ophélie, la femme qu'il aimait, ainsi que de ses amis Rosencrantz et Guildestern. Rien ne semble simple à présent pour le jeune prince, qui se questionne sur tous ces évènements. Il est envahit par l'indécision et le doute de ses agissements. Il n'arrive plus à prendre de décision. Pour lui, sauver l'honneur de son père semble être primordial, mais il en vient tout de même à se demander s'il veut réellement affronter les conséquences suivant cet acte... Pour

veut et en plus du fait qu’elle l’obtient à la toute fin rend l’histoire absurde car tout cela semble irréaliste. Les relations de couples sont également caricaturées car presque tous les personnages en couple commettent l’adultère. De plus chacun ce doute de l’infidélité de l’autre mais ils sont infidèles eux aussi. Par exemple, la femme d’Harry Pfarrer le met sous surveillance par sa firme d’avocat pour prouver qu’il la trompe mais elle a une liaison avec un animateur de télévision. En deuxième lieu

donc un fait social, qui assigne aux pauvres une réelle position en tant que membre organique de la vie de groupe. Ce que ne peux faire l’assistance publique.  Mais pour G. Simmel, le pauvre a une double position : « La personne pauvre se tient sans doute en dehors du groupe dans la mesure où il n’est qu’un moindre objet des actions de la collectivité ; mais dans ce cas être dehors n’est en bref, qu’une forme particulière d’être à l’intérieur. » Mais cette double position n’est pas exclusive aux pauvres

: Acte II scène 5 extrait de Phèdre par Racine; en effet cette scène contient l’aveu de Phèdre à Hippolyte. Afin de faire ressentir les émotions ressenties par chacun des personnages, ils utilisent des intonations différentes comme pour la colère, le doute, l’emportement. Les spectateurs ressentent la tension de la scène grâce à cela, ils perçoivent plus facilement le vrai sentiment que si l’intonation était neutre. L’acte IV scène 5 extrait de L’Avare de Molière semble constituer un bon exemple de ce

allant de long en large à petits pas rapides, faisant demi-tour à toute vitesse à la porte et la fenêtre »(L15-16) L’état du héros est tel qu’il ne devient pas un être normal, emprisonné, malmené, torturé par son passé, il commence même à être en doute sur ce qu’il entend si cela parvient de la vie réelle ou de ses hallucinations, « Le bourdonnement continuait dans ses oreilles, et il s’y mêlaient des vois vagues et assourdies, il ne parvient pas à distinguer si elles venaient du corridor où s’il

comme étant « un salon Louis XV » (l1). Le décor est ensuite décrit, citons « cheminée », «  deux vases de porcelaine » (l4) «  chaises, fauteuils » (l 5). De là, nous pouvons déduire qu’il s’agit d’un salon appartenant a un riche propriétaire, sans doute appartenant a la grande aristocratie française de cette époque. De plus l’intrigue est mise en place des les premières lignes puisque dans le monologue de Folleville, celui-ci explique sa contrainte a se marié a la fille de Manicamp, Berthe, malgré

moment, on cherchera à établir qu’en tendant au savoir, on tendrait aussi à la certitude, ce qui fait qu’elle soit nécessaire et légitime. Toutefois, nous verrons dans un deuxième moment qu’il se pourrait que ce caractère qui ne semble pas comporter de doute amène à s’interdire la vérité absolue et donc de tomber dans l’erreur et d’être dogmatique. Enfin, dans un troisième et dernier moment, nous tâcherons de montrer que finalement la certitude ne serait qu’un idéal à atteindre, tendant le plus possible

tenter, on reste dans le doute en ce qui concerne nos capacités et cela nous rassure car on ne sait pas si on est meilleur ou moins bon que l’autre, personne ne peut porter un jugement sur nos capacités. On n’ose pas, les choses nous semblent difficiles et les autres meilleurs que nous, alors que le simple fait d’oser et de donner le meilleur de nous même pourrait nous aider à nous surpasser, à dédramatiser la difficulté de l’acte et à nous rassurer sur nos capacités. Le doute quant à nos capacités