Dow Chemical

psychologique (les black blocks qui font peur parce qu’anonymes et d’apparence groupusculaires), ou de la violence médiatique (Les Yes Men qui annoncent 14 Milliards de dollars 31 de remboursement à pour la catastrophe de Bhopal à la BBC au nom de Dow Chemicals, ou donnent des conférences au nom de l’OMC sur l’ultra ultralibéralisme). Il faut dire que l’histoire récente de ces « vieilles dames » de la finance a révélé une opacité peu compatible avec les principes démocratiques et les plus grandes extravagances

premières capitalisations mondiales[3]. Ces pôles accueillent les principaux sièges sociaux des firmes multinationales ou transnationales : • du pétrole (Exxon Mobil, BP...), • de l'automobile (Toyota, General Motors...), • de la chimie (BASF, Dow Chemical...), • de la pharmacie (Pfizer, GlaxoSmithKline...), • de l'aéronautique civile et militaire (EADS et Boeing), • des services financiers (City, Bank of America...), • de l'agroalimentaire (Nestlé, Danone...), • de la cosmétique (L'Oréal..

les pays où elles opèrent, etc. L’enjeu est de taille : mal notées, les entreprises peuvent être retirées des portefeuilles éthiques et, surtout, ne pas figurer dans les nouveaux indices créés par de grands acteurs de la bourse, tel Dow Jones1 qui a lancé le DJSGI (Dow Jones Susutainability Group Index) ou le Financial Times et le London Stock Exchange ont répliqué avec le FTSE4GOOD. Malgré une certaine aura médiatique, l’investissement responsable représente à peine 1 % du marché, même aux États-Unis

Hoffman-Laroche, GE Lighting, Xerox Parc, Gemini Consulting, Mc Kinsey (Chief Knowledge Officer) [Davenport, 1994], General Electric (Chief Learning Officer) [Sherman, 1995], Skandia AFS (1 entreprise financière suédoise) (Directeur du capital intellectuel), Dow Chemical (Directeur de la gestion des actifs intellectuels) [Stewart, 1994], Coca-Cola (Chief Learning Officer) [Willets, 1996], Steelcase [Stuart, 1996]. er Cette évolution présente beaucoup d’analogie avec l’évolution des préoccupations de qualité

dialogue entre les acteurs publics et privés a aussi été vérifié en Tchécoslovaquie. Les études réalisées par l'Overseas Private Investment Corporation et l'International Finance Corporation ainsi que l'US AID ont permis à des entreprises comme Dow Chemical et Philipp Morris de remporter des contrats que convoitaient des entreprises françaises comme Elf et la Seita, ne disposant pas d'une telle force de frappe informationnelle. De telles synergies sont possibles aujourd'hui parce que le savoir privé

soulevé le plus fréquemment en présence d'une procédure contradictoire, s’applique aussi en matière administrative dans le cadre de l’obligation d’agir équitablement. Les règles propres aux décisions administratives mentionnent [37] Trempe c. Dow Chemical of Canada Ltd., (1980) C.A. 571 que l'administration gouvernementale ne peut rendre une décision sans avoir permis à l'administré de produire les documents nécessaires afin de compléter son dossier et d'être entendu afin de faire valoir ses moyens

dédommagement. En 1984, les vétérans américains touchés par l’agent orange avaient déjà conclu un accord, dans le cadre d’un procès contre les fabricants de ce produit : en échange de l’arrêt des poursuites, Monsanto et six autres entreprises — Dow Chemical, Thompson, Diamond, Hercules, T-H Agricultural & Nutrition Company et Uniroyal — avaient versé la somme de 180 millions de dollars à un fond de compensation. Washington a longtemps traîné des pieds, prétextant que les données scientifiques impliquant

physics from the University of Colorado, and a M.S. in control systems engineering from Colorado State University. He holds professional engineering licenses in the states of Colorado and Alaska, and has held engineering and management positions with Dow Chemical, Rockwell International, EG&G Rocky Flats, Topro Systems Integration, and the International Atomic Energy Agency. Mr. Hughes has taught numerous courses in electronics, mathematics, and instrumentation systems at the college level and in industry

capitalization of the sector, which rose 21% between 1 January and 15 August, fell sharply in the fourth quarter, closing 2008 down slightly relative to the beginning of the year. While this showing handily outperformed broad market indices such as the Dow Jones Industrial Average, the Nasdaq Composite and the S&P 500, each of which fell 30% to 40% during 2008, the biotech sector’s numbers were boosted considerably by the strong performance of a handful of large mature companies such as Genentech, Amgen

selon l’association des industriels du secteur, l’UNICA. Aujourd’hui, environ 30% des récoltes de canne à sucre sont utilisées pour produire du sucre, contre 65% pour l’éthanol, et le reste pour de l’électricité. Le CTC travaille avec l’américain Dow Chemical sur une variété résistante aux insectes. La commercialisation n’est cependant pas prévue avant cinq ans. Avant la crise économique mondiale, l’UNICA estimait que la production d’éthanol aurait doublé, à 36 milliards de litres en 2012. Le retrait