Doxa

auditoire de progresser vers le savoir, il ne fait que l’entretenir dans ses croyances. Il ne l’éclaire pas sur ce qui est bon pour lui, mais le conforte dans l’illusion que l’agréable est le bien. Il faut distinguer la science (épistémè), l’opinion (doxa) et la croyance (pistis). 2 / Confrontation entre Socrate et Polos (461b-481b) : la rhétorique relève de la flatterie (qui est la contrefaçon d’un art qui, au lieu de vouloir le bien de son objet, ne vise que son plaisir). Selon Polos, la rhétorique

idéale ? Les valeurs éducatives : quelles sont les valeurs (axiologie) qui finalisent le projet éducatif ********************** La critique des « présupposés » éducatifs : le dépassement de la doxa, des idées reçues. Soit par une approche analytique : remonter aux fondements Soit par une approche critique : mettre en doute, « dire non » et délimiter les possibilités (et impossibilités) d’un système donné ou d’une représentation donnée. ---

spontané) mais aussi être mûrement réfléchi, médité grâce au libre exercice de la raison. Autrement dit, c'est par ailleurs aussi la thèse de Berkeley, l'homme libre doit sarcler son esprit, s'affranchir, se soustraire aux préjugés, aux opinions (« doxa », selon Platon, monde vulgaire, sensible et opposé au monde intelligible des Idées objectives vers lequel l'homme doit tendre grâce à la science afin d'atteindre la vérité). En effet, celles-ci nous conduisent à l'erreur ou pire à l'illusion où les

narrateur enfant accomplit le dimanche. Madame Bovary. Vallès, L’enfant, lecture de Robinson Crusoe.), Borges. 2. Libérer des contingences et des soucis du quotidien. Madame Bovary, Le Rouge et le Noir, Nathalie Sarraute, Enfance. 3. Libérer de la doxa et de l’aliénation sociale. Flaubert, Le dictionnaire des idées reçues. Kafka, Beckett, Camus, L’étranger. 4. Nous aide à nous ressaisir, à nous rendre libre. Proust, Bergotte. Julien Sorel. Perec, les lectures d’enfance. 5. Maîtriser la lecture

agents sociaux et qui donne une valeur à une pratique quelconque). Bourdieu utilise des termes qui nous renvoient à la vision de Marx. L’arsenal conceptuel de Bourdieu fait une place de choix aux concepts relationnel ; habitus, champ, capital culturel, doxa, violence symbolique, tous des termes qui dérivent de Marx. Bourdieu implique également la dimension historique des rapports de domination pour expliquer les rapports de forces. Il emprunte à Durkheim toute sa dimension empirique de la conception de

expériences ne sont pas sources de vérités * La réalité ne peut pas contredie les exigences de la logique * Nier l’expérience et mettre en relief les lois de la logique * Exigence des lois de notre entendement = distinguer la science et la doxa (opinion)

main de fer, « Rapidement, le style Aubry se dessine. Une gouvernance autoritariste du parti où tout est organisé au carré. Et la liberté de parole des responsables socialistes est sévèrement encadrée au nom de la discipline, sacro-sainte vertu de la doxa aubryiste » (page 45). Les auteurs mettent aussi en avant le fait que Martine Aubry est méfiante envers les journalistes, en présentant le cas de la révélation, dans Libération, de l’arrivée de Marie-Emmanuelle Assidon au PS. B/  « Le Bal des ambitieux »

les autres », ce qui est infernal, la présence même du mal, c'est bien la présence de l'autre. La honte est donc un sentiment que l'on ressent lorsqu'autrui est présent à nous. Car il est le colporteur de l'avis commun. Il porte en lui le sceau de la doxa. Dans L'Être et le Néant, Sartre donne l'exemple d'un geste « maladroit ou vulgaire » que l'on ne blâme pas dès lors qu'autrui n'est pas en notre présence. Sartre parle d'un geste que l'on réalise sur le mode du « pour-soi », on a conscience de ce

résultat de la pénétration d’un corps étranger dans celui du sujet, bien au contraire, elle émane de son corps, ou plus exactement de son esprit. En cela L’homme peut être perçu comme deux entités. Il y a d’une part celle qui veut se conformer à la doxa et rentrer dans le moule forger par l’éducation, les m' urs et l’histoire, et d’autre part une autre qui serait la pour réguler pulsions et désirs primitifs. Cette dernière se montrerait même comme punitive. L’homme se déchirerait intérieurement à

le présent des sociétés dans lesquelles la religion occupe tout l'espace, alors, la religion est considérée comme un phénomène universel, une caractéristique de toute société quelle qu'elle soit. Une société sans religion est-elle souhaitable ? La doxa nous permettrait de dire que la religion peut être dangereuse au sein d'une communauté dans la mesure où les croyances sont diversifiées, cependant la religion permet une unité, la constitution de règles entre les hommes. En effet, une « société »