Drame du Heysel

Athènes, était : « Un esprit sain dans un corps sain » (tirée des Satires de Juvénal, poète latin, 60-130). Cette maxime vous semble-t-elle respectée par le monde sportif ? 2) Les matches de football importants provoquent régulièrement des drames: drame du Heysel, en Belgique, en 1985, de Furiani, en Corse, en 1992, et dans bien d’autres stades, d’Amérique du Sud notamment, qui ont causé des blessés et des morts. Pourquoi le football at-il ce funeste privilège? Votre analyse. 3) « Si on se contente de

dans des termes audacieux et inhabituels pour l’époque. « Gilles fera l’amour » comme si il n’était pas important de parler d’Elisa. Quand on se dit que c’est un écrit sur les rapports sociaux liés à la vie sexuelle, on comprend mieux le roman et le drame qui se déroule. Ce qui caractérise ce livre c’est la présence de deux univers : il y a le monde de l’intérieur et celui de l’extérieur de la maison. Le rôle d’Elisa c’est d’être la travailleuse de l’intérieur, elle fait le ménage, cuisine… elle

de comportements de la part des supporters. Il s’agit de faits internationaux, et les exemples sont légions. Le sport qui regroupe le plus de faits de hooliganisme ou de violences dans et autour des stades n’est autre que le football. Des drames du Heysel en 198527, au développement d’affrontements organisés entre groupes de supporters, les exemples ne manquent pas pour montrer que la violence est toujours présente dans le football européen. Le football, qui est présenté comme un sport populaire, est

le mm idéal, on SE SOUDE. On se sent membre d’une collectivité, mm si notre moi reste totalement différent du moi des autres. Si on a le mm idéal du moi, on partage tous le mm idéal du moi (en fait du surmoi, mais on parle du moi.) Ex. Au Heysel lors du drame dans le stade Roi Baudouin, il y a tt a coup eu qqn que la foule identifie comme meneur. Celui qui ose dire des choses que tt le monde pense, mais que personne n’ose dire/faire. Ce sujet-la sera identifié par le groupe comme un leader. = leader

Police et fonction de police en Belgique 11.02.19 1. Comprendre la police 2. Qu’est-ce que la police Il y a une relativité spatiale et temporelle (dépend du temps, du lieu) Souvent traité dans le débat public de manière globale et simpliste (presse, série,..) /!\ éviter les synecdoques ; elle est la pour faire respecter la loi, elle est la comme organe d’application de la loi, mais ne se résume pas à cette unique fonction. Il y a toute une série d’autres acteurs (champs répressif : pénal

social sans cesse tiraillé entre agrégation et désagrégation. Ce «tout-vitalisme» social fait alors progressivement place à une interprétation proprement délictuelle et déviante des violences sportives, sans doute électrisée par la catastrophe du Heysel. Au terme de ce retournement de perspective, débordements et bagarres ne relèvent plus d’une violence chaude, mais bien d’une violence froide, préméditée et organisée, qui appelle la mise en oeuvre d’une gestion policière ad hoc en même temps que

nation se porte peut-être d’abord sur Georges Carpentier (1894-1975), premier Français à remporter le titre mondial en boxe. Le 2 juillet 1921, sa défaite devant l’Américain Jack Dempsey dans ce qui est annoncé comme « le combat du siècle » est un drame national [Rauch, 1992]. Certaines situations propulsent des champions à un statut de héros populaire. C’est le cas de Jules Ladoumègue (1906-1973). Né dans un milieu très modeste de la banlieue bordelaise, sa trajectoire est placée sous le sceau de

moyens de faire patienter la presse et l’opinion publique jusqu’au 13 plutôt que de communiquer de manière hasardeuse le 12 ? Une des manières de faire patienter l’opinion publique n’aurait-elle pas été de se rendre immédiatement sur les lieux du drame et montrer qu’il était solidaire des familles des victimes (ce qu’Aznar, à ce moment-là, n’avait pas fait) ? CONCLUSION Le risque prend paradoxalement des aspects immatériels, avec le développement du Web, ainsi que des aspects très physiques avec

moyens de faire patienter la presse et l’opinion publique jusqu’au 13 plutôt que de communiquer de manière hasardeuse le 12 ? Une des manières de faire patienter l’opinion publique n’aurait-elle pas été de se rendre immédiatement sur les lieux du drame et montrer qu’il était solidaire des familles des victimes (ce qu’Aznar, à ce moment-là, n’avait pas fait) ? CONCLUSION Le risque prend paradoxalement des aspects immatériels, avec le développement du Web, ainsi que des aspects très physiques

moyens de faire patienter la presse et l’opinion publique jusqu’au 13 plutôt que de communiquer de manière hasardeuse le 12 ? Une des manières de faire patienter l’opinion publique n’aurait-elle pas été de se rendre immédiatement sur les lieux du drame et montrer qu’il était solidaire des familles des victimes (ce qu’Aznar, à ce moment-là, n’avait pas fait) ? CONCLUSION Le risque prend paradoxalement des aspects immatériels, avec le développement du Web, ainsi que des aspects très physiques avec