Dreyfusards Non Dreyfusards

entière  idée de la primauté parisienne malgré la décentralisation. Deux grandes tendances idéologiques, de tradition jacobine, minorité plus soucieuse des aspects sociaux. Situation patente de divergence. Sur la question des moyens, d’un choix où non d’un comité de Salut Public. Projet finalement adopté après tensions assez vives (45 contre 23) 9 commissions dirigeant la ville dans tous els domaines. B] Réalisations Œuvre de circonstance : énoncée mais reste en grande partie dur le papier. Première

l’université de Bordeaux en 1887 où il est professeur de pédagogie et de sciences sociales puis il rejoint la faculté de la Sorbonne en 1902. Formé à l'école du positivisme, Durkheim définit notamment le «fait social», c'est-à-dire en tant que totalité non réductible à la somme de ses parties. Cette définition lui permet de dissocier l'individuel du collectif et le social du psychologique, et de fonder logiquement les conditions de possibilité d'une action contraignante de la société sur les individus

bras du roi, corps de fonctionnaire. On peut faire remonter aussi la menée de politique de pulsions étatique de politique très interventionniste, le colbertisme = le fait de mener une politique interventionniste en matière économique. Ce n’est pas non plus un commencement absolu, les changements que la révolution apporte pas uniquement le produit de la révolution les événements les individus qui ont fait la révolution, ses changements plonges leurs racines dans le passé, aboutissement d’un processus

chemin, semé d’embuches. Emile Zola, grand écrivain, prit parti pour M.Dreyfus, haut et fort avec son plaidoyer, « J’accuse ». Lors de cette affaire, à la fin du XIXème siècle, la presse demeura très influente, et était divisée en deux partis: les dreyfusards et les antisémites. Cette affaire impliqua un contexte militaire, social, mais évidemment un contexte politique. La censure est ici présente puisque cette affaire soulèvera les problèmes des erreurs que peut émettre la justice. Ainsi, les journalistes

gouvernement. Majorité monarchiste développe alors politique d’ « ordre moral » mais divisons internes et intransigeance du prétendant légitimiste le comte de Chambord donc monarchie non restaurée finalement. Incertitude institutionnelle prolongée à un effet pervers : elle affaiblit la France au niveau international, non propices aux affaires+ début d’une crise économique, elle renforce le courant bonapartiste qui gagne du terrain aux élections partielles de 1874-1875. Donc mise en place compromis

d’Etretat. Des années plutôt calmes de voyages et d’écriture suivirent, durant lesquelles il publia tour à tour Les Nourritures terrestre (1897), Réflexions sur quelques points de littérature et de morale (1897). Il prend aussi parti pour les dreyfusards en 1898 avant la parution de Philoctète en 1899. En 1908, avec son cercle d’amis, il fondera la Nouvelle Revue Française dans laquelle il publiera de nombreux articles et romans les années suivantes qui se verront bien vite détruites par l’arrivée

générale, son argument est qu'il ne fut pas trop prier le Ciel * le particulier "j'ai souhaité" ; il donne son exemple à lui. Le pathétique est montré par l'utilisation du passé composé. Les expressios hyperboliques "demandes inconsidérées", "ardeurs non pareilles", "transports incroyables". Antithèses entre le souhait et la ralité "chagrin" et "supplice" s'opposent à "joie" et "consolation"     B) Le polémique Style oratoire : phrases longues, rythme ternaire "quand", "que" et la question lognue

juillet. Labori conseille à Zola de quitter la France pour l'Angleterre avant la fin du procès, ce que fait l'écrivain. Les accusés sont de nouveau condamnés. L'exil à Londres [modifier] Première page du Pilori d'avril 1898 avec une caricature anti-dreyfusarde. On fait donc partir Zola immédiatement au soir du verdict, avant que celui-ci ne lui soit officiellement signifié et ne devienne exécutoire. À l'image de ceux d'Hugo, Voltaire ou Vallès, cet exil déclenche un important mouvement d'opinion. C'est

xénophobie et de racisme. Ces idées amènent au rejet de tout ou de certaines valeurs démocratiques, considérées comme corrompues et inappropriées. L’extrême droite lutte aussi contre les sociétés secrètes qui se battent pour des intérêts personnels, et non pour le bien commun (ex : Franc-maçonnerie*). La définition d’extrême droite suscite de nombreux débats : l’adjectif « extrême » fait penser à extrémiste, ce qui gène certains membres de ces mouvements. Il n’existe pas un seul groupe d’extrême droite

l’organisation territoriale du parti. La conception organique, reprise des guesdistes, reproduit l’organisation du territoire français : les fédérations sont départementales, l’administration du parti centralisée. La propagande constitue la condition sine qua non de la France socialiste. Propagander devient l’un des maîtres mots de la SFIO, qui est le plus souvent synonyme d’éducation socialiste. Le parti se dote de délégués à la propagande suppléant les grands tribuns que sont Jaurès, Guesde, Vaillant. Il s’agit