Dripping

Surréalistes poursuivent le travail de Marcel Duchamp mais en collectant des objets trouvés au fort potentiel émotionnel. (ex. Dali, Téléphone-Homard, 1936.) L’après-guerre L’art américain s’impose peu à peu Jackson Pollock, réalise ses « dripping », des toiles de grand format réalisées par projection de peinture. Pollock, Number 26A, 1948. De 1960 à 1980 Le Pop art, aux Etats Unis, avec des peintres tels que Warhol, Lichtenstein, Rosenquist, célèbre la société de consommation5.  Andy

qui se développe dans les années 1950-1960, prend alors deux formes contradictoires. La plus agressive, l’action painting de Pollock, consiste à considérer la peinture comme un geste, une action de l’artiste, où le hasard de la matière (les drippings) a sa place. Certains peintres pratiquent le « all over », couvrant entièrement la toile de peinture. Tendance plus zen, la colorfield painting (peinture du champ coloré) est plus méditative et introspective. Ses représentants majeurs sont

painting et l’Art informel. Jackson Pollock est l’artiste emblématique de la peinture informelle des années cinquante aux Etats Unis, il peint en dansant sur le support et en laissant s’écouler de pinceaux réunis de la peinture. Ce que l’on nomma alors dripping (laisser gouter le pinceau) et pouring (coulage à partir des pots de peintures ou bâtons). Le médium très liquide lui permet de rester au-dessus de la toile et d’effectuer des gestes larges voire très amples. Cette peinture jetée sur la toile à même

noir de fumée. La sépia, de couleur brune noirâtre est l'encre que l'on retire de la seiche (seppia en italien). • Le camaïeu. Le camaïeu est une manière de peindre avec les valeurs d'une seule couleur. On obtient ainsi différentes nuances. • Le dripping. Technique de peinture associée au peintre Jackson Pollock (1912-1956) et qui consiste à projeter la peinture sur une toile avec un pinceau ou tout autre instrument. • La miniature. Peinture de petite taille réalisée sur un support rigide avec une

l'invention de la photographie peut-être, des formes lentes et distantes de la représentation. Les frottages et collages de Max Ernst, les anthropométries et les suaires d'Yves Klein en dérivent directement. Mais aussi les matiérismes, les giclures du dripping, les objets du ready made et les reliques de l'art brut, les installations, le land art, les dépôts, les cruautés du body art ou des happenings... Ces innombrables manifestations, généralement dirigées contre la simple vue et "au nom de la vie",

les taches et les traits, une sorte de « graphisme en gribouillis »[4]. Il explore une sorte d'écriture picturale automatique. Ces artistes ne se sentent en rien les héritiers de Kandinsky ou de Mondrian. Cette abstraction peut être rapprochée du « dripping » de Pollock. L'abstraction lyrique exprime une volonté de l'expression pure, elle se centre exclusivement sur la sensibilité de l'artiste et s'intéresse à l'expérience créatrice : l'artiste ne prépare plus sa toile ou sa composition mais laisse

styles de peinture. Ils se sont écartés de la réalité avec une peinture libre. On distingue deux tendances : "l´Action painting" et la "Colorfield painting". L’« Action Painting » avec Jackson Pollock est une technique qui privilégie le « dripping », utilisant les coulures et les éclaboussures de peinture (Figure 4). Le « Colorfield Painting » ou champs colorés est bien représenté par les œuvres de Rothko (Figure 5). Viennent ensuite d’autres artistes new-yorkais, comme Andy Warhol avec

volonté de diversifier les médiums, utilisation d'objets 2 ) Quelques exemples Expressionnisme abstrait : avec Rothko et Pollock, toiles immenses où la couleur est matière Rothko : juxtaposition de rectangles de couleur Pollock : technique du dripping ( égouttage ) Du ready made à l'arte povera : Duchamp, précurseur, il achète un urinoir ( ready made ) et cela devient une œuvre d'art seulement en l'exposant, Manzoni, arte povera en Italie ( années 60 ) même chose avec « Merda d'artista » ( boîtes

day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character. I have a dream today! I have a dream that one day down in Alabama, with its vicious racists, with its governor having his lips dripping with the words of interposition and nullification; one day right down in Alabama little black boys and black girls will be able to join hands with little white boys and white girls as sisters and brothers. I have a dream today. I have a dream

one day live in a nation where they will not be judged by the color of their skin but by the content of their character. I have a dream today! I have a dream that one day down in Alabama, with its vicious racists, with its governor having his lips dripping with the words of interposition and nullification; one day right down in Alabama little black boys and black girls will be able to join hands with little white boys and white girls as sisters and brothers. I have a dream today. M. Luther King, 28