Droit de cuissage

ses faveurs (droit de cuissage) Donc le centre de l'histoire sera le lit nuptial et la chambre. Suzanne explique a Figaro que le comte a aboli le droit de cuissage mais il veut le remettre au goût du jour avec elle(l.41-42). C'est une comédie de mœurs car Beaumarchais critique l'abus de pouvoir du comte et se moque donc de la noblesse : - pour eux l'argent leurs permets tout - au yeux de tout le monde il veulent se montrer généreux mais n’hésite pas à faire réapparaître les droits abolis. Pour

des contes personnels dans cette scène ? Plan : I/ Un duel entre le maître et son valet A- Un jeu d'esquives (≠ duel frontal) allusions à ce qui s'est passé avant dans la pièce --> acte I, scène 10 : le comte renonce au droit de cuissage mais compte faire épouser Marceline --> acte II : faux billet pour la contesse pour rendre le comte jaloux (Suzanne cachée... etc) --> acte III, scène 4 : monologue du Comte résumant la situation et sa stratégie : demander à Figaro

générosité est en réalité un stratagème mûrement réfléchi du comte. Très rapidement, Figaro va être mis au courant de la corruption du comte qui veut rétablir le droit de cuissage (droit imaginaire d'un seigneur à s'approprier la virginité de la fiancée d'un de ses valets pendant la nuit de noces). Almaviva semblait avoir abolit ce « droit » mais il veut revenir sur sa parole. Suzanne va révéler que c'est un grand seigneur libertin (grand par son hypocrisie). Il est un seigneur de titre mais pas

service du comte Almaviva, doit être fiancé à Suzanne, première camériste de la comtesse. Mais le comte, qui commence à s’ennuyer avec sa femme, est à la recherche d’aventures galantes. Attiré par Suzanne, il envisage de restaurer le droit de cuissage du seigneur (le droit du seigneur), qui lui permet de goûter aux charmes de toute jeune mariée avant que le mari ait pu en profiter. Aidé par le peu scrupuleux Bazile, le comte fait à Suzanne des avances de plus en plus claires, qui entraînent celle-ci

comme l’une des figures emblématiques du siècle des Lumières. C'est le matin des noces de Suzanne et de Figaro. Figaro fait des projets pour aménager leur future chambre, Suzanne lui révèle que le comte lui fait des avances et veut rétablir le droit de cuissage qu'il avait dernièrement aboli. En quoi cette scène est une scène d'exposition comique ? Premièrement je vous exposerais la personnalité des personnages qui utilisent différents procédés du registre comique . Deuxièmement, je vous présenterais

coté ; zeste, en deux pas tu es chez elle. Monseigneur veut il quelque chose : il n’a qu’à tinter du sien ; Crac en trois sauts me voila rendue. »)  Mais Suzanne le soupçonne de destiner la chambre à un autre usage, celui de faire valoir son droit de cuissage, normalement aboli. ((…) «, zeste, en deux pas il est a ma porte et crac, en trois saut... ») Figaro et sa femme sont les servants respectifs du comte et de la comtesse, lesquels ont tous pouvoirs sur eux ; C’est de la que vient la difficulté :

Le Mariage de Figaro Beaumarchais 1784 I.Les Personnages Le comte Almaviva: est un Corregidor d’Andalousie adepte du droit de cuissage auprès de Suzanne. La Comtesse : est une épouse éconduite car trop conventionnelle (anciennement Rosine) Figaro: est un personnage principal de la pièce, il est le valet de chambre du Comte. Il est promu concierge et coursier à Londres pour permettre au Comte de réaliser son plan galant avec Suzanne. Suzanne: est la fiancée de Figaro et la première camériste

pièces du château ou l'ont voit tout les personnages a l'arrêt (le compte, sa femme, Basile, des servantes...etc). Figaro et Suzanne profite de l'arrêt des personnages pour continuer leur discussion à propos des intérêts du compte sur Suzanne (droit de cuissage) et de la chambre, il sont comme invisible aux yeux et aux oreilles des nouveaux personnages présents dans la pièce. Suzanne qui parle à Figaro, va et vient sur toute la scène et parle des personnages, le spectateur a donc une description physique

entend exercer le « droit de cuissage » qui avait lui-même abolît dans le barbier de Séville. L9-13 : didascalies, gestes séducteurs envers Suzanne : représente l’arrogance du libertin. Et cela est renforcé avec l’emploi des surnoms : « Suzon » « Suzette » « ma chère » => Mépris, attrait pour les amours ancillaires, liaisons avec les servantes. - Le conte fait comme si Suzon était d’accord : Il s’agit d’une parodie du discours galant (L 4 11-13) - Précipitation car il n’a pas le droit d’être ici : L5

sa première version, la pièce ne sera jouée avec l’accord du roi Louis XVI que le 27 avril 1784 au tout nouveau Théâtre-Français, situé place de l’Odéon. Pièce majeure, le Mariage de Figaro met en scène l’élan de cette plèbe qui sent pointer le droit à la liberté et qui entend le conquérir et le faire respecter. Le roi, après une lecture privée de cette œuvre, aura ce mot : « Cela ne sera jamais joué ; il faudrait détruire la Bastille pour que la représentation de cette pièce ne fût pas une inconséquence