Droit de veto au Conseil de sécurité des Nations unies

de l'OTAN au Kosovo et la règle du non-recours à la force 31-03-2000 Article, Revue internationale de la Croix-Rouge, 837, de Djamchid Momtaz   Djamchid Momtaz   est professeur de droit international à la faculté de droit et de sciences politiques de l'Université de Téhéran. Il est membre associé de l'Institut du Droit international.   Le Kosovo a été, tout au long du XXe siècle, un foyer de tensions et de violence entre la population de souche albanaise de ce territoire et les Serbes. L'origine

des opérations de maintien de la paix menées par le Conseil de Sécurité. Chapitre 1 : De l’échec du système de sécurité collective aux opérations de maintien de la paix. Section 1 : Les défaillances du système de sécurité collective. Paragraphe 1 : Les faiblesses du système de sécurité collective. A-Paralysie des mécanismes du chapitre VII B- Absence de moyens techniques Paragraphe 2 : Les dérives du système en place A- Les Nations-Unies devant le conflit coréen B- Persistance de l’invocation

les nations, entre Etats souverains, mais parfois on a une nation sans Etat. Qu’est ce qu’une nation ? Ernest Renan parlait d’un désire de communauté humaine de vivre ensemble au sein d’un territoire. Mais d’où vient ce lien ? Est-ce une unité mystique et religieuse d’une population par rapport à un territoire ? Une unité linguistique ? Une unité raciale ethnique par rapport à un territoire ? Le mot nation est ambigu et peut avoir plusieurs significations. On retient que : La Nation est une

Les limites de l’ONU. DOCUMENT 1 : « La sécurité collective, un rêve contrarié », O. Corten, professeur de droit international (Université libre de Bruxelles), Le monde diplomatique, septembre 2005, p 17 (…) Malgré leur rigueur, les règles introduites par la Charte n’ont pas empêché le déclenchement de nombreuses guerres en dehors des mécanismes prévus. Au nom de « justes causes », l’Union soviétique et les Etats-Unis ont entrepris des actions militaires unilatérales en Hongrie (1956), en Tchécoslovaquie

appelle conflit, différend ou litige international un désaccord sur un point de droit ou de fait, une contradiction, une opposition de thèses juridiques ou d’intérêts entre deux Etats. On distingue les différents d’ordre juridique, portant sur l’application ou l’interprétation du droit existant et pouvant faire l’objet de procédures arbitrale ou judiciaire, des différends d’ordre politique, portant sur la modification du droit existant, ne pouvant faire l’objet que de procédures diplomatique ou politique

l’établissement de comités. 2-Le conseil de sécurité: Le Conseil de sécurité est le principal organe de maintien de la paix et de la sécurité internationale des Nations unies. Il compte 15 membres, dont cinq permanents; la Chine, la France, le Royaume-Uni, la Russie et les États-Unis, les dix autres membres non permanents sont élus pour un mandat de deux ans par l’Assemblée générale. Aucune décision ne peut être prise si un membre permanent émet un vote négatif (droit de veto). Si le conflit a commencé

un cursus. Aujourd’hui, il est exclu de se consacrer au droit national. Le droit international diffère du droit national. Ces disciplines sont une part du droit Français. On peut produire du droit à partir de mécanismes de production internationaux ou nationaux. Droit national : changer de gouvernement pour qu’on puisse changer les choses de manière uni nationale. La rigidité du droit international est plus forte que celle du droit national. Les relations internationales s’inscrivent dans

DROIT INTERNATIONAL PUBLIC SUJET III : LA NON-INGERENCE par O A A A INTRODUCTION L'ingérence peut se traduire par l'action d'immixtion c'est-à-dire s'introduire indûment sans en être requis ou en avoir le droit dans les affaires d'autrui. Selon la formulation de la Cour, l'ingérence est le fait pour un Etat ou un groupe d'Etat « d'intervenir directement ou indirectement dans les affaires intérieures ou extérieures d'un autre Etat ». La règle qui condamne l'intervention d'un Etat dans les affaires

)Le rejet de la notion de guerre juste : Carl Schmitt II/ La notion actuelle de guerre juste Une définition de la « guerre juste » par le Conseil de sécurité 1) A priori 2) A posteriori I. La doctrine de la guerre juste : définition d’un concept ambigu. a) Historique de la notion de guerre juste. si l’on parle de « guerre juste » c’est qu’on peut avoir ou qu’on a pu avoir des raisons

(Définition de « sécurité collective »: c’est quand les Etats mettent leurs moyens en commun pour défendre la paix). - En 1945, les Alliés décident de créer une nouvelle organisation pour succéder à la SDN (Société des Nations) inefficace : l’ONU (Organisation des Nations Unies). Elle a 3 buts : maintenir la paix, faire respecter les droits de l’homme et des peuples, favoriser le progrès économique et social. - Ces objectifs très ambitieux expliquent la création d’institutions permanentes