Droit d'ingérence

Droit international public Chapitre1 : l’Etat Qu’est-ce qu’un sujet de droit international public ? C’est une entité dotée d’un ensemble de droit et d’obligation, ainsi de capacité nécessaire à son exercice dans le cadre d’un ordre juridique déterminé. Ils sont : l’Etat, les Organisations Internationales, les Sociétés Transnationales, les O.N.G, et les Individus. Définition : C’est une collectivité humaine installée de façon permanente sur un territoire, dotée d’un Gouvernement et

Fiches de Droit International Public - Jus Contra Bellum : branche qui proscrit l’usage de la force armée dans la charte des NU de 1945 - Jus Ad Bellum : exceptions règlementées = D de recourir à la force armée (Chap. VII, art 42 au bénéfice du Conseil de Sécurité et 51 sur la légitime défense des Etats). A part ces deux exceptions, le CS dispose-t-il du monopole de la violence armée ? Et les Etats doivent-il y recourir pour prévenir le crime de génocide comme le stipule la Convention de 1948

Droit administratif Introduction : la définition du droit administratif Définition qui paraît simple tel que droit administratif= droit de l'administration mais en réalité cet énoncé est doublement problématique : car l'administration qui est l'objet du droit administratif est une notion assez difficile à définir car le droit administratif n'est pas seulement le droit de l'administration, en réalité, le droit administratif correspond plus précisément à un corpus juridique autonome par

commission 4. Le comité de représentants permanents 5. Autres institutions de l’union africaine IV- LE RÔLE DE L’UNION AFRICAINE 1. Les objectifs de l’union 2. Les grandes ambitions de l’union africaine a) L’intervention militaire b) Le droit d’ingérence humanitaire 3. Le 1er sommet de l’union africaine et ses causes V- L’UNION AFRICAINE DANS LE REGLEMENT DES CONFLITS EN AFRIQUE VI- CONCLUSION I- INTRODUCTION Après 39 ans d’existence et en dépit de

veulent garantir la paix dans le monde. La création d'un Conseil de Sécurité dont 5 membres sur 11 sont permanents et disposent d'un droit de veto. Le contexte de la Guerre Froide aboutit à un blocage du fonctionnement de l'ONU car les Etats-Unis et l'URSS sont des membres permanents et ont des intérêts antagonistes (opposés). De plus, il y a eu un usage très fréquent du droit de veto (118 fois pour l'URSS, 67 fois pour les EU) rendant certains problèmes irrésolubles. Lors de sa création en 1945, l'ONU

Bibliographie Manuels : Patrick Daillier, Mathias Forteau et Alain Pellet, Droit international public, LGDJ, Paris, 2009, 8e édition, 1079 pages. P.-M. Dupuy, Droit international public, Dalloz, Paris, 2008, 9e édition, 879 pages. Ouvrages : Alain Pellet, Droit d’ingérence ou devoir d’assistance humanitaire ? , La Documentation française, PPS, n°758-759,1995, 133 pages. Mario Bettati, Le droit d’ingérence : mutation de l’ordre international, O. Jacob, Paris, 1996, 384 pages. Articles

limites posées par les pouvoirs centraux → Il faut avant parler des matières qui relèvent de l'état: elles sont énumérées à l'article 117 → Il est exigé de garantir une application uniforme sur le territoire nationale des règles fondamentales de droit relatives aux rapports entre les particuliers → Certains auteurs pensent que ces limites résultent des « réserves de loi » établies par la constitution, mais également du respect des obligations internationales de l'état → Les limites sont imposées

concurrence dommageable par lui créée, ce, en raison des droits acquis par ce locataire. Il ne pourra pas d'avantage, agir contre ce dernier.Il sera toutefois, comme le précise l'arrêt du 4 mai 2006, « en droit d'exiger que [le bailleur] fasse respecter cette clause par ses autres locataires ». La contradiction n'est qu'apparente puisque « être en droit d'exiger » signifie seulement que le bénéficiaire de la clause d'exclusivité pourra faire valoir son droit à réparation auprès du bailleur. B. L'inexécution

accessible aux sollicitations extra-juridiques qu’elle disposera de moins de force pour la mise en vigueur de ses verdicts. Il est un fait avec lequel il faut compter : droit et force sont inséparablement liés, et les verdicts d’un organe juridique se rapprochent de l’idéal de justice de la communauté, au nom et dans l’intérêt de laquelle le droit est prononcé, dans la mesure même où cette communauté peut réunir les forces nécessaires pour faire respecter son idéal de justice. Mais nous sommes actuellement

côté de la responsabilité personnelle, on est également responsable des choses que l’on a sous sa garde. Quand on demeure responsable, on va devoir indemniser, c’est la responsabilité du fait d’autrui. L’intérêt est ici de constater l’existence en droit français de deux types de responsabilités souvent assimilées mais pourtant bien différentes : la responsabilité délictuelle et la contractuelle mettant en jeu un contrat. Ces deux responsabilités constituent la responsabilité civile. Si l’on se base