Droit Patrimonial Et Extrapatrimonial

 Droit des sociétés II. Le 1er intérêt de la matière. Retenons une approche classique le droit des groupements qui se composent essentiellement du droit des sociétés a été fractionné en 2 parties. La 1ère dédiée au droit commun, la 2nde au droit spécial. Une telle partition peut a priori surprendre puisqu’en pratique, la matière semble se résumer au droit spécial c’est-à-dire à l’étude de chacune des formes de société. Elle était pourtant nécessaire car permettant de prendre conscience qu’en dépit

Introduction : Il faut considérer le droit comme un arbre, le tronc représente le droit commun, ses principes généraux et les branches, la spécialisation du droit. Les facteurs de spécialisation du droit sont : 1. L’internationalisation des rapports sociaux 2. La recherche d’équité (ex : le droit au travail) 3. Le développement des moyens de communication (ex : le droit à l’information) Il faut différencier deux principales branches du tronc ; le droit national et le droit international ; puis deux

le droit ? 01/09 Objectif : Réglementation des relations entre les individus au sein d’une société, dont la particularité est d’être assorti d’une sanction. (Sans droit c’est l’anarchie, il faut dicter un cadre pour éviter que chacun édicte son propre code juridique.) (Norme religieuse / Norme juridique) Faire une loi = donner les moyens matériels et humains nécessaire pour réaliser cette loi (problème actuel) Etre INCAPABLE signifie le fait de ne pas pouvoir exercer ses droits.

Fiche 2 : le droit privé I/distinction droit privé et droit public Questions: 1/La distinction droit privé/droit public en droit français, bien qu'artificielle et imprécise est ensentielle car faite en fonction de leurs buts et des juridictions qui sont chargés de les appliquer. En effet le but du Droit public est de satisfaire l’intérêt général alors que le Droit privé servirait simplement à garantir les seuls intérêt individuels. Cette distinction correspond à 2 aspects distinct de la vie

mqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasdf ghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnm Droit Civil Licence 1 – Semestre 1 2010-2011 Mélissa Balas | Introduction Conception profane du droit : il y a très souvent 2 confusions : * Le Droit = le procès, la Cour d’Assise. * Le Droit = des règles du jeu, une sorte d’instrument qui va profiter à celui qui les connait. Ceux qui les maitrisent ont des chance de gagner le procès.

au droit Le droit constitue un ensemble de règles canalisant l’activité des hommes en société. Il existe dans ce système une distinction fondamentale (deux sens du mot droit) : le Droit (droit objectif) et les droits (droits subjectifs). CHAPITRE 1- Le droit objectif Définition : le droit objectif englobe l’ensemble des règles juridiques qui régissent la vie en société sanctionnées par la puissance publique. Section I- Les caractères de la règle de droit ü La règle de droit est

semblable à nous : la personne. Tout ce qui est différent d’une personne c’est la chose. On la retrouve dans l’enseignement du droit à la fac, par exemple jusqu’en 2002 le code civil était composé de 3 parties, la première est consacrée aux personnes, et les deux autres sont consacrées aux biens, donc aux choses. Pourquoi cette distinction est-elle fondamentale ? Le droit subjectif est un lien. « vinculum juris » (c’est pour désigner le lien qui existait entre le créancier et le débiteur, le vinculum

classique, le droit des groupements qui se proposent essentiellement droit des sociétés a été fractionné en deux parties. La première dédiée au droit commun, la seconde au droit spécial. Une telle partition peut a priori surprendre puisqu’en pratique, la matière semble se résumer au droit spécial c'est-à-dire à l’étude de chacune des formes de société. Elle était pourtant nécessaire car permettant de prendre conscience qu’en dépit des apparences, il existe des grands principes gouvernant le droit des sociétés

du corps humain, puisqu’on leur rattache le terme de « respect ». Par ailleurs, l’article 16-1 introduit la notion d’inviolabilité du corps, c'est-à-dire que l’être humain est en principe protégé contre les atteintes à son corps par le droit civil et le droit pénal, et la notion d’extra patrimonialité, c'est-à-dire que le corps humain est en dehors du patrimoine, incessible et intransmissible. On remarque cependant que le principe d’indisponibilité (le corps humain échappe au libre pouvoir de

préciser que ce principe n’a donc pas été créé « ex nihilo », mais qu’il a été révélé lors de ces épisodes historiques. Ce principe trouve deux grandes justifications : tout d’abord une justification coutumière puis une justification qui s’appuie sur le droit savant. I Révélation du principe par la coutume En 1420, lors de la conclusion du « honteux traité de Troyes », il a été prévu que la couronne de France devait échoir à Henri V roi d’Angleterre alors même que Charles VI avait un fils. La question