Droits de l'homme

L’homme est une espèce morale. C’est-à-dire, la plupart des gens luttent pour la liberté, le bonheur et la justice. Initialement, les lois ont été établies pour soutenir ces valeurs protégeant les droits de l’homme essentiels. Le bonheur par exemple ne peut guère être atteint, quand l’agressivité règne et c’est pourquoi les lois prohibent un tel comportement. Or, la liberté n’augmente pas forcément grâce aux lois. Au contraire, chaque loi mène à au moins une ‘victime’ perdant des libertés. Mais que

situations historiques nous faisons appel à l’éthique des droits de l’homme , pour les situations médiatiques nous faisons appel à l’éthique de la communication… I L’homme existe-t-il (p 23) On part du principe que tout être humain à des droits naturels : droit de survivre, de disposer de liberté fondamentales (d’opinion, d’expression). «  L’éthique concerne de façon privilégiée les droits de l’homme, elle consiste à se préoccuper de ses droits, à les faire respecter » (p23) L’éthique n’est pas

EXPOSE CONTEMPORAIN ! Les vrais « droits de l’homme » selon Burke Introduction : Au lendemain de la révolution françaises, un pensée contre révolutionnaire voit le jour, hostile à l’ouverture des instituions politique à la promotion de l’individu et à l’égalisation des conditions. Le texte que nous étudions, intitulé « les vrais droits de l’homme » est écrit par Burke, un homme d’origine irlandaise, d’une famille protestante, c’est un auteur libéral empiriste, mais c’est aussi un homme et

hommes de tuer d’autres hommes, ceux qu’on appelle ennemis. C’est suspendre à leur égard les lois de la morale, c’est-à-dire les lois de la paix, pour une durée indéterminée qui se confond avec la durée indéterminée de la guerre elle-même. Mais de quel droit ? Seconde raison : les belligérants cherchent invariablement à présenter leur cause comme juste. Ils s’y prennent de manière maladroite, souvent en mentant, ou en attisant des passions peu propices à l’examen serein des choses. Mais l’exemple

juste, est-ce être dans son droit? Les actes de la Résistance, lors de la seconde guerre mondiale, étaient prohibés par un État qui défendait l’idéologie nazie. Celle-ci, en affirmant la supériorité de la race aryenne, pointait l’inutilité des autres races sous prétexte de leur infériorité. C’est ainsi que les races dites “inférieures” se voyaient privées des droits les plus élémentaires quand on ne s’efforçait pas de les éradiquer. Du point de vue du droit, le système instauré par l’idéologie

CONVENTIONNALITE Par Olivier DUTHEILLET de LAMOTHE Conseiller d’Etat Texte publié dans les « Mélanges en l’honneur de Daniel Labetoulle », Dalloz 2007 « La loi est l’expression de la volonté générale ». Inscrit à l’article 6 de la Déclarati on des droits de l’homme et du citoyen, ce principe, qui est au cœur de la philosophie de Jean-Jacques ROUSSEAU, explique l’hostilité des ré volutionnaires de 1789 vis-à- vis de toute forme de contrôle de constitutionnalité des lois. Cette hostilité, née d’une

chacune le choix de ses habitudes et de ses coutumes, et empêchant ainsi la question d’égalité ou d’inégalité entre deux cultures. c) Aucune valeur comparable : pas de hiérarchie possible Ces éléments témoignent d’une différence inévitable auquel l’homme ne peut échapper. Mais puisqu’il y a tant de différences entre certains domaines, nous ne pouvons pas concrètement les comparer. Il n’est possible de comparer deux choses équitablement que si elles ont une propriété ou une mesure commune. Or, une

La CEDAW: un plan d'action pour l'égalité La Convention CEDAW, instrument universel de référence sur les droits des femmes, a été adoptée en 1979 par l'Assemblée Générale des Nations Unies. Aujourd'hui, 185 pays, soit près de 95% des Etats membres des Nations Unies, ont ratifié cette convention. Tout en réaffirmant le principe d’égalité entre les deux sexes, elle définit les principales discriminations à l'égard des femmes et établit un plan d'action visant à promouvoir une initiative nationale

à la connaissance de l’homme Volonté de décrire l’homme tel qu’il est et non pas comme l’on voudrait qu’il soit État de nature : passions humaines, l'effort d'auto conservation Conduites humaine dicter par  L’avidité L’appétit de possession La nature humaine  un amour de la gloire, par la vanité ou par l'orgueil. L'institution politique ne requiert pas pour être fondée, d'admettre l'existence en l'homme d'une capacité moral = une chimère. La raison n'est en l'homme qu'un instrument de

importants.  Les droits de l’homme sont-ils aussi les droits de la femme ? L’article premier de la déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948 nous dit que « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ». Ceci signifie qu’homme et femme sont égaux, ils disposent des mêmes droits. Mais ce n’est qu’un principe car la réalité est tout autre. En effet, en 1789 est adopté la déclaration des droits de l’homme et du citoyen qui énumère des droits relatifs seulement