Drosophile

être à l’origine d’une diversification des êtres vivants? 1) Les gènes du développement et le plan d’organisation voir definition du polycopié Question: 1) L’ordre dans lequel les gènes hométiques se succedent sur les chromosomes de la drosophile, du poisson zèbre et de la souris correspond à l’ordre dans lequel il s’exprime le long de l’axe antéro-postérieur. Les gènes hométiques qui présente la même couleur signifie qu’ils ont une même origine: il dérivent d’un même gène ancestral.

chromosome constituent le brassage intrachromosomique. B. Le brassage intrachromosomique. 1. Des conditions nécessaires pour visualiser un brassage intrachromosomique. Le brassage intrachromosomique existe chez ma majorité des individus (pas chez la drosophile mâle). Il faut au moins deux gènes possédant chacun deux allèles différents situés sur des chromosomes homologues. 2. Schématisation d’un brassage intrachromosomique. [pic] Les gamètes (A1 ; B1) et (A2 ; B2) sont dits parentaux. Les gamètes

qu’elles servent à définir une caractéristique biologique, physique ou physiologique (comme la couleur du poil chez la souris) : on les appelle les gènes. Le nombre de gènes varie d’une espèce à l’autre. Ainsi le génome (ensemble des gènes) de la drosophile comporte environ 14 000 gènes et le génome humain environ 30 000. Les cellules utilisent l’information génétique pour synthétiser des protéine, qui seront les molécules responsables, au final, d’un caractère ou d’une propriété biologique. Une protéine

qualitative  et  quantitative    des  résultats  de  la  F1,  b)  Croisement  de  deux  constater  la  double   races pures :  dominance  chez   l’un  des    parents.  ­résultats      Auparavant,  relater   les  ­conclusion  travaux  de  MORGAN  sur    la  Drosophile  et  dégager     les  notions  de  mutation,  de  mutant,  de  phénotype  sauvage  et  de   phénotype   muté,  d’allèle  de  type  sauvage  et  d’allèle  de   type  muté.    Traduire  par   calcul  les   résultats  numériques  en  résultats statistiques

plus petit caryotype est celui de la fourmi australienne Myrmecia pilosula qui a 2n =2 CHR. Le plus fourni est celui d’une fougère, Ophioglossum reticulatum, avec 1440 chromosomes en passant par 2n = 4 chez l’ascaris et 2n = 8 CHR chez la Drosophile. *Cellule somatique : (soma= corps) Toute cellule du corps d'un organisme multicellulaire qui n'est pas un spermatozoïde ou un ovule, donc de la lignée germinale. Ce sont par ex. les neurones ou les hématies… *Cellule germinale : cellule qui

Toutes les cellules, à l’exception des hématies, des cellules nerveuses et des cellules musculaires squelettiques sont susceptibles de se diviser. La durée d’un cycle cellulaire varie considérablement suivant les organismes (8 mn pour un embryon de drosophile, 12 à 24 h pour les mammifères) et selon le type cellulaire (hépatocyte 1 à 2 fois par an, cellules intestinales 1 à 2 fois par jour). IV.2 Phases du cycle cellulaire Le cycle cellulaire comporte deux grandes périodes : la division cellulaire

provenance des vésicules optiques est lié à l'expression du gène Pax6. De manière interressante, ce gène intervient de manière importante dans la mise en place de l'oeil chez les Vertébrés, mais aussi chez des organismes très différents, comme les Drosophiles (mouche du vinaigre). IV. Mise en évidence expérimentale des propriétés de l'oeil CultureSciences-Physique, le site ressource Sciences Physiques ENS-DESCO, propose quelques expériences simples sur les proriétés de l'oeil. Au sommaire

particulier. Par exemple les cellules satellites du muscle adulte, qui sont quiescentes et se positionnent sous une membrane basale accolée à la fibre musculaire. De nombreuses études sur ce compartiment particulier ont été réalisées chez la Drosophile, notamment au cours de la formation des cellules germinales dans le germarium de la Droso femelle. Ces études ont montré qu'un contact intime entre les cellules souches (ici les cellules souches germinales - GSC) et les cellules de soutien ("cap

éléments LINE et SINE), en passant par la levure mammifères (rétroéléments, éléments LINE et SINE), en passant par la levure (transposon Ty), les végétaux (Ac, Ds du maïs, série Tam chez la gueule-de-loup), les insectes (copia, éléments P chez la drosophile), les nématodes (Tc1), etc. Chez une espèce donnée, il existe plusieurs sortes de transposons différents. Depuis qu’on possède des séquences génomiques complètes de plusieurs espèces, on se rend compte que les séquences mobiles constituent une

études du phénotype de personnes centenaires ont montré que les facteurs importants pour leur longévité sont liés à la distribuDon de la masse adipeuse, le métabolisme, les foncDons immunitaires ainsi que cogniDves. D’autres études menées sur la drosophile, la souris ou encore les levures ont permis de comprendre qu’une vingtaine de gènes sont associés à des déterminants qui permeYent de réussir le vieillissement tels que, le contrôle du métabolisme, la résistance au stress, la dérégulaDon généDque