Du Passé Faisons Table Rase

           Suis-je ce que mon passé a fait de moi ?   Lorsque nous considérons la vie des hommes illustres ou même de plus simples mortels , nous avons le sentiment qu’en définitive leur vie s’est déroulée à la façon d’un film dont toutes les scènes avait déjà été écrites . Bref,  leur existence semble s’être déroulée comme un destin dont on ne peut plus modifier le cours   . D’ailleurs , ne faisons pas nous même l’expérience dans nos vies actuelles que les « choses » s’enchaînent , se succèdent

étaient-ils hommes à s’offrir pour lui au bourreau, à détourner sur leurs têtes le péril qui eût menacé la sienne. Ils parlaient à table, ils se taisaient à la torture. Voici encore un adage inventé par ce même orgueil : Autant de valets, autant d’ennemis. Nous ne les avons pas pour ennemis, nous les faisons tels. Et que d’autres traits cruels et inhumains sur lesquels je passe, et l’homme abusant de l’homme comme d’une bête de charge! Et nous, accoudés sur nos lits de festin, tandis que l’un essuie les

la fin des temps correspondant à la victoire complète du prolétariat. Il compare le réveil de la classe ouvrière à celui d’un volcan, cela renforce le lien entre la Terre et les prolétaires.« Du passé faisons table rase, » Cette phrase célèbre est restée ancrée dans les esprits, pour lui a victoire passe par l’insurrection pour renverser l’ordre ancien, il faut rebâtir sur de nouvelles fondations.Ce vers montre la volonté de changer l’image que la société porte sur la classe ouvrière. Il en ressort

étaient-ils hommes à s'offrir pour lui au bourreau, à détourner sur leurs têtes le péril qui eût menacé la sienne. Ils parlaient à table, ils se taisaient à la torture. 5. Voici encore un adage inventé par ce même orgueil : Autant de valets, autant d'ennemis. Nous ne les avons pas pour ennemis, nous les faisons tels. Et que d'autres traits cruels et inhumains sur lesquels je passe, de l'homme abusant de l'homme comme d'une bête de charge ! Et nous, accoudés sur nos lits de festin, tandis que l'un essuie

À l'époque de l’IIe Internationale, il fut chanté pour la première fois au congrès de Copenhague en 1910 Debout ! Les damnés de la terre Debout ! Les forçats de la faim La raison tonne en son cratère : C’est l’éruption de la fin Du passé faisons table rase Foule esclave, debout ! Debout ! Le monde va changer de base : Nous ne sommes rien, soyons tout ! Refrain C’est la lutte finale Groupons nous et demain L’Internationale Sera le genre humain. Il n’est pas de sauveurs suprêmes

route vers des valeurs essentiellement humaines. Bien sûr il ne s'agit pas de balayer d'un revers de main tous nos acquis pour les remplacer par une autre doctrine, comme cela se produirait dans une conversion. Il ne s'agit surtout pas de faire table rase du passé, au contraire il fait parti de nous-mêmes et constitue nos fondations profondes ; il s'agit seulement de mettre un peu d'ordre dans ce chaos initial, de ne conserver que ce que l'on juge bon. Il s'agit de construire son édifice, sur nos fondations

est toujours vraie. Mais ne faisons pas d’un cas particulier un cas général ; avant d’avancer quoique que ce soit, il convient d’examiner si on peut opposer à ces deux « preuves » des contre-exemples. Force nous est de reconnaître que le cas de Descartes constitue en la matière un contre-exemple magistral. Chez lui en effet, le doute naît d’un besoin de connaissances certaines, indubitables : il met en doute toutes les idées qu’il a reçues pour faire table rase, puis examiner une à une leur

Degeyter est invité à Moscou où le congrès de l'internationale communiste lui rend hommage. Lien : Plus de détails Debout les damnés de la terre / Debout les forçats de la faim / La raison tonne en son cratère / C'est l'éruption de la fin / Du passé faisons table rase / Foules, esclaves, debout, debout / Le monde va changer de base / Nous ne sommes rien, soyons tout... C'est la lutte finale / Groupons-nous, et demain (bis) / L'Internationale Sera le genre humain L'internationale exprime la pensée socialiste

ne pourrait pas il y avoir de différences fondamentales entre ce qu’il connaît et ce qui est connu. Il y a donc une certaine conception de l’esprit, même de l’âme humaine. Il part sur une sorte d’hypothèse de l’âme à son commencement comme une table rase (c’était des tables vierges sur lesquelles on inscrivait des écritures), donc l’âme humaine à son commencement serait donc vierge, elle ne contient aucune idée ni connaissance (pour lui une idée est un objet de connaissance). Mais comment expliquer

notamment a partir de la revendication des dadaistes de fiare n'imporete quoi et en particulier abnadonner toutes les regles de leur art, avec pour consequence le jugement: "ceci est du non art". "Si il est interdit de faire n'importe quoi alors faisons le" semble etre la formule des avants garde. Cependant si tout est pemis n'importe qui peut faire n'importe quoi , que faire alors pour etre artiste. Que faire de cette regle de faire n'importe quoi, qui impose precisement d'etre sans regle ?