Du sang sur la neige

Quel effet cela donne-t-il ? La couleur utilisée est le noir et blanc ( donner une valeur de source historique authentique au film ( renforcer le fait qu’il s’agit d’une période sombre de l’histoire ( renforcer les contrastes ex : le sang noir sur la neige blanche 3. Quelle est la seule couleur vive utilisée ? Sur qui ? Quel est l’effet ? Quels sont les hypothèses que l’on peut émettre pour expliquer cette technique ? Avoir coloré en rouge la petite fille permet de la faire sortir de l’anonymat

mélange qui s'opère dans son esprit entre toutes ces images mentales accumulées.) D'ailleurs, cette mouvante immobilité n'est pas sans danger pour l'observateur : "Cette virtuosité de beauté hypnotisait comme l'oeil des serpents ou le sang des oies sauvages sur la neige. Et, tout le long des routes qui montaient ou descendaient vers elle, s'alignait la procession des érables ensanglantés comme des bouchers." (Un roi sans divertissement, Folio, p.39). Cela me rappelle ce film, Le Roi danse, de Gérard

et ce n'est pas le retour d'une quantité de petits faits comme des graines qui quittent à la nuit tombante un sillon pour un autre. Ce n'est pas la mousse sur une pierre ou le verre à boire. C'est un bateau criblé de neige, si vous voulez, comme les oiseaux qui tombent et leur sang n'a pas la moindre épaisseur. Je connais le désespoir dans ses grandes lignes. Une forme très petite, délimitée par un bijou de cheveux. C'est le désespoir. Un collier de perles pour lequel on ne saurait trouver de fermoir

bruits de la guerre (on entend). Tabou sur la guerre, puis habituation (temps + nombre). Distinction soldats / civils fortes (il y avait comme 2 villes, 2 mondes)le sexe universel (prostituée Blanchard). Comparaison Belle de jour / fleur. La neige qui se transforme en boue Dernier mots de Clémence. (chap 14) Animosité Mierck/narrateur. Interrogatoire de Joséphine. Parle à Joséphine à la 3ème personne en sa présence. Tue par les mots. C’est le narrateur qui parle à la place de Joséphine. Interrogatoire

certain Comme un oiseau nourrissant ses petits, Je te ferai le plus douillet des nids, Et t’apporterai le plus grand des soins. Cupidon, lui, nous liera à jamais Comme le magnétisme des aimants Personne ne pourra nous séparer Aussi vital à ma vie que le sang Aussi illuminant que le Soleil Le Soleil, qui, tous les jours m’émerveille. Le sonnet « C’est peu d’être poète, il faut être amoureux. » a dit Nicolas Boileau dans L’art poétique. L’amour serait une bonne forme d’inspiration avec une source infinie

le début du roman, présentée comme la personne la plus sotte du village ("plus têtue qu'une mule", p. 47, "une vraie brute", dit Saucisse p. 240). Et c'est par son regard borné que Giono nous raconte la longue fascination de Langlois pour le sang sur la neige. On a l'impression d'une énorme distance, d'un malentendu entre le héros et son entourage, d'un signe évident de sa solitude. En même temps, le lecteur est encore invité à deviner l'objet de cette fascination, à comprendre entre les lignes que

rouge |Feu, sang, puissance, passion… |Dynamisme, symboliser l’action, la force… | | | |Peu être perçu comme agressif… | |Le jaune |Soleil, lumière, chaleur, vivacité… |Donner un sentiment d’énergie, de joie, de bonne humeur… | |Le blanc |Pureté, neige, lait, propreté…

temps où vous saviez considérer la valeur des choses, une telle attitude de votre part me dérange. Pourtant j'ai confiance en vous, je sais que vous allez y renoncer, vous savez reconnaître de la bonne chaire et celle-ci n'en ai pas. Pensez à Blanche Neige, en mangeant n'importe quoi elle est morte ! Je fais partie de ces personnes qui pensent qui pensent que tous les enfants méritent la vie. Voyons, tu es trop beau pour eux, il ne mérite pas d'être manger par un si bel ogre. Mais regarde les ils ne

Cette fois, je me souvenais que j’étais couché dans le cabinet de chêne et j’entendais distinctement les rafales de vent et la neige qui fouettait. J’entendais aussi le bruit agaçant at persistant de la branche de sapin, et je l’attribuais à sa véritable cause. Mais ce bruit m’exaspérait tellement que je résolus de le faire cesser, s’il y avait moyen ; et je m’imaginai que je me levais et que j’essayais d’ouvrir la croisée. La poignée était soudée dans la gâche : particularité que j’avais observée

dans la neige avec en fond la chanson de Jacques Brel ‘’Pourquoi faut-il que les hommes s’ennuient ?’’. Puis débute l’intrigue qui apparaît rapidement comme un prétexte de l’auteur pour exprimer sa réflexion sur la nature humaine. A partir de là, les spectateurs se fichent du coupable qui devient presque un détail dans l’histoire étant donné que n’importe qui peut devenir assassin. L’image est composée essentiellement de couleurs ternes. L’apparition de la couleur rouge, la couleur du sang vient troubler