Du silence et des ombres

se guérissent ! Mille espoirs fabuleux nourrissent Nos coeurs gonflés et palpitants. Te voilà, rire du Printemps ! Théodore de Banville, Les cariatides, 1843 Victor Hugo : (1802-1885) Auteur de recueils de poèmes dont Les Rayons et les Ombres (1840), Les Châtiments (1853), Les Contemplations (1856)… ainsi que de romans et de pièce de théâtres, Victor Hugo appartient au mouvement romantique. Le poème « Premier Mai » des Contemplations fait la description de la saison des amours par

| | |Dont je suis encore amoureux | | |Heurtant leurs ombres infidèles | |45 |Me rendirent si malheureux | |

s’affrontent. En effet, alternance presque systématique entre les prétendants et les défenseurs de la maison d’Ulysse. Le narrateur met en évidence la force des accusations de Télémaque et de son discours par la présence du silence « a ses mots tous restèrent dans le silence », à l’inverse, Télémaque répond « aussitôt » au discours de Ctésippe vers 303. De plus, a la tentative d’apaisement et de justification des crimes de Ctésippe « je veux dire à Télémaque et sa mère un mot d’apaisement ». « il

conduisait, Qui vaguait incertaine au vouloir de l'orage. Mais durant ce danger un écueil je trouvai, Qui brisa ma nacelle, et moi je me sauvai, À force de nager évitant le naufrage. Philippe Desportes (1546-1606) Voyage du silence Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil Remuent les lèvres Et laissent l’ombre à quatre feuilles Gagner leur cœur chaud de sommeil. Paule Éluard (1895-1952)

extraordinaires *, Nouvelles Histoires extraordinaires Les deux guerres mondiales Paroles de poilus E.-M. Remarque, A l’Ouest rien de nouveau H. Barbusse, Le Feu J. Giono, Le grand Troupeau M. Dugain, La Chambre des officiers * Vercors, Le Silence de la mer * W. Szpilman, Le Pianiste * F. Uhlman, L'Ami retrouvé * A. Franck, Journal * P. Levi, Si c’est un homme Romans policiers ou à suspense, espionnage Sir A. Conan Doyle, Une étude en rouge *, Un Scandale en Bohème * Agatha Christie

Zola nous fait la description d’un lieu froid, très silencieux, sombre. La personnification, (l.18) insiste sur l’absence de feuille sur les arbres. On peut relever le champ lexical du silence (« calme »,  « mort »). De plus, on peut observer que les arbres, les rochers et autres formes sont déformés par les ombres. Cela peut faire penser à des fantômes. On peut également voir que les couleurs perdent de leur aspect ; Zola écrit « les rayons palissaient », « les grandes masses rougeâtres devenaient

nuit dans votre maison. A votre réveil, vous ne serez plus chez vous et une certaine Astrid vous dira qu'elle sait ce que vous avez fait. Elle vous indiquera la position de leur sanctuaire près de la ville "Falkreath". Cherchez l'entrée et répondez "Silence, mon frère" pour pénétrer à l'intérieur. Parlez à Astrid pour devenir membre de la Confrérie Noire. Libération Terminer "Libération" Tertre des chutes tourmentées Terminer "Tertre des chutes tourmentées" L'art de la Voix Terminer "L'art de

forte entre pratique musicale et bord de l’eau. L’eau mêle silence, mouvement et sons qui plaisent à son oreille, et a ainsi une affinité avec la musique, comme le montrent les détails du récit au chp. VI : « Il aimait le balancement que donnait l’eau, le feuillage des branches des saules qui tombait sur son visage et le silence et l’attention des pêcheurs plus loin. […] Il écoutait les chevesnes et les goujons s’ébattre et rompre le silence d’un coup de queue ou bien au moyen de leurs petites bouches

le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes

du vers refrain comme dans une chanson             assonances sur les derniers mots (blanches- cendres) (dorées- guerrier) nugzes - orages - fade)             dans les vers: (cahiers-écolier) (vitre-surprise) (solitude nue) (bien au-dessus du silence) (str11: allitérations en M et r)             dans la strophe: (page-page-papier) Le titre du poème et le dernier vers se rappellent,: structure circulaire. Malgré le titre, on a à la lecture une impression de suspense, parce que le refrain demeure