Du Souverain La Bruyère

satirique. Le « pouvoir du récit » grâce à cette dimension est utilisé dans les fables de Jean de la Fontaine. Par exemple, dans le texte intitulé ; « Les obsèques de la Lionne » qui dénonce la flatterie dont les courtisans font preuve à l’égard du souverain. Par ailleurs, le récit est attrayant par son charme, sa fantaisie, car il évoque des individus au sein de situations particulières, mais sans avoir à les particulariser autrement que part un nom générique. Dès lors, le récit à recours le plus souvent

MOUVEMENTS Définition Principes Genres littéraires Procédés d'écriture Auteurs Littérature courtoise «Courtoisie» → «cour» (= la résidence d'un souverain). Reflète l'idéal courtois à travers les œuvres romanesques. Prône un idéal de conduite à l'égard des dames qui sont courtisées. Le roman Petits récits en vers Registre lyrique Chrétien de Troyes Guillaume de Lorris Humanisme «Humanisme» → du latin «humanitas» (=ensemble des qualités intellectuelles, morales et physiques qui distinguent

Claude Gelée, dit le Lorrain, ont fait carrière à Rome, quant à Philippe de Champaigne, s'il fut sous Louis XIII et la Régence un peintre proche du pouvoir, son rapprochement du jansénisme persécuté par Louis XIV l'éloigne, à la fin de sa vie, et du souverain et de l'Académie. Ordre, clarté et simplicité,telle est la notion de classicisme dans la peinture française du XVIIe siècle essentiellement incarnée par un peintre qui –paradoxalement - fit l'essentiel de sa carrière non à Paris mais à Rome

courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo. Pourquoi les bœufs ? Pourquoi les bœufs traînent-ils les vieux chars pesants ?  Cela fait pitié de voir leur gros front bombé,  leurs yeux qui ont l'air de souffrance de tomber.  Ils font gagner le pain aux pauvres paysans

sont convenus entre eux de se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger les uns les autres ; et pour le faire plus ingénieusement et avec plus de sûreté, ils ont inventé de belles règles qu'on appelle l’art militaire »[1]. Ce constat de Jean de la BRUYERE, suggère irrévocablement, le caractère universel de l’institution militaire qu’est l’armée. Selon le Dictionnaire de la Science Politique et des Institutions politiques, une armée peut être définie comme une administration qui est chargée de la

autre ordre, celui de tout un Etat. On retrouve la notion de sacrifice (pour le roi) dans les Caractères de La Bruyère : le chapitre « Du souverain » présente le bon roi comme un berger qui ne pense pas à son intérêt personnel mais au bien-être et à la protection des brebis ; ce texte illustre donc, tout comme l’extrait d’Antigone, les aspects difficiles de la fonction du souverain. 

Corneille - Agrippa d’Aubigné - de Sponde - de Viau. En Angleterre : Sheakespeare. En Espagne : Calderón de la Barca - Lope de Vega. En Allemagne : Gryphius - Opitz . En Italie : Marino... Comtemporains : Descartes - Pascal - La Rochefoucauld - La Bruyère - La Fontaine - Molière - Spinoza - Perrault - Cervantes... Peinture Vélasquez - Zurbaran - Murillo - Rubens - Bruegel - Van Dyck - Hals - Rembrandt - Van Ruisdael... Vers le classicisme Le baroque se heurte à deux réalités en

le bon développement de l'individu. Elles se manifestent au travers de symptômes physiques comme des frissons, des tremblements, de la paralysie mais aussi psychologiques, la folie ou des troubles comportementaux et peut conduire au suicide. La Bruyère disait que « la superstition semble n'être autre chose qu'une crainte mal réglée de la Divinité. ». Ces peurs sont devenues, avec le temps, des lois, religieuses par exemple ; qui persistent et exercent des restrictions sur l’homme. Russell a dit

que le droit naturel est immuable, Dieu lui-même n'y pouvant rien changer. Dans le domaine économique, il défend la liberté de commerce, disant que l'on doit être libre entre tous. Sur le plan politique, il est pour l'autorité et l'obéissance aux souverains. Un pouvoir fort permettant de faire régner l'ordre et la paix, et assure l'expansion économique. Il s'est intéressé aux relations internationales et a fait un exposé sur les causes justes de guerre (exemple de cause juste : la violation des

Dame, ma liesse ! Or est notre amour départie, Non pourtant, je vous fais promesse Que de prières, à largesse, ortie vous servirai de cœur, Sans oublier aucunement; Et vous regretterai souvent En peine, souci et douleur. Dieu, sur tout souverain Seigneur, Ordonnez, par grâce et douceur, De l'âme d'elle, tellement Qu'elle ne soit pas longuement En peine, souci et douleur ! Charles d’Orléans (1394-1465) À un passant Mon cher enfant que j'ai vu dans ma vie errante, Mon