Dualisme De Descartes

À la Renaissance, l’humanisme... Et un enseignement rigide, où la scolastique fixe les normes et méthodes... Puis vint la “révolution” de René Descartes Qui proposa trois choses... Premièrement... Qu’il est individuellement possible de mettre des choses en doute; que le doute est permis. Qui proposa trois choses Deuxièmement, Qu’il faille procéder avec méthode Cette méthode permettant un doute radical force une remise en question de ce qui paraît habituellement évident

René Descartes, né le 31 mars 1596 à La Haye (actuellement Descartes), et mort le 11 février 1650 à Stockholm, est un mathématicien, physicien et philosophe français. Il est considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne, en atteste cette phrase volontairement provocatrice : « Enfin Descartes vint1 ». Il formule le cogiton 1 – « je pense, donc je suis » – fondant avec le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il a apporté une

Descartes René Descartes, né le 31 mars 1596 à La Haye en France, et mort le 11 février 1650 à Stockholm, est un mathématicien, physicien et philosophe français. Il est considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne1. Il formule en latin le cogiton 1 — « Je pense, donc je suis » — fondant ainsi le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il a apporté une contribution à l’optique et est considéré comme l'un des fondateurs du mécanisme

pensante et substance matérielle : Descartes démontre que quand bien même on révoque en doute toutes nos opinions, et notamment tout ce qui provient des sens, demeure l’évidence première du « je pense » (cogito) et par conséquent du « je » comme sujet ou substrat de cette pensée. Cette substance pensante se distingue radicalement de la substance étendue, de la matière et des corps. C’est là ce qu’on appelle couramment dualisme. • L’union de l’âme et du corps : Le dualisme est source de difficultés importantes

"travaillée" (tous les objets élaborés par l’homme), qui n’en finirait pas de témoigner de la dimension spirituelle de l’humanité, puisque c’est d’elle, de ses projets, de ses choix, de ses décisions, que dépend le travail. 2 - Le dualisme classique ■Lorsque Descartes caractérise le corps par l’étendue et l’âme par la pensée, il officialise philosophiquement l’opposition intuitivement perçue entre matière et esprit. Dans la mesure où il considère que l’âme n’est présente, parmi les vivants, que

que c’est l’âme qui déterminait la nature de l’homme donc que nous ne faisions qu’un avec elle. Tout se passe alors comme si toutes nos actions, nos choix, notre vision des choses découlaient d’une certaine façon de notre âme. En créant le dualisme, Descartes voulait avant tout expliquer, à travers cette conception philosophique, le rapport que l’on pouvait trouver entre le corps et l’esprit . En affirmant « je pense donc je suis », il laissait entendre que l’homme par sa pensée avait la capacité

nous fourni des informations utiles pour notre vie pratique. Elle apparaît donc d'emblée comme une fonction biologique naturelle. Descartes apercevant du haut d'un balcon des manteaux et des chapeaux ce déplaçant dans le rue et ne croyant pas aux fantômes juge qu'il s'agit la d'hommes revêtu de chapeaux et de manteau. Dans la deuxième méditation métaphysiques, Descartes fait de la perception une activité intellectuelle. Dans ce contexte on peut légitimement s'interroger : la perception est elle une

conscience individuelle. Sur ce point, la phénoménologie est directement dans la perspective de René Descartes et de son « je pense, donc je suis », qui rejette par définition les cinq sens et la réalité matérielle comme un ensemble absolu. De la même manière que Descartes est l'anti-Spinoza, l'idéalisme s'est transformé et la phénoménologie est devenue l'anti-matérialisme dialectique. Ce rapport à Descartes, à une perspective bourgeoise française, est la raison du triomphe en France de la phénoménologie

internes éclatent. 2 thèses s'affrontent: -matérialisme et idéalisme (spiritualisme). Lorsque l'on réduit tout à une seule thèse, on appelle ça thèse monisme (Platon), lorsque l'on réunit les deux, l'on appelle ça thèse dualiste (Descartes). La thèse moderne serait plus dualisme avec malgré tout une tendance au matérialisme (esprit se réduit à matière; cerveau ne serait qu'un processus physique et chimique => le computationisme). Comparer vivant et machine (1), Soeurn en voit le problème (ratio en latin=

proscrire ou à fuir car trompeuse, déformatrice de l’être même des choses, de la réalité ? Faut-il plutôt abandonner cette opposition stérile entre représentation et réalité pour proclamer un idéalisme absolu et ainsi reconduire comme un faux problème le dualisme représentation-réalité tout en redéfinissant cette première comme contenu de pensée ? Enfin, ne peut-on pas concevoir un rapport harmonieux entre l’image et ce à quoi elle renvoie - que ce soit en puissance ou en acte - où la représentation serait