Dualité Femme

entrecroisement s'appelle un chiasme. Il marque la superposition de la mère et de la maîtresse, leur relation comme figures de la femme. Oui-oui: Il manque la sœur du vin de amants. Mais à quoi bon un chiasme? Hibou: Il signifie que la diversité de la femme, tour à tour mère, maîtresse ou sœur, n'est que l'aspect de son unité: ce sont pour ainsi dire trois éclats de la femme. La femme est donc indéterminée, équivoque, ambiguë, c'est ce qui fait son charme. Elle n'est pas tantôt ceci, tantôt cela; c'est son

RUY BLAS Joué par Frédéric Lemaitre dont Dumas disait « il n’est pas un drame, il est le drame » Se déroule sous l’Espagne de Louis Philippe Préface Le drame peut contenter trois types de public : les femmes qui veulent la passion, la foule qui veut l’action, et les penseurs qui veulent des caractères. C’est la « loi du drame ». Le drame va au delà de la « barrière de feu ». Contre « la rampe du théâtre » séparation monde réel/monde idéal. Le drame crée et fait vivre des caractères, des

comme un rustre, c’est un tyran domestique chez lui. - Léandre : à l’extérieur, il est très sociable, agréable à vivre. Chez lui, il est froid, solitaire, et ne possède aucune discussion avec sa femme. - Tessandre : très joyeux, bonne figure en publique mais sa femme est malheureuse et maltraitée. - Lisette accuse Silvia de bizarrerie car les deux femmes se trouvent sur deux niveaux qui ne peuvent se rejoindre : Opinion du peuple / Moyen de revendiquer sa personnalité

dans le quotidien de Bernay du 1er Mars 1879 d'un fait divers monstrueux bouleverse l'opinion publique. Dans le village d'Anctoville , dans le Calvados, un nouveau né meurt assassiné par sa mère. Quelles sont les raisons ayant entraîné une jeune femme célibataire à commettre l'irréparable avec l'intervention de sa grand-mère ? Des circonstances atténuantes peuvent-elles être envisagées dans un cas semblable ? C'est sur ces questions que les jurés ont eu à se prononcer en leur âme et conscience

qu’on connaît aujourd’hui est le personnage-narrateur crée par Amélie Nothomb, Amélie-San. Cette femme dans la vingtaine part non seulement pour refaire des liens avec son Japon d’enfance mais aussi pour trouver sa propre identité. Celle-ci devra faire face à plusieurs obstacles dans sa quête et un de ceux-ci est sa supérieure Fubuki. Elle incarne à la fois le Japon idéalisé par sa beauté et la femme japonaise par sa perfection. L’auteure utilise le procédé de symbolisation du nom. En effet, son

Sujet : « Le monde est dangereux à vivre, non pas tant à cause de ce qui font le mal mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. » ALBERT Einstein. Le physicien théoricien, Albert Einstein a dit un jour : «  le monde est dangereux à vivre, non pas tant à cause de ce qui font le mal mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. » « …Non pas tant à cause qui font le mal… » "Le mal c'est porter atteinte à l'humanité. Il est en nous chaque fois que nous nous préférons à tout

décrit comme une femme qui attire, fascine ; elle est blonde et très séduisante, elle a de la grâce. C’est une femme très indépendante, l’auteur à aussi voulut montrer la femme la plus moderne de son roman. Elle reste pourtant pour le lecteur un personnage mystérieux jusqu'à la fin du roman ; on ne sera par exemple jamais si Vaudrec était son amant ! Pour cette époque, Madeleine est une femme très masculine, elle fume et elle est passionnée par la politique Madeleine est aussi une femme de talent et

Sujet de l'enquête : Les conflits de générations : mythe ou réalité ? Travail réalisé par les élèves de 1ère ES du lycée Emile Roux de Confolens (16) sous la direction de Patrick Barreau • présentation • questionnaire • résultats • synthèse Présentation de l'activité Dans le cadre des activités de module, les élèves de première ES ont souhaité effectuer une enquête de nature sociologique. Il nous a paru intéressant de profiter de cette activité pour utiliser les

personnages Chrysale, le père. Il se prétend le maître de la maison et affirme que les femmes doivent s'occuper du ménage et de rien d'autre ; cependant, il a du mal à contredire sa femme quand celle-ci prend ses décisions, notamment sur le renvoi de Martine. Henriette, la fille cadette. C'est la seule femme de la famille qui ne fasse pas partie des « femmes savantes » : à leur galimatias pédant, elle préfère les sentiments qui la lient à Clitandre. Clitandre, le fiancé. Il a failli être

| |« Mettez-moi nue ! Puis mettez-vous nu ! » | | | |Son corps était celui d’une femme ronde et | | | |épaisse. Après qu’ils se furent pris, à | | | |l’instant