Duc d'Albany

|BEP Métiers des Services Administratifs | |FICHE DESCRIPTIVE D’ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE N° 5 | | | |ÉPREUVE EP1 : PRATIQUE PROFESSIONNELLE

Point de vue fortement décalé à droite : de cette façon on voit le mur rouge : l’artiste structure l’espace. Cet artiste influencera énormement les Flandres. Artiste : Les Frères Limbourg (Pol ; Herman ; Hennequin). : «  les très riches heures du duc de Berry » : L’arrestation du Christ. En + des représentations religieuses : représentations profanes, comme des illustrations pour chaque mois de l’année. Gout pour la réalité quotidienne qui s’exprime de plus en plus ouvertement. C’est aussi un

précèdent. - Ouverture du film d’Al Pacino, Looking for Richard Prolongements proposés à la classe par le professeur : - exposé : le théâtre élisabéthain - recherche de documents : « Les Très riches Heures du Duc de Berry » (référence du décor de L. Olivier) Lectures et activités personnelles : abonnement au théâtre pour certains élèves, qui ont pu voir : La Famille Schroffenstein, de H. von Kleist ; Les Drôles (mise en scène : Fabien Teigné ); Oncle Vania

traducteurs. Objectifs 1. Lecture : a. Lecture analytique : « Le prudhomme qui sauva son compère de la noyade ». b. Lecture comparée : Débuts et fins de fabliaux. c. Lecture d’image : « Mois de mai et de mars », Les Très Riches Heures du duc de Berry. d. Lecture analytique : « La vieille qui graissa la patte au chevalier ». e. Lecture comparée : « Brunain, la vache au prêtre » et « De Brunain la vache au prestre », Fabliaux, Jean Bodel, Nizet, 1965. f. Texte de l’évaluation sommative

scène Gauche : conflit (bagarre) > défendre Jésus Au centre : Baiser de Judas A droite : Romains qui viennent arrêter Jésus. Recherche du drame : Souci du détail * Couleurs franches * Passion du christ « Très riches heures du Duc de Berry » Frères de Limbourg (1415-1456) Janvier Page miniaturé d’un calendrier : _ illustrations + calendrier solaire/lunaire _ zodiaque _

: substantif suivi d'un adjectif – le Petit Chaperon rouge : adjectif antéposé, substantif, adjectif postposé – les Trois Mousquetaires : adjectif, substantif – les Mille et Une Nuits : deux adjectifs, un substantif – les Très Riches Heures du duc de Berry : adverbe, adjectif, substantif – l'Homme qui rit : ce n'est pas une phrase verbale – les Précieuses ridicules : substantif et adjectif Exceptions : il existe des titres où le second substantif a été capitalisé par l'auteur à dessein. Par

Blérain (Manuel Français 5e en séquences de Hatier p. 50) o La vieille qui graissa la main du chevalier o Le vilain de Farbus (Fabliaux du Moyen-Age, coll Etonnants Classiques, GF Flammarion) - Image : Très Riches Heures du Duc de Berry, Septembre – prolongement du cours d’Histoire |Séance |Support |Objectifs |Outils de la langue |Dominante | | |

fit dès ce moment des ennemis irréductibles, notamment Cassagne et l'abbé Cotin qui le critiquèrent ; de là date la haine qui inspira à Boileau tant de traits qui sont dans toutes les mémoires. Les ennemis de Boileau trouvèrent un protecteur dans le duc de Montausier qui se croyait le défenseur naturel des poètes qui avaient fréquenté l’hôtel de Rambouillet et rimé la Guirlande de Julie (Julie d'Angennes, duchesse de Montausier). Boileau publia avec un grand succès, ses premières satires en 1666.

guirlande de Julie est un manuscrit écrit au XVIIème. Il est dédié à Julie d’Angennes, fille du marquis et de la marquise Catherine de Rambouillet par le Duc de Montausier qui en était amoureux. Celui-ci décide de composer une série de madrigaux, chacun portant le nom d’une fleur et l’ensemble formerait une guirlande d’où le titre du recueil. Le duc de Montausier fit appel à une vingtaine de ses amis poètes pour l’aider à composer les 62 madrigaux qui forment l’œuvre dont lui-même en composa 16.Ce

l'eschatologie[4]. Les trompettes de Jericho[5] qui annoncent la conquête de la terre promise par Josué sont parfois mises en parallèle avec les trompettes de l'Apocalypse qui annoncent la seconde venue de Jésus. Canonicité[modifier] Les Très Riches Heures du duc de Berry, Musée Condé, Chantilly. L'admission de l'Apocalypse dans le canon des livres reçus fut assez difficile. Certains, comme le prêtre romain Caïus, au début du IIIe siècle, rejetaient l'Apocalypse, car ils la soupçonnaient de favoriser le