Duc de Cornouailles

frontières sont contestées. On peut réellement parler de frontière en 845 avec le traité d’Angers, qui reconnaît la souveraineté de l’Etat breton. Ce traité se fit à la suite de la victoire de Nominoë sur Charles le Chauve à Ballons, qui devint alors duc de Bretagne. Les comtés de Vannes, Nantes et Rennes y sont alors intégrés, ainsi que Cotentin, le Maine et l'Anjou, qui ne sont que des annexes, appelées « marches ». Ces frontières sont alors ratifiées avec le traité de Guérande en 937, la Bretagne

forme. Il y a une très grande importance accordée aux auteurs classiques : « nous sommes des nains sur les épaules de géants ». Le francien, parlé à l’île de France, est également parlé à Londres, à la cour du roi d’Angleterre qui est un descendant du duc de Normandie (et c’est donc pour cela qu’on parle français). Les deux foyers de la Renaissance au 12e siècle sont donc Paris (avec le roi Louis VII) et Londres (avec Henri II Plantagenêt). Le roman est le produit de trois influences : • L’Antiquité

de plus en Francie occidentale pour y prêcher la croisade. Son appel s'adresse surtout à son milieu d'origine, la noblesse franque du Sud de la Loire. Mais à l'été 1096, les contingents réunis dépassent largement ce cadre19. Godefroid de Bouillon, duc de Basse-Lotharingie et son frère Baudouin de Boulogne ont rejoint l'expédition, ainsi que le frère du roi, Hugues de Vermandois, Robert de Normandie et Étienne de Blois. Bohémond, fils aîné de Robert Guiscard, décide lui aussi de se croiser. Le départ

inscrire. »(I, pages 541-544). Le prince, le colonel de Saint-Loup à Doncières, était, comme il se doit, « impérial » (II, page 73) ; mais lui, que Marcel qualifie de « napoléonide » (II, page 74) dont « le grand-père avait été fait maréchal et prince-duc par l’Empereur, à la famile de qui il s’était ensuite allié par son mariage, puis dont le père avait épousé une cousine de Napoléon III et avait été deux fois ministre après le coup d’État, sentait que malgré cela il n’était pas grand’chose pour Saint-Loup

Passion du Christ. Dès le VIIème siècle, le pèlerinage figure parmi les pénitences canoniques car, par une confusion compréhensible, en dépit des condamnations officielles (concile de Châlon, 813), le pèlerinage laverait des pêchés (ex de pénitents : duc de Normandie, comte d’Anjou…). Au XIème siècle, le pèlerinage est imposé en pénitence à ceux qui brisent la paix que l’Eglise s’efforce d’instaurer au sein de la chrétienté latine. Dès la fin du Xème siècle, la paix en méditerranée favorise le mouvement

surnom du Chouan Jean Cibot. Il sera guillotiné en 1809 (L'Envers de l'histoire contemporaine). C'est lui qui se charge avec Marche-à-terre de l'exécution de son cousin Galope-Chopine qui à trahi. – Marie-Nathalie de VERNEUIL : fille naturelle du duc de Verneuil, elle a 26 ans en 1799. Elle devient la femme de Danton quelques jours avant l'exécution de celui-ci. Son roman d'amour et sa fin tragique sont évoqués dans Béatrix et dans La Vieille Fille.   IV. LECTURES ET COMMENTAIRES Les Chouans

(Basques ou Gascons), le 15 août 778. Le récit littéraire: Charlemagne chasse les Sarrasins d'Espagne; seule Saragosse lui résiste. Il a douze pairs: Roland (son neveu, comte des marches de Bretagne; peut-être personnage historique?), Olivier, le duc Naimes..., personnages imaginaires, et l'archevêque Turpin (qui ne fut pas présent à Roncevaux et meurt en 790). Roland commande l'arrière-garde, qui est attaquée par les Sarrasins de Marsile! Entre l‘événement et la chanson: ± 300 ans. Chanson de

mélancoliques. Le narrateur est très sensible à cette question ; l’amour de Tristan pour Yseut, dont les caractéristiques atrabilaires sont très bien connues à cette époque-ci, est confronté à d’autres passions atrabilaires qui concernent la reine de Cornouailles : 39) Tristan en Prose, op.cit, tome I, chapitre 161, pages 236 et 237. 40) Tristan en Prose, op.cit, tome I, chapitres 161 et 162, pages 236 à 238. 12 Kahédin (comme Palamède, d’ailleurs, dont il est l’un des « prototypes narratifs »)

Bretagne anglaise avait une civilisation très proche de celle de la Gaule au moment de l’intervention de César (-55 avt J.C.). Christianisée au IVè siècle, l’île est abandonnée par les Romains. Envahie ensuite par les Anglo-saxons, les Bretons de Cornouaille se réfugient en Armorique21 et lui donnent leur nom. Ces Bretons, devenus français au XVè siècle, ont toujours maintenu leurs particularismes, la langue bretonne et les traditions religieuses (processions ou « pardons » en costumes traditionnels)

prévaut le système juridique suivant : « Ducs, Comtes, Vicomtes, Barons peuvent tenir les uns des autres sauf la dignité du roi contre qui l’hommage ne vaut rien. » Ce principe s’inspire de la féodalité normande qui était très centralisée au profit du duc de Normandie. Ce principe s’inspire aussi du droit romain qui conforte le pouvoir d’une autorité centrale (l’empereur romain). Progressivement le roi suzerain va se transformer en roi souverain c'est-à-dire délié de toute entrave à son pouvoir