Duce

Transition : Mais l’œuvre d'art ainsi comprise ne risque-t-elle pas de contraindre la perception qu'elle était censée émanciper ? III Néanmoins le but de l'éducation est à distinguer d'un simple conditionnement – « Ducere » = conduire (« el duce » était le surnom de Mussolini ...) → œuvres d'art = conditionnement ? En réalité le privilège de l'oeuvre d'art est de me maintenir libre en face d'elle par le jeu des différentes facultés de l'homme (entendement et imagination comme le montre Kant)

Italie le Duce (« le Guide »), dont l'autorité ne saurait être remise en question. C'est au cours de sa période socialiste que Mussolini fut qualifié pour la première fois de Duce, selon un terme en usage dans la gauche italienne[10]. Avec le fascisme, l'emploi du terme est systématisé et le Duce devient le conducteur de la révolution fasciste. Néanmoins, ce n'est qu'après le congrès de Vérone de novembre 1921 qui permit la transformation du mouvement en parti que Mussolini fut reconnu comme Duce du fascisme

an? Balada domnilor de altădată urmând zisele dinainte Unde-i Calist al treilea, care Ca ultimul cu-acest blazon Doar patru ani fu papă, oare? Alfons, rege în Aragon Sfiosul duce de Bourbon, Şi Artus, duce de Bretaigne, Carol, al şaptelea pe tron? Dar unde-i mândrul Charlemagne? Aşişderi, regele scotist Cel ce avea, precum se ştie, Jumate chip ca de-ametist, Din creştet până la bărbie?

régimes ont pour point commun le mépris des libertés individuelles : ils visent à mettre en place une société unanimiste dans laquelle l’individu doit s’effacer derrière la collectivité. Le droit est alors défini par le modèle unique du chef (Führer, Duce, Vojd), symbole de l’unité du peuple, pour lequel la propagande organise un culte de la personnalité. Par delà ce projet, les régimes communiste et fascistes sont radicalement ennemis (des " jumeaux ennemis ", écrivait François Furet), comme le montre

totalitarismes tentent de contrôler tous les aspects de la vie en société pourcréer un homme nouveau. Pour cela les Etats usent de la propagande mais aussi de la violence (brutalités policières, déportation, meurtres…). Le dirigeant est un guide infaillible (duce, Vojd « petit père des peuples », führer) auquel est voué un culte de la personnalité. Cependant, malgré un usage commun de la violence envers leurs peuples (Juifs en Allemagne, propriétaires en URSS, démocrates et socialistes en Italie) des différences existent

revirement diplomatique incohérent de la France et de la Grande-Bretagne. Enfin, la France laisse entendre à l'Italie qu'elle n'interviendra pas contre elle en Éthiopie. Ainsi, la conférence de Stresa non seulement échoue à freiner les ambitions du Duce en Éthiopie mais l'encourage plutôt à l'action.    À cet égard, la guerre italo-éthiopienne (1935-1936), opposant deux États membres, marque la faillite de la sécurité collective : contre l'agression italienne, la SDN prend des sanctions inefficaces

Histoire est par ailleurs plus présente que dans le roman : ainsi, Aroun Arachide et ses « troupes » portent les mêmes uniformes que les Chemises Noires de Mussolini, et la gestuelle et les mimiques du « tribun » sont une claire évocation des discours du Duce ; le thème du fascisme est un ajout du film qui, pour le reste, évoque le même univers que celui du roman. - Le réalisateur semble donc s’amuser de ces clins d’œil, qui ont pour fonction, d’établir une connivence avec le spectateur, autant que d’assurer

d’ivoire de la région rencontre Morel sans le savoir et lui donne sa carte. Ornando retourne l’opinion publique envers Forsythe. Chapitre 32 : il faut en baver beaucoup pour comprendre ce que c’est, le respect de la nature Forsythe. Il auront leur Duce et ensuite ils comprendront. Troisième partieRobert Dajeon, député de l’Oubangui, entendait toujours « trop tôt », ou « trop tard », à chaque fois que l’on parle de réforme à propos de l’Afrique. Le progrès ne se fait pas par le juste milieu, mais

le petit père du peuple » qui était aimé pour se faire aimer a son tour en plaçant toujours son portrait a côté du sien sur les affiches de propagandes. Le fuhrerprincipe en Allemagne vu comme un guide infaillible, au caractère impressionnant et le Duce en Italie qui coexiste avec celui du roi toujours présent. Le culte du chef apparait donc comme un élément essentiel dans la mobilisation des masses, car ils incarnent la nation elle-même, disposent de l’autorité suprême et sont incontestables.

terreur de masse jamais mise réellement en place en Italie - système efficace qui inspire la crainte 3. Un chef charismatique et messianique adulé par la masse, porteur d’un message ( Le rôle du chef - détient l’idéologie donc est le guide suprême (Duce, Fûhrer, Vojd), infaillible - détient la Vérité = prophète + maître de la « religion » de l’Etat - incarne la nation, symbole de l’unité nationale - culte de la personnalité = élément central de cette propagande ( L’idéologie - idéologie suffit