Duce

avec notamment l'accroissement général du chômage et de la misère, engendrant la montée des régimes totalitaires des dictateurs comme Adolf Hitler (1889-1945) en Allemagne, « le Fürher » créateur du nazisme, ou bien Benitto Mussolini (1883-1945), « El Duce » fondateur du Fascisme, en Italie. Nous allons donc étudier, dans une première partie, quelles sont les origine de cette « Grande dépression », dans une seconde, ses conséquences, puis quelles ont été les mesures misent en place par les différent

la propagande, vis-à-vis des adultes. Moyens : Cinéma, presse, rassemblements géants. * Primauté du parti unique qui s’identifie à l’état : parti fasciste. * Primauté du chef : homme fort, infaillible, apte à tout faire (dictateur) : le Duce. * Maintien de l’ordre grâce à la policie politique : Milice. * Etat corporatif : état dans lequel tous les aspects de la vie économique et sociale sont soumis à l’état. * Suppression des oppositions : communistes, socialistes, démocrates

censée incarner la civilisation doit écarter ou éliminer les races jugées inférieures. Le racisme est donc la spécificité du nazisme. Lié à la culture de la guerre, le culte du chef est un élément essentiel du contrôle des masses. Les termes Führer, Duce et Vojd désignent tous un guide qui fait l'objet d'un culte. IL est l'autorité autour de laquelle tout s'organise exerçant sur les foules un pouvoir charismatique. En Allemagne, la légitimité du pouvoir d'Hitler s'impose de manière naturelle à toutes

trudebat in exitium praeceps, cum eum potius lenitate feminea ad veritatis humanitatisque viam reducere utilia suadendo deberet, ut in Gordianorum actibus factitasse Maximini truculenti illius imperatoris rettulimus coniugem. Eodem tempore Serenianus ex duce, cuius ignavia populatam in Phoenice Celsen ante rettulimus, pulsatae maiestatis imperii reus iure postulatus ac lege, incertum qua potuit suffragatione absolvi, aperte convictus familiarem suum cum pileo, quo caput operiebat, incantato vetitis artibus

pas contrarier la puissance de l'Etat (l. 16). L'Église catholique, très puissante en Italie, est vue comme une rivale à la fois pour le fascisme, qui se présente par bien des aspects comme une « nouvelle religion » (avec un culte, celui du chef ou duce, le nouveau guide), mais aussi de l'État italien, qui est en effet en conflit avec la papauté depuis l'annexion de Rome et des Etats pontificaux en 1870. La question sera cependant réglée avec les accords du Latran en 1929. Le fascisme va au delà

démocraties libérales dont le pluralisme politique. Cette politique est alors dirigée par un parti unique, celui du chef suprême dont l’image est sans cesse cultivée. Celui-ci est surnommé le « guide » dans les trois régimes : Mussolini est ainsi le « Duce », Staline le « Vojd » et Hitler le « Führer ». L’idéologie qui caractérise ces Etats peut aussi être qualifiée d’expansionniste malgré le fait qu’elle apparaisse sous différentes formes : s’opposant en général au reste du monde, elle vise par exemple

Emmanuel III, qui le nomme chef du gouvernement en 1922. En |nationalité allemande. Le 30 janvier 1933, le président Hindenburg le |Petrograd en avril, après avoir traversé l'Allemagne. Il organise la révolution d'octobre | |quelques années, le « Duce » organise le premier régime fasciste |nomme chancelier du Reich. Le Führer transforme le régime en dictature |1917 qui porte les bolcheviks au pouvoir, signe la paix avec l'Allemagne et instaure le « | |d'Europe. Après quelques hésitations

incarne l’État totalitaire. Il est de nature différente aux autres hommes, c'est un surhomme. Ce leadership est avant tout le résultat d'une certaine configuration politique et d'un certain nombres de techniques d'exercice du pouvoir. L'exemple du Duce du fascisme italien permet d'illustrer combien l’émergence de ce leadership n'est possible que parce que toute critique, tout pluralisme ont été supprimés dans la société totalitaires, des lors lorsque le régime proclame que 'Mussolini a tjs raison'

l’icône d'un régime dictatorial. B)] La mise en place d'un régime autoritaire et des lois d’exclusion Le culte de la personnalité [modifier] La France adopte le FührerPrinzip en vigueur en Allemagne, Italie, Espagne : ces pays ont leur Führer, leur Duce, leur Caudillo, elle aura son « Maréchal ». L'exaltation du maréchal, partant de ses états de service de 1914-1918 et son intention affichée de sauver la France devint le thème favori des médias, d'abord spontanément, puis sous le contrôle étroit

la mort d'Hindenburg, Hitler se fait proclamer président du Reich (décision plébiscitée à 90% par les Allemands). C. Les idées totalitaires * En Italie. En 1925-26, les lois fascistes abolissent la démocratie et le pouvoir appartient alors au Duce. Un lien étroit existe alors entre le Parti fasciste qui devient le parti unique et dont les responsables sont rassemblés au Grand Conseil et l'Etat : l'administration est épurée et une police politique, l'OVRA (organisation de vigilance et de répression