Duché de Berry

quand François Ier défait sur le champ de bataille avait était fait prisonnier par Charles Quint et a cette occasion un traité avait été mis en place. Charles Quint volait démembrer le royaume de France. Le traité de Madrid fut donc établi livrant le duché de bourgogne à Charles Quint. Le traité fut signé, François Ier fut libéré. En 1526 François Ier a convoqué l assemblée d Etat de Bourgogne et ils ont refusé de changer de souverain. Le parlement de Paris a posé un principe en cassant le traité de

l’Eglise qui ont fait la France Il faut rendre cette justice qu’au fil des siècles, la France s’est construite sous la double action de deux institutions : la Monarchie et l’Eglise Catholique. A l’origine, la France était un tout petit territoire, le duché de France (Ile de France), et s'étendait de Paris à Senlis, Orléans et Dreux. En 987, Hugues Capet était duc de France et comte d'Orléans. Il réunit sur ses terres, à Senlis, une assemblée de seigneurs sous la présidence de l'archevêque de Reims

la Vistule. » Soldats , dit-il, dans tous les climats, dans toutes les saisons, nous serons toujours les soldats de la grande armée. » Pendant ce temps, le maréchal Lefèvre écrasait et prenait Dantzick, et Napoléon érigeait le nom de cette ville en duché, pour récompenser dignement le maréchal des talens supérieurs qu'il avait déployés dans la prise de celte place. Un armistice avait été accordé au roi 11 ( 122 ) de Prusse; et les Français, tranquilles sur la foi du serment, se livraient à la sécurité

duché57. Dans le duché de Bourgogne, la notion d’une coutume de Bourgogne n’apparaît pas avant le XIIIème siècle. Il est alors question de Coutume en toute Bourgogne. Mais l’idée d’une coutume vraiment générale ne prend corps qu’à la fin du XIIIème siècle : l’entame d’une rédaction privée permet la rédaction d’un ouvrage intitulé L’usage de Bourgogne. Au début du XIVème siècle, paraît ainsi une compilation en 144 articles intitulée « ce sunt les costumes gardées et approuvées en la duchée de Bourgogne

autrefois, s'étaient abrités derrière les Mérovingiens fainéants. Quand ce faiseur de rois mourut, le Carolingien, Lothaire, était un enfant, mais cet enfant allait être un homme ambitieux et actif. Hugues le Grand était mort en 956. Il laissait son duché à Hugues Capet. Il s'en fallait de beaucoup que celui-ci n'eût qu'à prendre la couronne royale. Avec Lothaire, la vieille dynastie se ranime. Lothaire veut ressaisir l'autorité, reconquérir son royaume. Il retrouve son prestige en délivrant Paris d'une

d'Alençon , dont il existe une copie moderne dans le XLVIII e volume des manuscrits de Duchesne à la Bibliothèque royale. Personne ne paraît avoir connu cette chronique, excepté l'avocat Bry de la Clergerie, qui s'en est servi pour son histoire du duché d'Alençon, et André Duchesne, possesseur du manuscrit en question, lequel y a pris la matière de plusieurs de ses notes sur Alain Chartier. Voici ce que l'auteur dit de lui-même dans son prologue : « Perceval de Caigny, natif du pays de Beauvoisin

autrefois, s'étaient abrités derrière les Mérovingiens fainéants. Quand ce faiseur de rois mourut, le Carolingien, Lothaire, était un enfant, mais cet enfant allait être un homme ambitieux et actif. Hugues le Grand était mort en 956. Il laissait son duché à Hugues Capet. Il s'en fallait de beaucoup que celui-ci n'eût qu'à prendre la couronne royale. Avec Lothaire, la vieille dynastie se ranime. Lothaire veut ressaisir l'autorité, reconquérir son royaume. Il retrouve son prestige en délivrant Paris d'une

4 : - «Paul III» : pape de 1534 à 1549, qui appartenait à la famille des Farnèse, traditionnellement ennemie des Médicis ; par la semonce pontificale qui suit, il désire surtout humilier un rival, et ne lui laisser oublier en rien à qui il doit son duché. George Sand avait commis un anachronisme pour laisser vivre Clément VII jusqu’en 1537 ; Musset rétablit la vérité historique. - «quelques mauvaises branches à élaguer» : métaphore désignant les grandes familles trop indépendantes. - «une espèce

fois ce texte rédigé, on va adresser le texte de coutume au roi qui va le faire vérifier par le parlement ou par son conseil, et lui donnera ensuite valeur officielle. En Bourgogne, en 1459, le duc Philippe le Bon a fait rédigé la coutume dans le duché de Bourgogne et dans le conté de Bourgogne. On appliqué la procédure de rédaction de Montils-lès-Tours dans cette situation. Un édit de 1498 définie une autre procédure, plus précise et plus efficace. D’abord, on définit un cadre territorial, dans

même si après ce traité commence une période de redressement français et une longue trêve jusqu’en 1404 (44 ans). En 1380 est mis en place un système de tutelle pour le Roi Charles (VI) le Fol. On partage le pouvoir entre les quatre oncles (ducs de Berry, de Bourgogne, de Bourbon et d’Anjou). Le Roi renvoie ses oncles et prend le pouvoir. En 1392, il est frappé de folie et le pouvoir se trouve de nouveau partagé entre les quatre précédents ducs et Louis d’Orléans frère du Roi ainsi qu’Isabeau de Bavière