Duhamel Le Cinéma

Dissertation GénéraleDissertation Générale L’art et la réflexion dans le cinéma « Le cinéma est un divertissement d’ilotes, un passe-temps d'illettrés, de créatures misérables, ahuries par leur besogne et leurs soucis. » -G.Duhamel, Scènes de la vie future, Mercure de France, 1930 Citizen Kane, Pulp Fiction, Blade Runner, Psychose, Le Parrain, Les Temps modernes, Fight Club. Voici certains des films considérés comme incontournables par «Le Temps» . Tous ces long-métrages abordent des

Dissertation de Français Sujet : Duhamel : «  le cinéma est un divertissement d’illettrés » Introduction: Le cinéma, art ou divertissement. Chef d’œuvre ou simple passe-temps. Duhamel dit « le cinéma est un divertissement d’illettrés » ou pourquoi pas plutôt «  le cinéma, art d’intellectuels» ? Nous allons développer le sujet et traiter les différentes manières d’appréhender le cinéma. Est-il donc un simple divertissement pour certains ? Ou un art comme la littérature ou la peinture

Georges Duhamel affirme que le cinéma ne fait pas réfléchir, qu’ il offre aux gens tous les plaisir du spectacle sans qu ils aient besoin d’ y participer. Il pense que le cinéma rend le public stupide et qu’ il exploite beaucoup de moyens humain et économique pour un résultat dérisoire. Georges Duhamel fait une généralisation sur le cinéma et ne nuances pas assez ces pensées.A son époque on pouvait voir des films de Charlie Chaplin qui encore aujourd’hui nous fait rire mais aussi réfléchir à notre

--------------------------------------------------------------------------- Le 4 juin 2010 A Marseille Monsieur Duhamel, Je me présente : je m’appelle Margot Laurent et suis actuellement lycéenne. J’ai eu le plaisir d’étudier un extrait de votre essai Scènes de la vie future concernant le cinéma et je ne peux m’empêcher de vous faire parts de quelques remarques. J’ai été tout d’abord surprise de voir à quel point vous pensez que le cinéma ne présente aucun intérêt. Pour moi beaucoup de films ont un réel but qui est de justement

plaisir. Il l'emmène souvent au théâtre et au cinéma. Suzanne, sa mère (née Catusse), l'initie à la lecture. Il s'ennuie à l'école, et dès 15 ans, après son certificat d'études, il la quitte. Il multiplie alors les petits travaux, notamment au grand magasin Le Bon Marché. D'abord mobilisé en 1918, son service militaire se poursuit à Saint-Nicolas-de-Port où il rencontre Yves Tanguy avant d'être envoyé à Istanbul où il fera la connaissance de Marcel Duhamel. En 1925, il participe au mouvement surréaliste

Depuis son invention vers la fin du XIXe siècle, le cinéma a connu un essore de plus en plus grandissant. L’industrie cinématographique n’a jamais été aussi florissante qu’aujourd’hui et ainsi les salles de projection jamais autant convoitées. A ce propos, l’auteur Georges Duhamel écrivit dans les années 30 : >. L’analyse de cette citation m’amène à penser que Duhamel parle du cinéma comme œuvre composée d’images et généralement d’une bande son qui serait une manière de tromper l’ennui pour les

enfance. Jacques a un frère ainé, Jean, né en 18981, qui mourra en 1915 de la typhoïde. Son père André Prévert, fait divers métiers pour gagner sa vie, et de la critique dramatique et cinématographique par plaisir. Il l'emmène souvent au théâtre et au cinéma. Suzanne, sa mère (née Catusse), l'initie à la lecture2. Il s'ennuie à l'école, et dès 15 ans, après soncertificat d'études, il abandonne les études. Il multiplie alors les petits travaux, notamment au grand magasinLe Bon Marché. Mobilisé le 15 mars

Neuilly-sur-Seine (actuellement Hauts-de-Seine) le 4 février 1900. Il y passe son enfance. Son père André Prévert, fait divers métiers pour gagner sa vie, et de la critique dramatique et cinématographique par plaisir. Il l'emmène souvent au théâtre et au cinéma. Suzanne, sa mère (née Catusse), l'initie à la lecture1. Il s'ennuie à l'école, et dès 15 ans, après son certificat d'études, il abandonne les études. Il multiplie alors les petits travaux, notamment au grand magasin Le Bon Marché. Mobilisé le 15

idées, ne soulève aucune question, n'aborde sérieusement aucun problème, n'allume aucune passion, n'éveille au fond des cœurs aucune lumière, n'excite aucune espérance, sinon celle, ridicule, d'être un jour "star" à Los Angeles. Le dynamisme même du cinéma nous arrache les images sur lesquelles notre songerie aimerait de s'arrêter. Les plaisirs sont offerts au public sans qu'il ait besoin d'y participer autrement que par une moite et vague adhésion. Ces plaisirs se succèdent avec une rapidité fébrile

1960 – 1980 La période yéyé, les grands interprètes : Les chanteurs issus d’une tradition musicale plus classique sont également sollicités par le cinéma, comme chanteur et/ou acteur. Charles Aznavour, Barba, Eddie Barclay, Guy Beart… A – L’esthétique de la Nouvelle Vague A partir de 1959, la nouvelle vague démarre en France. Il y a une revalorisation de la musique : elle est intégré dans le film comme dimension sonore. Des cinéastes comme Resnais ou encore Truffaut atteste de leur attrait pour