Duke Ellington

rapport avec le jazz. Il est le double inversé de Colin. Chloé : Elle incarne la beauté et la féminité. Elle est la femme parfaite pour Colin, jeune, jolie, douce et attirante, mais fragile. Son nom provient d’un morceau dans l’arrangement de Duke Ellington de la chanson appelée Chloe (Song of the Swamp) - soit « Chloé - la chanson du marais ». Elle meurt d'un nénuphar dans les poumons. D’après Colin, elle n’a pas mérité de mourir : « Elle était si douce. Jamais elle n’a fait le mal, ni en pensée

toutes les façons, avec des jolies filles, et la musique de la Nouvelle-Orléans ou de Duke Ellington. Le reste devrait disparaître car le reste est laid… ». Or justement, si Vian critique la société en général dans son roman, il y fait aussi l’éloge de plusieurs choses, dont le jazz et les femmes. En effet, le jazz est une clé du roman, tout y baigne. Le nom même de Chloé est inspiré d’une chanson de Duke Ellington. On sait que Vian organisait les meilleures « surprises-party » qui soient dans le Saint-Germain

un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, facinante et inoubliable composée pas un écrivain de 26ans. Dans cette oeuvre d'une modérnité insolante, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionette burlesque, la mort prend la forme d'un nénuphare, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoire. Dans son roman le plus connu, Boris Vian dépeint l’histoire d’amour tragique entre Colin et

omniprésent tout le long du roman. Il y a de nombreuses références aux musiciens et compositions de jazz. Par exemple plusieurs « Z » de jazz sont à l'intérieur des mots (ex. : Doublezons, zonzonner…) et le nom de Chloé provient de l'arrangement de Duke Ellington intitulé « Chloé ». Le monde du travail : Boris Vian dénonce dans cette œuvre les conditions de travail inhumaines. Chaque personne employée est ramenée au rang d'une machine. La religion : Vian critique la religion à travers un mariage

annonceur de mauvaise nouvelle où il apprendra la mort de Chloé. Chloé : Elle incarne la beauté et la féminité. Elle est la femme parfaite pour Colin, jeune, jolie, douce et attirante, mais fragile. Son nom provient d’un morceau dans l’arrangement de Duke Ellington appelé « Chloé ». Elle meurt d'un nénuphar dans les poumons. Chick : Il est le meilleur ami de Colin, il est passionné et fou de la philosophie de Jean-Sol Partre même s'il ne comprend rien. C’est à cause de Partre qu’il sera parfois égoïste

Origines : Charlie Parker faisait partit d’un milieu sociale plutôt élevée, c’est un saxophoniste alto américain. Parker, aussi surnommé Bird, est considéré comme l'un des créateurs et interprètes exceptionnels du style be-bop. Avec Louis Armstrong et Duke Ellington il est l'un des musiciens les plus importants et influents de l'histoire du jazz. Œuvre les plus connues : Celerity, Chasing the bird, …

annonceur de mauvaise nouvelle où il apprendra la mort de Chloé. Chloé : Elle incarne la beauté et la féminité. Elle est la femme parfaite pour Colin, jeune, jolie, douce et attirante, mais fragile. Son nom provient d’un morceau dans l’arrangement de Duke Ellington appelé « Chloé ». Elle meurt d'un nénuphar dans les poumons. Chick : Il est le meilleur ami de Colin, il est passionné et fou de la philosophie de Jean-Sol Partre même s'il ne comprend rien. C’est à cause de Partre qu’il sera parfois égoïste

de mauvaise nouvelle où il apprendra la mort de Chloé. Chloé : Elle incarne la beauté et la féminité. Elle est la femme parfaite pour Colin, jeune, jolie, douce et attirante, mais fragile. Son nom provient d’un morceau dans l’arrangement de Duke Ellington appelé « Chloé ». Elle meurt d'un nénuphar dans les poumons. Chick : Il est le meilleur ami de Colin, il est passionné et fou de la philosophie de Jean-Sol Partre même s'il ne comprend rien. C’est à cause de Partre qu’il sera parfois égoïste

Contemporaine. La forme du fauteuil, massive, rappelle les imposants fauteuils Club. L’assise, les accoudoirs et le dossier, avec leurs volumes simples, s’inspirent du cubisme. Le titre «How High The Moon» sont les paroles d’un morceau du jazzman Duke Ellington. Il s'agit donc d'un fauteuil en résille d'acier nickelé déployé, formée et soudée faisant 75 x 95 x 85 cm. La surface brillante dématérialisée rappelle la lueur pâle de la lune. En la regardant de différents poits du vues, on peut appercevoir

devrais-je répondre ? Pas un simple bonjour, je ne saurais que dire après. Quelque chose d'intelligent, oui, intelligent. Eh bien non, j'ai lancé la conversation en lui posant la pire question que j'aurais pu lui poser : si elle était arrangée avec Duke Ellington. Ridicule, tout a fait ridicule. Je fut tellement nerveux que je lui raconta n'importe quoi. Je la vis écarquiller les yeux d'amusement. Non, non, il fallait que je m'en aille. Je fis demis tour et m'enfuyais. Comment avais-je pu dire une chose