Dulcinée

forts en les faisant paraitre vieux et faibles à travers Don Quichotte, un lecteur passionné de romans de chevalerie qui en est devenu fou. Il erre avec son écuyer Sancho Panza, ne voulant que sa ‘’paie’’. Il est aussi amoureux dune vilaine femme (Dulcinee), quíl prend pour une princesse. Don Quichotte voit des choses absurdes que les autres ne voient pas, il voit des geants la ou il y a des moulins, … Ces trois-là sont vus comme des illumines, des fous inoffensifs. Pauvre Petit Garçon

du roman ne portent pas le manteau onomastique de leur nom, ou plutôt, bien que portant de beaux noms africains, ils n’agissent pas dans le sens sémantique de leurs noms. Ce qui est plus étonnant est que même le personnage central du livre et sa dulcinée souffre aussi de ce « reflet onomastique ». Est-ce un oubli de la part de l’auteur ? Est-ce un caprice d’écrivain ? Est-ce une touche esthétique particulière ? Seul l’auteur Gaston ZOSSOU pourra nous débarrasser de tous ces « pourquoi ?». Aklo signifie

résout pas une tension mais fait entrer deux termes contradictoires en vibration, marquant l’acceptation joyeuse-amère de leur inséparabilité, la fusion du sérieux et du divertissement, de la sottise et de la dignité où la fille de ferme apparaît en Dulcinée, où Falstaff joue au prince et au vainqueur16.

caractérisé par une fougue et un empressement qui le rendent ainsi attendrissant. La « réponse » qu’il croit devoir donner à Manon, alors qu’elle ne lui a rien demandé en est un parfait exemple : des Grieux, dans son amour fou, interprète les paroles de sa dulcinée comme un appel à l’aide alors qu’il ne l’est pas vraiment. Ainsi, il n’est pas dénué d’une certaine grandiloquence, lorsqu’il parle par exemple de « l’ascendant de (s)a destinée » ou de sa « perte ». Jeune amoureux fougueux, qui agit avec solennité

caractérisé par une fougue et un empressement qui le rendent ainsi attendrissant. La « réponse » qu’il croit devoir donner à Manon, alors qu’elle ne lui a rien demandé en est un parfait exemple : des Grieux, dans son amour fou, interprète les paroles de sa dulcinée comme un appel à l’aide alors qu’il ne l’est pas vraiment. Ainsi, il n’est pas dénué d’une certaine grandiloquence, lorsqu’il parle par exemple de « l’ascendant de (s)a destinée » ou de sa « perte ». Jeune amoureux fougueux, qui agit avec solennité

d’Apollon ; grâce à cette lyre il pouvait charmer quiconque. On retrouve ici la lyre, à l’origine du mot lyrisme. Orphée illustre non seulement le pouvoir du chant et de la poésie, mais aussi le devoir du poète.Dès sa rencontre avec Eurydice, Orphée et sa dulcinée s’aimèrent tout de suite et décidèrent de se marier. Cependant, le jour de son mariage, Eurydice fut tragiquement mordue et tuée par un serpent venimeux. Eurydice morte, Orphée ne savait plus comment vivre, tellement triste, il décida de descendre

lyre d’Orphée Les soupirs de la sainte et les cris de la fée ». Le lecteur est donc rendu sensible au parallélisme existant entre l’histoire d’Orphée et la réalité biographique de l’auteur, car tout comme ce dernier, Orphée, après avoir perdu sa dulcinée à jamais, erra dans les bois, jouant sur sa lyre pour les rochers, les arbres et les rivières. Par conséquent nous remarquons trois étapes successives en relation avec la quête d’identité : Affirmation (vers 1), mise en question (vers 9) et redécouverte

pieds » (l.83), « je m'y prosterne » (l.83) : il est soumis comme le chevalier. l.40 : »Voilà l'homme selon mon cœur » → il va faire preuve de courage, surmonter les obstacles, pour mériter sa valeur et le cœur de Merteuil (comme le chevalier et sa dulcinée). Il veut aussi contenir la colère de Merteuil. Du coup ça semble : Merteuil le "summum" des femmes et Valmont le chevalier servant. Ils sont présentés comme le couple parfait, exemplaire, ZE couple, capable de « donner une constance au monde »

ne faire que cela : tous les mots travaillent à dire cet amour, comme si le poète n’était plus que bouche amoureuse. Ce « babil amoureux », tel que le définit Barthes, constitue l’unique parole, presque imbécile car récurrente, de l’amoureux à sa dulcinée. Ce babil est une image du babil du nouveau-né qui ne maîtrise pas encore (alors que l’amoureux ne les maîtrise plus) les codes de la langue. B/ L’espace du poème : un espace de l’amour le système rimique : on observera la distribution et l’agencement

sa tirade constitue une véritable profession de foi envers Elmire, dont il fait l’arbitre souverain de sa « peine » ou de sa « béatitude » (son bonheur). Ce discours, qui consiste à présenter l’amant comme entièrement soumis aux volontés de sa dulcinée, n’est pas sans rappeler le courant précieux (lié au mouvement de la Préciosité) en vogue au milieu du XVII° siècle, et que Molière avait déjà brocardé dans Les Précieuses ridicules. De telles déclarations sont en tout cas à mille lieues de ce