Dynastie Alaouite

puisque le pouvoir s’appuie sur un parti politique, les proches du pouvoir se sont approprié les ressources du pays et 35% du budget du pays passe dans le budget de l’armement. Religions : Islam89% (74% Sunnites et plusieurs minorités chiites, Alaouites et Druzes), Chrétiens 11%. Langue officielle : Arabe, parmi les langues minoritaires : l’arménien, le kurde, l’araméen. Nombre d’habitants : 22,4 millions (2012)  Deuxième partie : Relations étrangères Relations

3 Les incursions européennes (1434-1541) 3.1 Premiers voyages 3.2 Implantation des Portugais 3.3 Les forts espagnols 3.4 Victoire des Marocains 3.5 Arguin (1541-1728) 4 La domination marocaine (1541-1884) 4.1 Les Saadiens 4.2 Les Alaouites 4.3 Retour de l’Espagne (1859) 4.4 Donald MacKenzie 4.5 Le traité anglo-marocain de 1895 et les frontières du Maroc 5 Le Sahara espagnol (1884-1975) 5.1 Établissement du protectorat 5.2 Ma El Ainin 5.3 Victoire des Français 5.4 Domination

Sidi El Hachemi, Ouled Sidi Bouguelmouna, Ouled Sidi Ouis et Ouled Sidi El Arbi tous de M’Cid, les dix familles s’étant installées sur le territoire des Ouled Ali, Arabes hilaliens des Béni Amer. Leur ascendance remonte à Idris I, fondateur de la dynastie qui portera son nom et qui dura de 172 à 375 (788 à 985) avec une éclipse de vingt-cinq années à l’avènement d’Ibn Abi El Afia le Meknaci. Avec ses six frères, Idris I appartient à la cinquième génération descendante du Prophète (ç). Les Mhadja incriminés

pendant les premières années du règne de Mohammed VI, un champ privilégié d’activisme royal. Pour expliquer ses multiples déplacements d’alors, il citait volontiers son père, qui avec un sens indiscutable de la formule affirmait : « Le trône des Alaouites repose sur la selle de leurs chevaux. » De même que dans les contes de fées les citrouilles se transforment en carrosse, ici les chevaux ont depuis longtemps été remplacés par d’imposants cortèges royaux, dont la logistique lourde et coûteuse

Bahreïn. | MOHAMMED AL-CHEIKH/AFP Un autre incendie s'allume dans le petit royaume du Bahreïn, le 14 février. Les jeunes manifestants, à majorité chiite, campent sur la place de la Perle de Manama, pour contester la mainmise sur le pouvoir de la dynastie sunnite des Al-Kahlifa. Mais, le 2 mars, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis envoient des troupes au secours de leur voisin : plus de 1 000 hommes affectés à la défense des institutions et des infrastructures stratégiques. Les chars des

oasiens du Présahara marocain et les paysans du Nil pharaonique ;  la consécration du Haut Atlas, en tant que pont entre les volets majeurs des grandes civilisations antiques. C’est maintenant un lieu commun que de dire que les principales dynasties ayant dominé l’histoire du Maroc sont originaires des régions du Sud. Mais, à chaque fois, les protagonistes devaient quitter leur Sahara ou leur Atlas d’origine, comme pour s’offrir une légitimité à Marrakech ou à Fès. Il faut néanmoins rappeler

puissants esclaves noirs ayant juré fidélité sur le recueil sacré des Bukhari, tirant leur surnom de Bukhari de ce serment. A la fin de son règne en 1727 ses troupes–ci ont été recensées comme comportant 150 000 hommes et tous les sultans de la dynastie alaouite vont confier la garde des portes du royaume a ces Bukhari noirs. Toutefois cette hypothèse semble assez problématique, vu que les chroniques relatives à cette garde noire ne font état ni de Gnawa, ni de rituel de possession ni même de musique

quittent leur environnement familier pour s’établir en ville où il y a plus de possibilités de travail. 10 4. Organisation administrative Indépendant depuis 1956 Le Maroc a accédé à l’indépendance en 1956, année de la restauration de la dynastie des Alawis sous le roi Mohammed V. Le nord du pays était auparavant administré comme un protectorat espagnol et le sud comme un protectorat français. Les villes côtières septentrionales Ceuta et Melilla sont restées espagnoles.  Pouvoir

permettra d’expliquer le Coran. Enfin, le Chérif est le gardien des lieux saints, il appartient à la famille de Mohamed et descendent les uns les autres de père en fils. Plusieurs familles peuvent revendiquer ce titre : la famille régnante au Maroc, les Alaouites, par exemple. Les arabes musulmans revendiquent aussi cette terre qu’est la Palestine en tant que lieu saint, le problème venant qu’Abraham a eu un fils avec sa servante : Ismaël, qui est considéré comme le père des arabes. 3 nationalismes arabes

Préhistoire * 3.2 Antiquité * 3.2.1 Numidie * 3.2.2 Après la mort de Massinissa * 3.2.3 Christianisme et les Vandales * 3.2.4 Byzantins * 3.3 Moyen Âge * 3.3.1 Islamisation de l’Algérie * 3.3.2 Dynasties islamiques * 3.3.3 Effet de la Reconquista * 3.4 Époque moderne * 3.4.1 Présides espagnols au XVIe siècle * 3.4.2 Régence d'Alger * 3.4.3 Révoltes et sultanats * 3.5 Époque contemporaine * 3.5.1