Dynastie Alaouite

importante spécialisée dans le transport des ravitaillements militaires dans le Sahara, le transport de marchandises et le transport en commun (STP à Rabat). * Et d’autres   Analyse PESTEL MC3 de la CTM Politique * Stable : monarchie (dynastie alaouite) ; * Pays démocratique : existence d’un parlement ; * Accords de libre échanges : bilatéraux (avec l’Egypte, la Tunisie, la Turquie, la Jordanie ; Les Emirats Arabes Unis, Les Etats unis d’Amérique) et multilatéraux (AELE, pays arabes

frappèrent leur monnaie : denier et aurei. Au VIIIe siècle, sous le règne d'Idris Ier, le Maroc créa sa frappe de monnaie, des dirhams d'argent exclusivement. Sous les autres dynasties islamiques, d'autres symboles forts suivirent au fil des siècles, dinars d'or et quirats d'argent. En 1678, sous les Alaouites, le dinar s'impose de nouveau, au XVIIIe siècle apparaît aussi le mithqual, décuple du dirham, dernier avatar de la frappe au marteau. À la fin du XIXe siècle et jusqu'à 1920, des

communauté résidant à l’étranger, et ceci après l’examen du conseil des ministres réunis le 7 avril 1993. L’article 3 du dahir du 5 juin 2000 relatif aux ordres du royaume dispose dans l’alinéa 10 que l’ordre du Wissam Al Alaoui, ordre de la dynastie alaouite destiné à récompenser les chefs et les membres des missions diplomatiques e reconnaissance des services rendues à notre royaume pendant l’accomplissement de leur devoir ainsi que d’autres personnalités. 3- Les actes unilatéraux : Les actes

en profitant d’un superbe coucher de soleil au sommet des dunes de l’Erg Chebbi (250 m). Dîner et nuit au bivouac (tente nomade). 5ème jour : Après le petit-déjeuner, départ en 4x4 pour la Vallée du Drâa en passant par Rissani (berceau de la dynastie alaouite) et en traversant l’immensité du massif du Bougafer, déjeuner à N’Kob (1er village de la Vallée du Drâa). Continuation l’après-midi par la route pour rejoindre la piste (ancienne route des caravanes) et arrivée à Agdez, dîner et nuit dans l’une

régences : dans le nord de l’Afrique : Alger, Tunis et Tripoli. Ex : Tunisie passe sous domination ottomane au XVIe. A Tunis : le bey, collecteur des impôts devient gouverneur puis les bey se succèdent au pouvoir au sein d’une même famille: création d’une dynastie. Autonomie mais toujours province : lien de vassalité : monnaie frappée au nom du Sultan. Régence d’Alger divisée en 4 sous-régions : les beyliks, puis en watans… Les turcs envoient des dirigeants locaux mais leur domination est plus présente

précisent quand Moulay Abdallah accompagne son père, Mohammed V, lors d’un voyage officiel au Liban. Le roi consent alors à cette union bien que Lamia, n’étant pas marocaine, échappe à son emprise. C’est une aventure risquée pour la dynastie mais Mohammed V ne sait rien refuser à son fils. Il accepte le pari. Moulay Abdallah est né en mai 1935. Jeune, il passait pour l’enfant préféré de son père, qui l’appelait Sid el Aziz – « le maître chéri » – cependant

tout au long de l’histoire du Maroc. Ces monnaies, frappées sous plusieurs règnes et dynasties constituent, aujourd’hui, de par la signification de leurs inscriptions un témoignage riche et immuable de l’histoire et de la civilisation séculaires du Maroc. Surface chargées des signes inaltérables du passé, les monnaies marocaines sont les vifs reflets qui font jaillir ce passé sur ses grands piliers : dynasties et pouvoirs en place à diverses époques, consécration de la foi musulmane, attachement

La pre m i è re dynastie marocaine fut fondée par les Idrissides à Fès, première capitale du M a ro c, ve rs la fin du VIIIe s i è cl e. Puis plusieurs dynasties se sont succédées et ont marqué l’histoire régionale de façon plus ou moins importante (Afrique du nord, péninsule Ibérique) ; par ordre de succession on peut citer : les A l m o ravides (XI-XIIe siècle), les Almohades (XII-XIIIe s i è cl e ) , les Mérinides, les Ouattassides, les Saadiens et les Alaouites enfin, dynastie fondée au XVIIe

l’indépendance : 1- Le roi Mohammed V : [pic] Mohammed V ben Youssef né le 10 août 1909 à Fès et mort le 26 février 1961 à Rabat, a été sultan (1927-1953), puis roi (1957-1961) du Maroc après l'indépendance en 1956. Ce dynaste alaouite soutint dès 1944 l'Istiqlal, principal mouvement indépendantiste marocain et s'opposa à la poursuite de la domination française. En conséquence, il fut déposé le 20 août 1953 et fut contraint à l'exil (successivement en Corse puis à Madagascar) jusqu'au

mosquées, médersas, fondouks, fontaines et salles d'ablution, jardins historiques, murailles et remparts, portes fortifiées, mellah et synagogues, manufactures, mausolées, palais et riads, places et souks. Des Idrissides aux Alaouites, des Andalous aux Juifs, toutes les dynasties et tous les peuples ont laissé leur empreinte sur la ville. Ces dernières années de nombreux monuments ont été restaurés, comme la médersa El-Attarîn, la médersa Bou-Inania (XIVeme siècle), la Magana (une horloge hydraulique