Dès Que Je Me Lève Quelque Chose Noir

SCRIPT// Court-métrage Anglophone, pour Judith et Alicia. /!\ Texte et dialogues en Anglais /!\ (musique retenue : I am a legend) Caméra : Caméra longeant le sol de gauche vers droite. Passage face à plusieurs arbres créant des noirs courts : noir coupé par générique indiscernable à la vue. La caméra accélère au fur et à mesure, puis se relève et se concentre sur un personnage de dos dans un coin vide (sans arbres). Arrêt. Semi-zoom sur Judith au centre, respirant très fort, et regardant vers

la salle de bain. Il prends son sac et ses clefs de voiture, avant de se retourner vers moi: - Tu as mangé? Je le fixe avec défi. - Pourquoi est-ce que je te pose la question.. Puis il m'indique la porte. Quelques minutes plus tard, je grimpe dans son cabriolet noir flamboyant, lui à mes côtés. On part pour une "petite" fête organisée par tout le comité populaire du lycée. Nous sommes le 28 août, il est 23h16, et les lycéens veulent fêter leur rentrée dignement. Être torché à vomir

tous noir. Il arrive à en induire une proposition suivante : « Tous les corbeaux sont noir. » Par usage du régle logique de la proposition contraposée on obtient la proposition: «Tout ce qui n´est pas noir n´est pas un corbeau. » qui est logiquement equivalente à la première. Tout observation qui renforce la probabilité de la première, renforce aussi bien la séconde et vice versa. Ainsi, par exemple, l´obervation d´un pomme vert renforce la vérité du fait que tout les corbeaux sont noir, en dépit

PERDU Un film de Mathilde BILLIALD Scénario de Mathilde BILLIALD Pitch : Le combat d'un père ou comment faire le deuil de sa fille. Synopsis : «Quelque chose d'indicible est arrivé». Au cours d'une bagarre qui tourne mal, Lynn, une fillette de 10 ans décède. Suite à ce meurtre, les parents n'ont plus goût à rien. Tandis que la mère reprend le dessus sur cette événement tragique, le père, quant à lui, tente tant bien que mal de faire le deuil en se rapprochant de personnes ayant subi

fenêtre.) Je te connais trop bien : il y a quelque chose de changé… tu étais toujours à une certaine distance… de tout le monde, du reste… (Haussant le ton de la voix, en se retournant vers H.2, tout en se levant.) Mais maintenant avec moi… encore l’autre jour, au téléphone… tu étais à l’autre bout du monde… (Il s’approche de H.2 et lui caresse la joue.), ça me fait de la peine tu sais… H2, dans un élan, elle lui prend sa main et la pause sur son cœur, quelques secondes. - Mais moi aussi, figure-toi…

Les secondes s’écoulent, il ne bouge pas, il fait trop chaud, il aime cet anéantissement sur un quai de gare. Il regarde fixement les rails brillants, ne pense à rien, si, juste à celle qui est partie ce matin, au cimetière de Redstone 4, quelques heures plus tôt alors que onze heures venait de sonner au clocher de l’église. Il est arrivé ce matin, pour enterrer une femme qu'il a aimée plusieurs années auparavant. Il n’avait plus de nouvelles, leurs routes s’étaient séparées, et puis

je me suis fais jeter dans un cachot ou quelque chose comme ça. Malgré tout, je suis rassuré, un bonhomme dort, je ne distingue pas la silhouette (il fait toujours nuit ici), mais il ronfle dans un coin opposé de notre prison. Je ne sais pas si je fais bien de lui adresser la parole mais je le réveille : - Qu’est-ce que tu as fais toi pour être ici ?est pas l'homme qui prend l'amour - J’avais un chat… - Un chat blanc ? Le mien était noir et blanc, le pauvre… - Oh ! Le mien

lesquelles sont dessinées des représentations de graffiti. Assis à son bureau, JOHAN BOUDIR, un adolescent de 16 ans, dessine quelque chose sur une feuille. Il est concentré. Il est se lève, agrippe son dessin et il le fourre dans un petit sac noir qui traine sur le sol . SEQUENCE 3. INT. JOUR. APPARTEMENT DE JOHAN - SALON Johan arrive dans le salon, son sac noir dans sa main gauche. Il se tourne vers la télévision qui diffuse un bulletin spécial. PRESENTATEUR

vie. J’ai renforcé et fait des liens avec des gens qui sont désormais incassables. Vos prédécesseur sont, et j’espère vous aussi, des gens extraordinaires. Et c’est pour cela que je veux vous les faire connaître. Je vais faire cela a travers quelques anecdotes. Ces histoires ne sont pas inconnus de tous, en effet les exploits de Colas et de sa bande resteront a tout jamais gravé dans les mémoires. Tout d’abord plantons le décors, je vais essayé de rapidement vous faire connaître de caractère

Armstrong-p :37/38) : « J’ai beaucoup entendu parler de toi, Bouli. » jusqu’à « Je croyais que vous étiez mort. » * Un drame familial (famille-p :33/34) : « Bouli, mon Bouli, mais comment as-tu pu....... » jusqu’à « blaireau ». Ou p.31 « Il s’est passé quelque chose....... » jusqu’à « blaireau ». * Une puce savante (Bouli/Marguerite –p : 63/64) : « Tu dis que tu aimes lire....... » jusqu’à « excitée comme une. » * Et plein d’autres petits personnages qui ont leur importance, comme vous pourrez