Dès Que Je Me Lève Quelque Chose Noir

Microsoft Word - Eugene IONESCO - Les Chaises _1952_.docEugène IONESCO (1912-1994) Eugène Ionesco, Les Chaises, Paris, Gallimard, 1952. 1 Les Chaises Le rideau se lève. Demi-obscurité. Le Vieux est penché à la fenêtre de gauche, monté sur l'escabeau. La Vieille allume la lampe à gaz. Lumière verte. Elle va tirer le Vieux par la manche. LA VIEILLE : Allons, mon chou, ferme la fenêtre, ça sent mauvais l'eau qui croupit et puis il entre des moustiques. LE VIEUX : Laisse-moi tranquille ! LA

illustrés par Maurizio A.C. Quarello : « La femme éléphant » et « Les arbres pleurent aussi » 1- Sur le site de l’éditeur : http://editions-sarbacane.com/le-bus-de-rosa/ « Detroit, le musée des Transports. Assis dans un vieux bus, un vieil homme noir raconte à son petit-fils la ségrégation raciale dans l’Amérique de sa jeunesse : à l’école, dans les bars, dans le bus. Il lui raconte aussi comment, le 1er décembre 1955, une femme, Rosa Parks, refusa de céder sa place dans le bus à un Blanc, lançant

1) Livre : L’enfant noir Auteur : Camara Laye Edition : Pocket Jeunesse Date de parution : 1953 2) Camara Laye est né le 1er Janvier 1928 à Kouroussa en Haute-Guinée. Ses premières études se sont faites dans son pays natal puis une fois qu’il eut obtenu une bourse d’étude, il les poursuivit en France en 1947. Il étudie à l'École centrale d'ingénierie automobile à Argenteuil où il obtient un certificat de mécanicien. Après l'expiration de sa bourse, il commence à travailler à l'usine

espoir, Sors avec une larme ! entre avec un sourire ! Dans l’église, 15 février 1843. 4 4 SEPTEMBRE 1843 ......... 5 III TROIS ANS APRÈS Il est temps que je me repose ; Je suis terrassé par le sort. Ne me parlez pas d’autre chose Que des ténèbres où l’on dort ! Que veut-on que je recommence ? Je ne demande désormais À la création immense Qu’un peu de silence et de paix ! Pourquoi m’appelez-vous encore ? J’ai fait ma tâche et mon devoir. Qui travaillait avant l’aurore

m 3. Quelles sont les revendications des femmes dans chacun de ces textes ? Justifiez votre réponse. m 4. Analysez d’où naît le pathétique dans ces textes. m 5. Pourquoi peut-on dire que ces trois textes sont des plaidoyers ? Relevez et commentez quelques procédés d’écriture qui donnent de la force à ces plaidoyers. m 6. Montrez que les textes du corpus donnent des éléments sur le contexte de l’époque à laquelle ils ont été écrits, notamment sur la vie quotidienne. Sujet I : Commentaire m 1. Vous

Sujet 1: Guernica, Picasso Guernica (1937), Picasso Introduction : Ce tableau évoque quelque chose de macabre Mouvement artistique : L’œuvre de Picasso appartient au mouvement cubiste. C’est un mouvement artistique ayant pour principe d’abolir la perspective, une perspective présente dans tous les tableaux de la Renaissance. On observe une simplification des formes et des surfaces colorées ; les formes sont de plus en plus géométriques et représentent une décomposition de l’objet

pareil que Joss son frère , c'est a dire ivrogne menaçant mais cette événement plaît aux lecteurs car il y a une histoire d'amour : un baiser « dangereux » , elle embrasse un homme douteux qui n'est peut être pas un homme raisonnable. D'autre par , quelques instants après , l'homme par sans prévenir Mary , une personne est venu l'interpeller «  votre ami est parti il y a près de vingt minutes. Il avait l'air presser » (p 170) , encore une action surprenante , le lecteur ne s'attend pas a ce que Jem

rappelle. ESTRAGON  Cela m'a fait de la peine. Je me disais, il est seul, il me croit parti pour toujours et il chante.  VLADIMIR  On ne commande pas à son humeur. Toute la journée je me suis senti dans une forme extraordinaire. Je ne me suis pas levé de la nuit, pas une seule fois. ESTRAGON  Tu vois, tu pisses mieux quand je ne suis pas là. VLADIMIR  Tu me manquais - et en même temps j'étais contend. N'est-ce pas curieux ? ESTRAGON  Content ? VLADIMIR  Ce n'est peur-être pas le mot. ESTRAGON 

Balletroy, le chef de section, pénétra sous la tonnelle.– Honneur.– Respect, répondirent tous en chœur.On lui fit place.– Comment ça ?Dornéval posa son gobelet avec force sur la table. Son visage était impassible comme taillé dans un bloc de marbre noir :– Les femmes commencent à pleurer.Mais le gobelet grelottait sur la table.– Avant hier, il était en bonne santé. Et en ce moment, il est couché, le ventre dur et rond comme une calebasse et son âme s’en va.Le silence se fit épais.On entendit distinctement

d'espoir font leur apparition dans la vie des personnages au cours de la pièce. Il semble en effet que Nell meurt et qu'à la fin de la pièce Clov quitte définitivement Hamm, On peut donc avoir l'impression, comme Clov ne cesse de le répéter, que « quelque chose suit son cours ». Mais on peut aussi supposer que Clov devine la fin, puisqu'il répète sans cesse "Fini, c'est fini, ça va finir, ça va peut-être finir", il y a ici une notion de fatalité. * Message : Le titre peut faire référence à un jeu